a life, a story -

mara c'est -
I. l'amour, avec un grand A. arden, ravageur, renouveau, surprenant, intense, tendre, vrai. au début il était un mirage qui l'a emené à connaître le côté sombre de l'amour. dix-sept ans et la rêveuse mara, a vécu un cauchemar. l'homme, ou plutôt le jeuno qu'elle pensait aimé n'était qu'un mirage. derrière celui-ci un monstre psychologique, qui la malmena pendant quatre ans, la conduisant même dans un traquenard bien élaboré, où elle fut droguée et violée par sa bande d'amis . après cela le chemin fut long et la confiance ne réapparu que bien plus tard. préférant le flirt à l'attachement, cela changea, elle connu ce que ses parents ont connu, le coup de foudre. la certitude que c'était cette personne et pas un autre. lui et personne. l'amour elle pu le vivre comme elle l'avait rêvé. mais là encore le rêve s'évanouie face aux doutes. comme si ce beau mot qu'elle porte aux nus n'est que mirage pour elle. II. la famille, comme toute latina la famille est sacrée. ainée, d'une toute petite fratrie de filles. elle porte ses parents en haute estime. son père, astronome étant parti de rien, a soulevé des astres pour eux. maintenant profeusseur d'université, il est ce socle robuste de la famille rivera. sa mère, plus discrète et bien plus enclain à la tradition, est les racines de cette famille. quand à sa petite soeur, pour qui elle se veut protectrice, les relations n'ont pas toujours été au beau fixe. le poids de l'exemple de mara, n'a pas toujours été simple pour la benjamine. l'idée de la famille lui a aussi apporté beaucoup de doutes. dans une famille latina, fondé une famille est important. elle y a cru, on lui a enfoncé l'idée en tête, qu'elle a pensé que c'est ce qu'elle voulait plus que tout, pour au final des regrets.   III. des âmes soeur, qui surgissent dans sa vie comme un feu d'artifice. mara croit aux âmes soeurs depuis enfant. c'est sa grand mère qui lui en a parlé pour la première fois. "cariña, tu rencontreras des âmes aussi brillantes que la tienne, alors tu sauras. tu sauras qui elles sont pour toi". des âmes qui évoluent au fil des vies côte à côte, qui se supportent, se soutiennent, s'aiment. "cariña, tu as ce don, comme je l'ai eu. quand tu sauras, tu sauras". IV. les tournesols, car elle en serait un bouquet si elle était réincarnée en fleurs. tout comme eux, elle se tourne toujours face au soleil pour se charger de son énergie, quitte à se brûler parfois. si elle n'en a pas chez elle, c'est car ce n'est pas la saison. elle respecte la nature et aime à profiter de la nature comme elle vient. il fut un temps, chaque jour elle en recever un tous les jours, tant qu'il y en avait au fleuriste. ce temps elle ne l'a pas assez chéri. V. la danse, d'abord classique. mais pour une latina ce ne fut pas toujours simple. puis le mambo et la salsa lui furent présenté et ce fut une révélation. de la pratique au concours, à la révélation. elle aurait pu y faire carrière, mais la compétition ne lui plaisait guère, alors elle garde ses pas pour elle, les ondulations de son corps pour un autre corps. son nom aurait pu être glorifié, mais elle s'en fichait de cette notoriété, son amour pour cet art est bien plus profond que ce suffir à un sport. sa danse est gorgée de souvenir bien plus précieux que ceux d'une chorégraphie quelconque. VI. jona, pour mara c'est: un regard qui s'attarde sur elle d'abord, puis c'est un rapprochemen. une danse, sensuelle, tendre, hypnotique. des frollements, innocent, mais au sous-entendu long. un flirt, des rires. de la galanterie ancestrale. puis des rendez-vous. une évidence, un coup de foudre. une âme soeur. un tout, son tout. un amour ardent, surprenant, celui qu'elle attendait. de ses 21 ans à ses 27 ans, six belles années. un mariage. de la magie, leur magie. un collier qui pend encore à son cou, avec les mêmes mot "yours". une bague jeter à travers la cuisine, des paroles cinglantes, des blessures profondes, un égoïsme certain de chaque côté. une incompréhension. un malaitre. une pause, puis une séparation, un divorce. une âme qui se divise. deux êtres qui ne se comprennent plus et qui pourtant fusionnent dès qu'ils sont dans la même pièce. il est sa plus belle histoire, et la plus douloureuse. il est jona, était son jona, sera celui d'une autre peut être un jour. VII. l'argile, maniable, tachante, modulable. extension d'elle même et de ses sentiments, elle n'a découvert que tardivement le pouvoir a s'exprimer autrement que par son corps. ecxutoire, réponse à ses insomnies, elle a quelque chose, elle transmet plus qu'elle