chaussette (av.) _ magma (sign.) _ Wildheart ♥ (bannière)
Joanne Prescott // Caleb Adelson // Andrea Hopkins // Thomas Fraser // Nyls Norwood // Gregory Sutterlee // Eli Hartley// Stefan Salomon // Charlie Sharp // Ezra Keller // Oonagh Fitzgerald
27 années qu'elle observe d'un regard mauvais, l'impression parfois d'être une vieille pie en mal d'expériences ou bien une jeune sotte qui a gâché le brillant avenir qui s'offrait à elle.
Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
Même si Chayanne, son attachant voisin, occupe toutes ses pensées, bien malgré elle...
Bring your love, baby, I could bring my shame
Bring the drugs, baby, I could bring my pain
I got my heart right here
I got my scars right here
Partage son temps entre un job ponctuel à la boutique d'antiquités de Rebecca, sa tante adorée, contrainte agréable et le roller derby qu'elle pratique si souvent qu'elle peut maintenant affirmer que c'est une carrière à envisager sérieusement. Miss Météore , c’est comme ça qu’on l’appelle quand elle est sur la piste. Ou alors, on la siffle, mais attention aux représailles…
Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
» Fan des films des années 80, son préféré reste sans doute Beetlejuice
» Mâche un chewing-gum dès qu'elle le peut, ça l'aide à se concentrer
» Grande adepte du seconde main
» Adore les concours de shots
» Boxeuse infatigable, elle a volé les clés de la salle pour pouvoir s’entraîner la nuit
» Rêve de visiter l’Egypte
» Matérialiste, elle possède une bracelet bien garni, chaque breloque représentant un objet important dans sa vie
» Son pêché mignon? Les oursons en chocolat
» Très mauvaise perdante, surtout aux jeux de société
» Dès que résonne Sweet Dreams de Eurythmics, elle ne réponds plus de rien
» Possède une collection de places de cinéma
» Appelle sa mère tous les Dimanche soir, son père trois fois par jour
» A une peur inconsidérée des tortues
" Un dicton ressassé par sa tante remonta ainsi à la surface: On aime les hommes pour ce qu'ils font, les femmes pour ce qu'elles sont "
Surnom : Le plus courant restera “Val”, diminutif logique, une seule syllabe bien plus aisée à prononcer que les sept lettres qui composent son prénom. Et récemment, on l’appelle “Miss Meteore”, son pseudonyme floqué au dos d’un tee-shirt quand elle enfile ses patins et qu’elle devient une joueuse redoutable de roller derby. Age, date de naissance : Vingt six ans, en pleine crise d’adolescence. A pointé le bout de son nez à l’aube d’un vendredi 13, à croire que la malchance a démarré à partir de cette date fatidique. Lieu de naissance, origines : Un pur produit de Monterey, depuis la première seconde. Mais on peut aisément trouver des origines anglaises, irlandaises et sans doutes galloises. Parfait mélange entre deux continents, à l’image de sa personnalité ambivalente. Métier, $$$ : Là, nous abordons un sujet bien complexe au sujet de Valeria: elle partage son temps entre le nécessaire et l’envie, entre la contrainte et le plaisir. Suite à la demande insistante de sa tante adorée, elle la seconde dans sa boutique d’antiquités dans le centre ville de Monterey. Le commerce, c’est pas vraiment son truc et lorsque sonne l’heure des inventaires, elle s’échappe mystérieusement dans les tréfonds de la boutique. Mais elle n’a pas le choix, elle a besoin d’argent, besoin de faire quelque chose. Et tout récemment, elle s’est découvert la passion du roller derby. Elle a intégré une équipe, se bat comme une lionne, souffre en silence mais refuse d’abandonner ce projet fou: d’en faire une carrière, une vraie. Orientation sexuelle : Alors ça, très bonne question au sujet de Valeria. Sans doute ne le sait-elle pas, elle se dit aimer tout le monde, sauf qu’elle est à présent incapable de confier son coeur. Par contre, au sujet de son corps, elle le maltraite, repousse ses limites et ne sait comment le respecter. Alors, elle pourrait le mettre à disposition d’un homme d’un simple claquement de doigt. D’une femme? Faut voir. Hétérosexuelle jusqu’aux dernières nouvelles. Statut marital : Ah, à cette question, aucun doute possible: Val’, elle est célibataire. Seule, isolée, étrangère au concept de couple. Pourtant, elle y croyait, si fort, pensait que la magie allait opérer, que le premier était le bon, que c’était immuable et définitif. Quelle connerie monumentale. Depuis, hors de question pour elle de penser à ne serait-ce que s’engager. Une bague au doigt? Plutôt vomir. Appartenir à quelqu’un? Il n’est pas encore né, celui qui pourrait lui redonner foi en ce mot qui se tord dans sa bouche… “Amour”. A Monterey depuis ? : Toujours en somme, elle connait chaque quartier, chaque boutique, chaque coin de rue pour avoir tant vadrouillé depuis sa plus tendre enfance. Monterey, c’est sa maison, au sens large, c’est là qu'elle se sent la plus complète. Caractère : Wow, caractère… de feu, non? Val’, elle ne s’arrête pas aux compromis. Provocatrice dans l’âme, elle ose se lever, retourner la table et lancer quelques jurons bien sentis. Elle est franche, sans doute trop. Extrêmement authentique, elle est également bavarde, peu souriante, réfléchie, taiseuse… jusqu’au moment où la tentation est trop forte d’ouvrir sa… bref, vous avez compris.