ne l'imagine par ses silhouettes de femme drapé comme dans l'antiquité. selon ses professeur, c'est le mouvement, l'impression que le tissu est véritablement poser sur la femme immobile, et non juste sculpter par des mains de femmes, qui fait la force de son art. VIII. le soleil, de  son sourire à son âme. sa personne est digne de cet astre brillant qui réchauffe notre planète. son âme est douce est réconfortante, mais aussi brûlant et ardent que l'astre. . IX. le sport, quelqu'il soit, elle l'a déjà pratiqué au moins une fois. en quête de nouvelles expériences, elle raffole de nouveautés. parapente, parachute, skateboard, roller, escrime, taekwondo. pourtant aussi surprenant soit-il, elle revient qu'à quelques exceptions: le yoga médidatif, qu'elle pratique le matin avec le pilate, le taekwondo une fois par semaine, et le self-defense. X. un sourire, éblouissant, radieux, contagieux. rien ne peut effacer ce sourire, si ce n'est la disparition de sa lumière d'âme. elle est cette personne qui verra toujours le bon côté des choses, celle qui sera toujours là qu'importe la situation. elle vous enveloppera toujours d'un sourire qui effacera tout. XI. la vie, des hauts et des bas. des cauchemars, aux rêves réalisés. elle a conscience que celle-ci n'est pas tendre, pourtant elle ne lui en tient jamais rigueur, car "la vida es una loca aventura, cariña." disait sa grand-mère, "pero vale la pena vivir". alors elle compte bien la vivre cette aventure. XII. le café, noir corsé ou sous des forme plus douce. pas une journée ne peut être sans ces petits grains noirs. addiction très certaine, elle ne le cache pas ou ne le nie pas. le café est une institution. XIII. des parfums, de la vanille, à l'arôme de café, au sel marin dans sa chevelure après une session de sur, au goût des groseilles sur sa langue. on se souvient de son passage l'effluve délicate elle laisse derrière elle en sortant d'une pièce. XIV. des couleurs, sans couleur pas de vie. alors sa garde robe autant que son intérieur est le reflet de sa personne. florale et colorée. si son meilleur atout est un perfecto noir, comme toute motarde, elle est une amoureuse des couleurs chaudes et vive. de la robe, au jean et t-shirt de groupe de rock, ses choix son en adéquations avec elle. XV. le racisme, grand pays libre, grand pays puissant et pourtant dans un monde où elle n'est pas comme la majorité, elle a été confronté au rascisme. d'abord dans cette école de riche blanc. puis dans le monde de l'art. sa couleur de peau n'est jamais assez blanche ou assez foncée pour tel ou untel. elle apprit à faire avec, et pourtant cela ne l'empêche pas d'être très engagée pour des cause, comme le féministe, l'égalité, la justice équitable. XVI. des choix, elle en a fait, et elle ne regrette pas sauf ceux qu'elle a fait le concernant, lui. jona. un prénom qu'elle murmure dans son sommeil, quand l'absence de son corps lui est trop difficile. parfaite compagne, bien malheureuse, mère de substitution pour deux adorables tête brunes, mais un vide immense créé de ses regrets.. XVII. un couple, ou une mascarade, vouloir plus lui a brûles les ailes. mais elle a essayé, et pourtant. il était génial, elle se sentait bien, elle était heureuse. il voulait ce qu'elle voulait. ils ont essayé de réaliser leur rêves. et puis, il y avait ces deux têtes brunes, qui certe n'étaient pas siennes mais qui l'adoraient comme tel. et une bague au doigt. que vouloir de plus. elle qui veut toujours plus. alors un sourire d'apparat, qui cache ses doutes derrière. XVIII. des poèmes, des mots qui résonnent en son âme. son amour pour la poésie ne date pas d'hier, il a surgi alors qu'elle se cherchait adolescente. des textes engagés, aux textes plus romantisés. il n'est pas rare de la voir flaner sur un muret la tête dans un bouquin de poésie. XIX. gus, alias gustavo batman, sa tortue terrestre. son meilleur ami, son mouchoir de chagrin. il raffole des carottes et des pastèques. petite folie de jeunesse pour redonner le sourire à sa nièce préférée, après une déception de son âge. maintenant en garde partagée, ce cheloniidé au fort caractère et un adolescent plutôt difficile, mais que ses deux mamans adorent. tel un animal totem, grace à gus, mara s'investit plus dans la cause animal, et fait partie d'une assossiation de protection et de sauvegarde des tortues. XX. à deux roues, ou rien. depuis ado elle se déplace à moto. jamais dans une boite en acier, c'est son crédo. qu'il pleuve, ou pas, elle sera toujours sur sa bécane qui est peut être son premier enfant à voir comment elle la bichonne.