Elle est fidèle, surtout envers sa famille et ses amis qu’elle soutiendrait quoi qu’il arrive. Travailleuse infatigable, elle est également endurante et ne connaît pas la douleur. Sauf quand elle prend le dessus sur son esprit de guerrière, évidemment.
Récemment, elle travaille son esprit solitaire et se découvre une âme puissante, à l’esprit d’équipe aiguisé. Terriblement naturelle, elle se veut aussi nerveuse et excessive, parfois stressée et souvent capricieuse.
Groupe : Après une très longue hésitation, j'opterais pour Gabrielle Solis.
a life, a story
Confortablement installée dans un de ses fauteuils gigantesques du bar le plus hypé de tout Monterey, elle soupire une nouvelle fois, jette un coup d'œil à son smartphone prêt à rendre l’âme, à l’écran fissuré et à la coque noircie. Val’, elle est impatiente, elle se dit que si dans cinq minutes, Tante Becca n’a pas fait son apparition magistrale, elle se casse boire un verre dans un endroit moins… coincé que ça. Non mais franchement, des rideaux? Des… ronds de serviette? Putain, quelle blague. Elle gigote sans arrêt, son regard oscille entre deux pétasses qui prennent un verre en afterwork et une famille aux cinq minots qui font un boucan pas possible. Les nerfs à vif, elle préfère baisser la tête, frotter ses yeux à l’aide de ses deux mains et s’arrête net, perturbée par un bruit qu’elle connaît pourtant par cœur. Ce bracelet à son poignet droit, véritable relique de son passé, de son histoire. Composé de différentes breloques, chacune symbolisant un instant, un souvenir, un pan de sa vie.
Alors, n’ayant rien d’autre de mieux à faire, elle décide de se souvenir…
» ce “V” étincelant, comme au premier jour. Et pourtant, cette lettre a… vingt-six ans. La première breloque d’une longue liste à venir. Une offrande de son père, l’homme de sa vie, une puissante connexion entre les deux se créant presque instantanément, le jour de la naissance de Valeria. En couveuse, elle agrippe le doigt de son paternel, tremblant à l’idée d’approcher un être aussi petit qu’elle. Une mère qui a toujours rêvé d’avoir un enfant, un père qui était beaucoup plus réticent à cette idée effrayante. Ils ne sont pas tout jeunes, ils se pensent trop imparfaits pour éduquer et accompagner un être qui n’a rien demandé à personne. Et pourtant, les deux parents sont aux anges, le jour où Val pointe le bout de son nez. Elle est une chance inespérée de devenir meilleurs, plus altruistes, plus exigeants envers eux-même. Et l’enfance de Val est assez classique, enfant unique plutôt choyée, un poil égoïste, caricature de cet enfant qui a tout et qui n’a rien demandé en prime. Elle a peu d'amis ou alors dès qu’elle s’en fait, c’est intense et quasiment exclusif. L’école est une véritable torture pour Val’, elle s’ennuie en discontinue, supporte mal de rester assise toute la journée, préfère laisser son regard vagabonder à travers la fenêtre de la salle de classe. Ses résultats ne sont pas mauvais mais pas excellents non plus. Elle stagne dans une moyenne… qui ne veut rien dire de plus. Ses parents, quoi qu’il arrive, sont toujours à ses côtés. Quand ils ne sont pas en train de se disputer, parfois en se jetant des objets, parfois en se confessant des menaces et noms d’oiseaux. Val’ sait très jeune qu’ils ne s’aiment pas ou alors qu’ils ne savent tout simplement pas être ensemble. Mais ils sont liés par le désir et le devoir: celui de rester soudés pour Valeria. Cette dernière préfère courir dans les jupons de sa tante, Rebecca. Chez elle, elle peut grimper aux arbres, se rouler dans l’herbe, se tâcher, marcher pieds nus. Choses impensable dans sa propre maison car sa mère a des réactions compulsives: sur le ménage, sur le rangement. Sur quasiment chaque fait et geste de tout être humain. Val’ comprend, grâce à sa maturité, que ce n’est pas vraiment de sa faute, à la mère. Mais que c’est comme ça. Elle ne travaille pas, traumatisée par une expérience douloureuse du monde du travail. Son père est tout le contraire: responsable des achats dans une grande entreprise, il n’est jamais là, revient pour le week-end, profite de sa fille ponctuellement, bien qu’il l’aime plus que tout au monde. Et dans tout ça, Val, elle flotte. Se laisse porter. Se dit… on verra bien.
» Un tendre hippopotame et celui-là réussit à foutre des larmes à Valeria, enfin, un semblant, elle qui est certaine de ne plus pouvoir réussir à pleurer. Elle se souvient, Val, de ses peluches, deux pour être exacte, une pour elle et une pour sa maman. Des doudous roses et blancs, qu'elles avaient appelé "Hippo" et "Potam". Niveau originalité, on repassera. Ce lien qui les unissait encore et toujours, malgré l'incompréhension, les cris, la colère et la distance. Car les doutes de Val concernant l’état psychologique de sa mère été fondées, avaient une véritable portée médicale: quand le jour de ses onze ans, Val se lève, elle ne trouve pas sa mère devant la télé, avec un gigantesque bol de café au lait et des tartines de pain et de confiture. Non, il n’y a que le silence. Qui l’effraie. Qui l’engloutit. Surprise, la jeune Val’, ayant l’habitude que sa mère l’accompagne à l’école, se faufile à pas discret jusqu’à la chambre parentale, celle qu’elle n’a pas le droit d’approcher, d’ordinaire, offense sacrée si elle pose un orteil dans ce lieu de la maison réservée aux adultes. Oui, cette fois-ci, elle ose, elle se dit “rien n’est normal, il faut que j’aille voir”. Et c’est le début de la fin. Sa mère, allongée dans son lit, ne dit pas un mot, ne réagit pas aux mots de sa fille. À plus personne d’ailleurs. Val claque des doigts devant son regard vide, absent. Et se fait cette remarque qui la hantera à tout jamais: “l’âme de ma mère a disparu. Envolée”. Elle ne pensait pas si bien dire, Val. Paniquée, elle appelle sa tante Patricia, qui habite à l’autre bout de Monterey. Cette tante autoritaire, qui prend les choses en main, ce qui soulage l’enfant perturbé qu’est Val. Car sa mère, même… différente, était sa meilleure amie. C’est avec elle qu’elle regardait des séries télé d’un autre temps, avec elle qu’elle aimait rigoler au sujet des anecdotes people. Sa mère, c’est son opposé total mais qui reste sa plus fidèle confidente. Elle conserve une certaine tendresse à son égard, mais avec parcimonie. Là, elle est surtout en colère, ne comprend pas. Car du jour au lendemain, sa mère part vivre dans un centre spécialisé. On dit qu’elle est dépressive chronique. Son père, elle le voit pleurer pour la première fois de sa vie, dans la voiture, en rentrant de la première visite. Et c’est là que Val se fait cette réflexion qui la poursuivra toute sa vie: On est profondément seul le jour où on se rend compte qu’on est entouré. Car malgré son père qui démissionne de son travail pour être aux côtés de sa fille, malgré Rebecca qui emménage chez les Myers, malgré des amis et des psys... Val, elle ne comprend rien. Et ne cherche aucune aide.
» Un arbre de vie, et quelle vie, putain. Val n’a pas le choix, enfant qui tend doucement l’adolescence, elle se doit de continuer des études standards pour satisfaire les idéaux de son père, qui lui souhaite une belle carrière, qui espère tant pour Val. Un avenir professionnel si solide, grâce à des années de sacrifices pour enfin obtenir une autonomie financière et une liberté grâce à une carrière stable. Oui, c’était à ça qu’il pensait le père Myers, le meilleur pour sa plus belle réussite dans sa vie: sa fille. Mais grâce à Rebecca, qui lui permet de se libérer de ses chaînes, elle explore ses capacités physiques bien plus que intellectuelles. Elle sent qu’elle a une fibre, Val, quelque chose qui grouille dans ses mains, sous sa peau. L’impression de toujours repousser les limites, elle court sans arrêt, ne se satisfait d’aucune séance de sport bien qu’interminable. C’est d’ailleurs la seule matière qui la passionne à l’école et ensuite au lycée. Grâce à Rebecca, qui la met en relation avec une de ses connaissances, elle arrive enfin à trouver l’activité qui réussit à combler tous ses besoins: l’escalade. La grimpe, pur et dure, dans ce gymnase au début et ensuite, ces parois rocheuses. Ce vide. Ce silence. Cette confrontation à elle et elle seule. Val adore ça, elle se sent si vivante. Et grâce à ces quelques heures de bonheur, elle serre les dents, continue d’aller au lycée, décroche son diplôme. Elle arrive enfin à satisfaire à la fois les exigences de son père et les encouragements de sa tante. Et elle est si résistante, Val, s’entraîne sans relâche et se dit qu’elle pourrait s’élever à un niveau… olympique. Faire de sa passion un métier véritable, réussir ce pari si risqué. Valeria, elle y croit, dur comme fer. Travaille jour et nuit mais se dit que ça en vaut largement la peine. Son rêve, elle se battra pour qu'il se réalise.
» Cette note de musique. Val se souvient que ce soir-là, il n’y en avait pas qu’une seule qui s’est jouée à travers l’obscurité, non, bien au contraire. C’était… une longue succession d'artistes fabuleux qui jouaient des morceaux tous plus incroyables les uns que les autres. Le lieu de ce rendez-vous magique? Le concert annuel de rock de Monterey, là où tous les ados de la ville se ruent pour profiter de l’alcool à prix réduit, de l’espace si grand que toutes les conneries faîtes en ces terres pourront se disperser avec le vent. L’impression étrange qui flotte dans l’air, que le lendemain n’a aucune importance, que tout ce qui compte, c’est ici et maintenant. D’un pas lourd, elle avait accompagné deux trois copines, elle se fondait dans la masse, elle avait cet air bougon, incapable de résister à la tentation de vérifier son téléphone portable toutes les trois secondes. Ce qu’elle attendait? Un message de sa part. Un signe de vie car il faisait le mort depuis plusieurs jours déjà. Leur rencontre en cours avait été étonnante, leur amitié tout autant. Et puis, les quelques messages envoyés s’étaient transformés en nuits blanches à se confier leurs passés, leurs émotions, leurs frayeurs et leurs espoirs. Elle lui avait tout dit, sans concession. Sans crainte d’être jugée car il était… digne de confiance. Val le sentait, c’était indescriptible. Elle savait ce qui se passait dans son cœur, dans son ventre, plus bas encore. Elle ne s’en voulait presque pas de rêver de lui, de réaliser que toutes ses pensées étaient… tourmentées par sa présence. Non, elle n’a pas eu peur de se pointer chez lui, de monter dans sa chambre, de lui dire: “Je t’aime, en fait". Comme si c’était un jeu de piste entre eux depuis le début et que Val avait enfin gagné le gros lot: l’amour. Elle ne comprit pas tout de suite à quel point c’était fort. À quel point c’était beau, inattendu. Elle n’était pas très fan des grandes histoires d’amour, n’y croyait tout simplement pas. Mais ce premier coup de foudre s’imposait à elle, cette première nuit où elle lui a offert ce qu’elle avait de plus précieux. L’impression que cela durerait toujours, eux et plus seulement elle et lui. Il lui avait promis qu’il la rejoindrait à ce concert, faisant le mur alors qu’il était puni par sa mère. Et il avait tenu parole: quand Val l’avait vu fondre la foule pour l’attraper dans ses bras, son sourire n’aurait pas pu être plus grand. Son sentiment de soulagement n’aurait pas pu être plus intense. Et cette soirée… Elle s’en souviendra à tout jamais. Pas besoin d’une breloque pour cela. C’est gravé au fer rouge dans sa mémoire. C’était tellement parfait. Et beau. Et cosmique. Par contre… l'atterrissage fut violent, le lendemain matin. Quand Val s’aperçut qu’il n’était plus là. Elle savait qu’il avait besoin de respirer, qu’il détestait se sentir oppressé. Oui, mais là, elle sentait que c’était différent. Une semaine de silence et quand elle se rendit une nouvelle fois devant sa maison, dans un quartier opposé au sien, elle comprit que ce ne serait plus que ça: une longue et éternelle absence. Il n’était plus là. Pas d’explications, pas de justifications. Au revoir, Val et merci pour tout. Connard, va.
» Une moto, symbole de son accident. Celui-ci, Val ne sait pas pourquoi elle le conserve. Plus d’une fois, elle a pensé le jeter, le détruire, le broyer. Elle se souvient que c’est sa voisine de chambre à l’hôpital qui lui a offert. Lui disant même “Valeria, c’est pour que tu n’oublies jamais les épreuves que tu viens de traverser”. Et les quatre mois qu’elle a passés, clouée dans un lit, dans une chambre morne et stérile ne suffisent pas à ce qu’elle se souvienne à tout jamais de ce putain d’accident de parcours, hein? Val est en colère, non, plus que ça: elle ne trouve pas de mot assez fort pour décrire sa frustration, sa peine. Et dans son malheur, elle arrive même à se souvenir de chaque seconde de cet accident: elle se revoit, conduire cette moto, légèrement bourrée, à peine droguée. Elle venait de quitter une soirée fort agréable, à laquelle elle avait rencontré un mec très mignon. Val n’avait qu’une idée en tête: rentrer au plus vite chez Tante Becca avant que cette dernière ne rentre de son dîner. Elle n’avait pas le droit de sortir, son père était en voyage d’affaires et sa tante s’était montrée inflexible sur les sorties en dehors des heures de cours. Elle sait qu’elle maîtrisait la situation, parfaitement même. Jusqu’à ce chauffard occupé sur son smartphone, qui l'a fauché. Voilà. En trois minutes, le destin de Val s’est retrouvé bouleversé et ce n’est juste pas une formule toute faite: les blessures physiques ont enterré à tout jamais ses espoirs concernant l’escalade à un haut niveau. C’était foutu. Elle qui se préparait depuis des mois pour une compétition de la plus haute importance ne sera jamais rétablie à temps. Ses mains ont été touchées, sa dextérité et sa puissance? Atteintes trop profondément. Val venait de prendre un stylo et de barrer d’un long et profond trait ce rêve de sa liste: devenir championne olympique. C’était foutu. Voilà ce qu’elle se répétait, s’interdisant de pleurer, surtout quand son père et Tante Becca passaient la voir. Surtout quand ses ami(e)s lui rendaient visite. Val s’est mise à détester ce silence qu’elle chérissait quand elle escaladait, elle a fini par haïr la solitude qui l'apaisait. Et puis surtout, elle a réalisé qu’elle devait à présent envisager un plan B. Que ce chemin tout tracé qu’elle pensait évident n’était plus praticable. Valeria avait fait un tapis et venait de tout perdre. Que faire avec un jeu de cartes aussi difficile?
» Ce coffre, minuscule, presque comme un trésor. C’est ce qu’elle représente aux yeux de sa Tante Becca. La fille qu'elle n'a jamais eu. Une femme sévère, intense et terriblement drama queen. Un savant mélange entre Anna Wintour et Minerva McGonagall. Au regard acéré et aux remarques piquantes à souhait. Patricia a toujours fait partie de sa vie, elle a volontiers rempli son rôle, avec fermeté mais ne souhaitant jamais remplacer sa mère. Cette dernière vit toujours dans des établissements médicalisés, Val ressent moins de colère à son égard, au contraire, elle semble… lui avoir pardonné de ne pas être la maman idéale. Elle la respecte, prend de ses nouvelles, va la voir en compagnie de son père. Mais la femme qui rythme son quotidien, c’est bien Rebecca. Après son accident, elle a exigé que Val vienne habiter avec elle, son père étant obligé de vendre la maison pour payer les frais médicaux et diverses dettes. Elle aurait pu emménager avec lui, Val, dans cet appartement deux pièces qu’elle aimait bien, finalement. Qui était petit mais chaleureux. Mais Rebecca n’était pas de cet avis: elle voulait l’avoir sous les yeux. Pour la surveiller, bien entendu, elle ne s’en cache même pas. “La vérité sauve les âmes”, qu’elle répétait sans arrêt la Tante Becca. La franchise était une valeur qu'elle défendait coûte que coûte. Mais surtout pour lui apporter un soutien et une stabilité maintenant que tout semblait s’effondrer autour de Val. Alors, elle lui offre un job à mi-temps dans sa boutique d’antiquités, qu’elle tient dans le centre ville de Monterey. Elle sait que Val a un diplôme bidon en poche, ne semble s’intéresser à rien d’autre que ses regrets. Et puis, un soir après dîner, elle lui avoue qu’elle est malade. Cancer du foie. Bon, c’était prévisible, vu ce qu’elle s’envoyait régulièrement, en compagnie de ses copines portées sur la bouteille. Pas une once de peur ni une frêle larme dans l'œil, Val su à ce moment précis qu’elle allait être forte, encore une fois, pour Rebecca. Alors, elle a hoché la tête et lui a promis qu’elle sera à l’heure tous les matins au travail. Que c’était devenu nécessaire, vital: Val épaulerait sa tante au travail et Rebecca s’occuperait de l’équilibre de Val. Échanges de bons procédés.
» Le dernier arrivé dans cette drôle de collection, un patin à roulettes. Le fait que cette breloque trouve une place toute choisie sur ce bracelet est dû à un hasard formidable: Val, n’écoutant que sa colère, s’est mis à pratiquer la boxe de façon intensive et brutale, toujours de nuit, errant comme une âme solitaire. Se cachant du reste du monde, agissant comme un vampire. En fait, Val s’imposait une souffrance qu’elle pensait mériter. Et puis, elle aimait exprimer sa souffrance à haute voix, en criant même parfois. Hors de question pour elle de croiser un autre être humain qui pourrait surprendre son drôle de manège. Et puis, un soir, en arrivant, elle croise une nana. Pas très polie, un peu agressive. Bref, elles étaient faîtes pour s’entendre. C’est elle qui lui explique qu’elle est venue coller des affiches car elle recrute pour son équipe de roller derby. Connaissant cette discipline aussi bien que la métaphysique, Val a haussé un sourcil, marmonnant des banalités sans nom. Et la nana passive-agressive lui a répondu: “Bah viens voir au lieu de faire genre tu connais.” Et elle était partie. Val, elle s’était retrouvée bien conne, seule, à lire ces quelques mots, à observer ce dessin de casque et de patin. Et puis, elle s’est dit… pourquoi pas. Depuis… huit mois, si ses calculs sont exacts, elle pratique le roller derby. Elle a beaucoup chuté, Val, mais l’équilibre est vite venu. Elle sait que c’est brutal, que c’est rapide. Que c’est différent de tout ce qu’elle a déjà expérimenté. Mais Valeria en a ras le bol de s’interdire de tester. De vivre. Cette pratique lui fait un bien fou. Et puis… qui sait, pourrait devenir son nouvel idéal de carrière.
Et tandis qu’un sourire s’étire sur ses lèvres, partagée entre l’envie de pleurer ou bien de hurler, en proie à des émotions bien plus fortes qu’elle, elle finit par sortir de sa contemplation, sentant une présence juste à côté. Clignant des yeux et fronçant des sourcils, elle ne peut s’empêcher de demander:
C’est à cette heure là que tu arrives?
Tante Becca, au regard de braise, les deux mains sur les hanches, lui réponds d’un air dédaigneux:
Redresse toi, ma belle Valeria. C’est comme ça qu’on acceuille sa tante adorée? Lève toi ma grande et ouvre tes bras à la vie, à l’amour et à la chance.
Persuadée que les paroles de Rebecca sont une sorte de vérité absolue, elle s’exécute et se niche au creux de cette femme qui l’a soutient depuis toujours. Qui représente un véritable modèle, qui lui offre une direction à tenir: se battre, quoi qu’il arrive. Ne jamais renoncer. Même les deux genoux à terre, une issue est encore possible. C’est ce que Valeria s'évertue de faire, désormais…
The Red Feather Célébrité : Florence Pugh Présence : Aussi souvent que l'IRL me le permette mais le RPG est une priorité dans mon quotidien Découverte du forum : J'sais plus depuis le temps, mais j'y suis depuis des mois Type de personnage : Une nouvelle fois, inventé! Crédit : harley
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"Nobody exists on purpose. Nobody belongs anywhere. We're all going to die. COME WATCH TV." _ Morty Smith.
Dernière édition par Valeria Myers le Dim 3 Déc - 17:50, édité 21 fois
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 9:12#
Re-bienvenue avec cet excellent choix ! Amuses-toi avec ta belle Val !
Invité
Invité
Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 9:13#
Florence J'approuve à 100% le choix du FC ! Elle a ce truc... j'adore! En tout cas, rebienvenue chez toi et bon courage pour la suite de ta fiche J'aime beaucoup ce que j'ai lu dans la partie invité et j'ai hâte de lire la suite
Valeria Myers
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The Red Feather (Camille ; elle)
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27 années qu'elle observe d'un regard mauvais, l'impression parfois d'être une vieille pie en mal d'expériences ou bien une jeune sotte qui a gâché le brillant avenir qui s'offrait à elle.
Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
Même si Chayanne, son attachant voisin, occupe toutes ses pensées, bien malgré elle...
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Partage son temps entre un job ponctuel à la boutique d'antiquités de Rebecca, sa tante adorée, contrainte agréable et le roller derby qu'elle pratique si souvent qu'elle peut maintenant affirmer que c'est une carrière à envisager sérieusement. Miss Météore , c’est comme ça qu’on l’appelle quand elle est sur la piste. Ou alors, on la siffle, mais attention aux représailles…
Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
» Fan des films des années 80, son préféré reste sans doute Beetlejuice
» Mâche un chewing-gum dès qu'elle le peut, ça l'aide à se concentrer
» Grande adepte du seconde main
» Adore les concours de shots
» Boxeuse infatigable, elle a volé les clés de la salle pour pouvoir s’entraîner la nuit
» Rêve de visiter l’Egypte
» Matérialiste, elle possède une bracelet bien garni, chaque breloque représentant un objet important dans sa vie
» Son pêché mignon? Les oursons en chocolat
» Très mauvaise perdante, surtout aux jeux de société
» Dès que résonne Sweet Dreams de Eurythmics, elle ne réponds plus de rien
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 9:14#
@Link Auroch , merci beaucoup, en espérant qu'on puisse se trouver un lien dès que je serais validée
@Manoé Miller , j'suis tellement ravie que le choix de FC plaise, j'ai longuement hésité mais finalement, Florence m'a beaucoup inspiré J'fais au mieux pour cette fiche
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Invité
Invité
Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 9:17#
REREREREREEEEE
Tu vas encore nous sortir un personnage magnifique avec une histoire qui va me faire pleurer ?
Valeria Myers
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The Red Feather (Camille ; elle)
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Tu as trente ans. Les rêveries de la vingtaine qui se sont envolées. (02/06)
Ton mari est décédé depuis quatre ans. Tu es veuve, tu pensais te relancer dans une histoire, finalement cela n'a pas fonctionné.
Des études culinaires, que tu as combiné à l'oenologie. Tu fais partie du clan des vins Patterson. Avec tes cousines, vous avez aussi un restaurant "La route du vin" (gastronomique). Et dernièrement, tu t'es lancée dans un nouveau projet, ouvrir un gîte au milieu des vignes, avec un côté ranch.
Tu résides à l'ouest de Monterey, maison ancienne acquise il y a un an.
Bouge tout le temps. Adore les fleurs. Ne sait pas chanter. Rigole fort. Jamais trop loin de son téléphone. Adore la photographie. Passionnée par la cuisine et le vin. A le permis moto. A très peur des insectes. Ne regarde jamais la télévision. Apprécie regarder un coucher de soleil quand sa journée a été merdique. Fait toujours attention à son apparence. Collectionne les sacs et le parfum. Adore nager. Allergique aux acariens. Habile de ses mains. A un chat : Yoda. A le vertige. Adore se retrouver en pleine nature pour se ressourcer.
Régulière.
staff - to help you
Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 9:28#
Re-bienvenue Florence j'aime déjà beaucoup le début de ta fiche
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Dance with the Devil It's just a little red wine, I'll be fine Not like I wanna do this every night I've been good, don't I deserve it? I think I earned it, feels like it's worth it In my mind, mind
Valeria Myers
2173
The Red Feather (Camille ; elle)
La puissante Florence Pugh
chaussette (av.) _ magma (sign.) _ Wildheart ♥ (bannière)
Joanne Prescott // Caleb Adelson // Andrea Hopkins // Thomas Fraser // Nyls Norwood // Gregory Sutterlee // Eli Hartley// Stefan Salomon // Charlie Sharp // Ezra Keller // Oonagh Fitzgerald
27 années qu'elle observe d'un regard mauvais, l'impression parfois d'être une vieille pie en mal d'expériences ou bien une jeune sotte qui a gâché le brillant avenir qui s'offrait à elle.
Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
Même si Chayanne, son attachant voisin, occupe toutes ses pensées, bien malgré elle...
Bring your love, baby, I could bring my shame
Bring the drugs, baby, I could bring my pain
I got my heart right here
I got my scars right here
Partage son temps entre un job ponctuel à la boutique d'antiquités de Rebecca, sa tante adorée, contrainte agréable et le roller derby qu'elle pratique si souvent qu'elle peut maintenant affirmer que c'est une carrière à envisager sérieusement. Miss Météore , c’est comme ça qu’on l’appelle quand elle est sur la piste. Ou alors, on la siffle, mais attention aux représailles…
Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
» Fan des films des années 80, son préféré reste sans doute Beetlejuice
» Mâche un chewing-gum dès qu'elle le peut, ça l'aide à se concentrer
» Grande adepte du seconde main
» Adore les concours de shots
» Boxeuse infatigable, elle a volé les clés de la salle pour pouvoir s’entraîner la nuit
» Rêve de visiter l’Egypte
» Matérialiste, elle possède une bracelet bien garni, chaque breloque représentant un objet important dans sa vie
» Son pêché mignon? Les oursons en chocolat
» Très mauvaise perdante, surtout aux jeux de société
» Dès que résonne Sweet Dreams de Eurythmics, elle ne réponds plus de rien
» Possède une collection de places de cinéma
» Appelle sa mère tous les Dimanche soir, son père trois fois par jour
» A une peur inconsidérée des tortues
" Un dicton ressassé par sa tante remonta ainsi à la surface: On aime les hommes pour ce qu'ils font, les femmes pour ce qu'elles sont "
@Sebastian Myers , ah bah voilà p****, j'étais CERTAINE que le nom était pris! depuis hier, ça me tracasse! Comme tu préfères, je peux changer sinon, j'veux pas m'imposer
@Leila Patterson , merci beaucoup, j'espère que la suite te plaira tout autant
_________________
"Nobody exists on purpose. Nobody belongs anywhere. We're all going to die. COME WATCH TV." _ Morty Smith.
Invité
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 9:30#
Non pas de soucis On peut en discuter par mp si tu veux pour un lien de famille, si jamais ça t'intéresse
Valeria Myers
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Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 11:00#
Olala mais quel personnage de dingue que tu nous prépares toi aussi Rebienvenue chez toi. J'aime beaucoup trop ce que tu nous laisse découvrir de ta belle Val (ce choix de FC aussi ) J'adore la manière dont tu vas traiter son histoire et il me tarde vraiment de la lire. Courage pour la rédaction et garde moi une petite place dans tes liens pour un ou plusieurs de mes personnages.
Valeria Myers
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Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 11:03#
@Timothée Jackson , ravie que la caractérielle Val' te plaise autant
Promis, je fais vite pour la suite, j'suis en train de la rédiger, cette histoire narrée d'une manière si particulière
Avec plaisir pour un lien, quelques idées germent déjà
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 11:05#
Rebienvenue par ici
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 11:08#
Mais oui je l'aime trop. Comme tous tes persos aussi tu me diras Ooooh hâte de lire tout ça alors. Tu connais le chemin n'hésites surtout pas à venir me harceler, pour qu'on en discute. La porte est toujours ouverte pour toi.
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Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
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Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 11:10#
@Timothée Jackson , mowaaa promis, dès que je suis validée, j'passe une tête dans tes MPS pour qu'on développe ça
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 12:03#
Une femme de caractère, on stan Re bienvenue à toi
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Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 12:06#
Rebienvenue avec cette beauté encore une fois
Bon courage pour le reste de ta fiche
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27 années qu'elle observe d'un regard mauvais, l'impression parfois d'être une vieille pie en mal d'expériences ou bien une jeune sotte qui a gâché le brillant avenir qui s'offrait à elle.
Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
Même si Chayanne, son attachant voisin, occupe toutes ses pensées, bien malgré elle...
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Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
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Cain Wilder
1409
elo
Kim Jaejoong
Panic Station
Qiang Lian
34 ans (03/01)
Pansexuel, le sexe de l'autre n'a aucune importance à ses yeux. Célibataire au cœur brisé depuis peu après avoir appris la mort de son petit ami durant une intervention de l'aide humanitaire dans laquelle il s'était engagé.
Mannequin/acteur très connu en Corée du Sud, moins ici. Sa carrière sur le continent américain grandit petit à petit depuis son arrivée. Mais ce n'est pas encore les films blockbusters qui demandent sa présence.
Dans une villa trop grande pour lui dans le quartier Ouest, la plage à porté de bras. Une piscine chauffée mais pas de spa.
♧Né(e) le 03/01/1990 à Séoul
♧ Coréen de nationalité américaine
♧ A Monterey depuis 2020
♧ Ambitieux, charismatique, sportif, intelligent, soigneux, arrogant, rancunier, manipulateur, indifférent, franc
♧ Adopté par la famille Wilder lorsqu'il était un bébé, peur des chiens, n'aime pas qu'on le touche sans son consentement
membre du mois
Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 12:21#
Re-bienvenue !
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The sky is full of stars, shining only for me
Valeria Myers
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Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
Même si Chayanne, son attachant voisin, occupe toutes ses pensées, bien malgré elle...
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Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
» Fan des films des années 80, son préféré reste sans doute Beetlejuice
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» Boxeuse infatigable, elle a volé les clés de la salle pour pouvoir s’entraîner la nuit
» Rêve de visiter l’Egypte
» Matérialiste, elle possède une bracelet bien garni, chaque breloque représentant un objet important dans sa vie
» Son pêché mignon? Les oursons en chocolat
» Très mauvaise perdante, surtout aux jeux de société
» Dès que résonne Sweet Dreams de Eurythmics, elle ne réponds plus de rien
» Possède une collection de places de cinéma
» Appelle sa mère tous les Dimanche soir, son père trois fois par jour
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Kassie a découvert ses sentiments pour elle. Elle laisse les choses aller voir que ca peut lui mener.
J'étudie en mécanique, c'est une réel passion pour moi. Je l'avoue maintenant vu qu'une connaissance m'a vu et j'ai du le dire à tous les gens. Je l'assume de plus en plus, cette passion qui est hors norme pour les femmes. Je travail comme réceptionniste dans le garage des deux frères Sutterlee.
J'habite dans une mini studio dans l'est de la ville. J'habite seule pour la première fois, j'avoue que parfois je m'ennuie mais, j'arrive toujours à m'occuper. Mon petit studio est légèrement décorer mais, c'est un endroit ou je me sens très bien.
Elle voit une travailleuse sociale/psychologue en secret pour travailler sur elle. △ Elle adore manger de la salade ou même tous les repas de sa mère. Elle est végétarienne. △ Kassandra aime bien les tattoo. Dernièrement, elle a envie de se faire un. Elle a plusieurs tattoo △ Elle aime bien acheter des vêtements ou accessoires de mode mais surtout des souliers. △ Elle aime tous les sports. C'est une grande sportive. △ Elle adore la mécanique.△ Elle est homosexuelle.
Présente.
great member
Sujet: Re: C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo. Dim 30 Oct - 12:41#
Re bienvenue ! :) J'adore déjà ton personnage ^^
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''Les défis de la vie nous rend encore plus certains de nos choix ''
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27 années qu'elle observe d'un regard mauvais, l'impression parfois d'être une vieille pie en mal d'expériences ou bien une jeune sotte qui a gâché le brillant avenir qui s'offrait à elle.
Brisé, même si elle refusera de l'admettre. Premier amour qui déménage du jour au lendemain et ne donne pas de nouvelles. Trahie et confuse, elle ne se laissera plus prendre au jeu de l'amour aussi facilement...
Même si Chayanne, son attachant voisin, occupe toutes ses pensées, bien malgré elle...
Bring your love, baby, I could bring my shame
Bring the drugs, baby, I could bring my pain
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Partage son temps entre un job ponctuel à la boutique d'antiquités de Rebecca, sa tante adorée, contrainte agréable et le roller derby qu'elle pratique si souvent qu'elle peut maintenant affirmer que c'est une carrière à envisager sérieusement. Miss Météore , c’est comme ça qu’on l’appelle quand elle est sur la piste. Ou alors, on la siffle, mais attention aux représailles…
Résidence grandiose dans le quartier ouest, la maison de cette chère tata qui lui a ordonné de venir vivre chez elle. Une baraque à la AHS dans la première saison, manoir modernisé dans lequel elle déteste foutre un pied.
» Fan des films des années 80, son préféré reste sans doute Beetlejuice
» Mâche un chewing-gum dès qu'elle le peut, ça l'aide à se concentrer
» Grande adepte du seconde main
» Adore les concours de shots
» Boxeuse infatigable, elle a volé les clés de la salle pour pouvoir s’entraîner la nuit
» Rêve de visiter l’Egypte
» Matérialiste, elle possède une bracelet bien garni, chaque breloque représentant un objet important dans sa vie
» Son pêché mignon? Les oursons en chocolat
» Très mauvaise perdante, surtout aux jeux de société
» Dès que résonne Sweet Dreams de Eurythmics, elle ne réponds plus de rien
» Possède une collection de places de cinéma
» Appelle sa mère tous les Dimanche soir, son père trois fois par jour
» A une peur inconsidérée des tortues
" Un dicton ressassé par sa tante remonta ainsi à la surface: On aime les hommes pour ce qu'ils font, les femmes pour ce qu'elles sont "