Do you Do you St Tropez ?

Saint-Tropez (2008) - @David Sutterlee

(Août 2008) Le soleil est levé depuis plusieurs heures. Vous avez roulé en direction de Saint-Tropez avec votre van. Tu l'avoues cette destination, tu l'attends depuis un moment. Tu as bien compris que cette ville semble être le lieu des actrices françaises. Alors, tu veux te mettre dans la peau d'une actrice le temps d'une journée pour te prélasser au soleil, sur du sable fin et tenter d'avoir un accent français crédible. Même si cela fait deux ans, que tu es sur le territoire français, ton français s'est amélioré dignement. Mais ton accent américain reste collé à tes lèvres.
Vous êtes garés sur un parking, non loin de la plage. C'est le bruit des mouettes qui t'a réveillé. Sans faire de bruit, tu t'es faufilée hors du van pour aller marcher. Lunette de soleil vissée sur le bout du nez, chapeau, short, tong, tu t'es promenée à travers les ruelles pour trouver une boulangerie. Un sachet avec des croissants, deux cafés dans l'autre main, tu retournes jusqu'au van.
Cette vie te va. Tu n'avais pas aspiré à ça en arrivant en France. Tu pensais très vite obtenir un diplôme de mode, travailler pour les plus grands, organiser des défilés. Finalement, la vie a basculé. Tu n'as rien de tout ça pour le moment. Mais, tu as David. Il a adouci ce goût amer que la vie avait laissé en toi. Il a apporté la douceur nécessaire, qui te permet d'avancer, de te raccrocher en tes rêves. Tu les as laissé de côté pour l'instant, parce que ce break dans ta vie est nécessaire : voyager, découvrir la France, profiter sans songer au lendemain.
David te fait voir la vie autrement. Et surtout, sans même avoir eu le temps de dire "ouf", ton coeur s'est emballé pour lui. Tu pensais qu'il serait uniquement LE coup de ta vie, parce qu'il a toutes les caractéristiques : grand, brun, musculature idéal, charme à couper le souffle. A la place, sur un coup de tête, vous avez acheté ce van d'occasion.
Tu ouvres la porte du van, posant les croissants et les cafés, avant de plonger sur David pour l'embrasser.
- Il est l'heure de manger un croissant !
Tu as aussi récupéré plusieurs flyers des lieux à) visiter, des choses à découvrir.

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Blue Side of the Sky ❆ I've been fighting for something invisible That makes me want it more, and just on principle I'm taking down the doors that once were shut before Was lost, but now I'm sure

do you, do you st tropez?

ft @Calista Adams

août 2008. Voilà deux ans que tu avais quitté ta terre natale. Ce n'était pas une contrainte, c'était un choix, un choix qui te correspondait bien. Tu n'aurais jamais pu rester là où le drame familial s'était produit. Si tu laissais ton frère derrière toi, c'était plutôt la charge émotionnelle que tu avais laissée sur place. C'était plus facile pour toi de fuir que d'affronter réellement cette peine, cette culpabilité qui t'habitait depuis sa disparition. Tu ne dirais pas que c'était un mal pour un bien, mais c'était probablement la meilleure décision que tu avais prise depuis ce drame. Tu avais découvert les pays sud américains, tu avais quitté le sol de Monterey pour finalement t'émanciper, comme tu l'avais toujours souhaité.

Aujourd'hui, tu n'étais plus sur le sol américain, mais bel et bien européen. Et lorsque tu ouvris un oeil et que tu réalisas une nouvelle fois, comme chaque matin depuis quelques semaines maintenant, que tu étais dans ce van, tu te disais que jamais tu n'aurais pu imaginer un tel chamboulement de vie pour toi. Tu étais destiné à reprendre les traces de ton père, et te voilà loin des Sutterlee, ici tu étais seulement David, l'américain, avec ton petit accent qui subsistait malgré les mois passés en France. Le comble était que tu étais tombé sur cette américaine, elle aussi originaire de Monterey, et que par sa présence, elle te rappelait un petit bout de ta vie d'avant. Sans le savoir, sans le lui dire, quand tu parlais dans ta langue maternelle avec elle, et que parfois il vous arrivait de parler de vos familles, c'était comme garder un certain lien avec ton passé. Alors qu'il était clair, qu'en elle, tu voyais ton avenir. D'ailleurs, avec un demi oeil ouvert, tu remarquas qu'elle n'était pas à côté de toi, et tu eus un soupçon de déception à ce constat. Tu gromelas avant d'entendre la porte du van s'ouvrir, tu sentais que la chaleur commençait à augmenter dans le van et tu te doutais que votre soirée prolongée à contempler les étoiles et à parler jusqu'à pas d'heures avait eu des conséquences sur ton sommeil lourd. - Il est l'heure de manger un croissant ! Tu redressas légèrement la tête vers elle alors qu'elle sautait sur le lit pour t'embrasser. « Non mais... J'peux savoir où t'étais ? » dis-tu d'une voix encore enrouée, dénonçant clairement ton réveil de dernière minute, voire secondes.

Moses.

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Saint-Tropez (2008) - @David Sutterlee

(Août 2008) Tu es joyeuse ce matin. Le soleil qui réchauffe ta peau et te donne une jolie couleur dorée, le vent qui s'immisce légèrement dans ta longue chevelure brune. Tu retournes en direction du van, prête à réveiller David, s'il ne l'est pas déjà. Tu retrouves aisément ton chemin, malgré les multiples petites ruelles pavés, tu as mémorisé des points de repères. Tu restes persuadée que tu as dû te tromper de rue en sortant de la boulangerie, car le trajet du retour t'a paru beaucoup plus long.
Tu avances vers le van, ouvrant la lourde porte avant de sauter sur David pour le réveiller. Tu les laisses émerger. Tes lèvres se posent sur les siennes. D'ailleurs, tu es incapable de te décider sur quel baiser tu préfères : celui du matin ou celui du soir avant de t'endormir.
- J'ai été cherché des croissants, du café et des flyers pour préparer nos activités ! Dis-tu avec ton sourire scotché à tes lèvres.
Tu as abusé sur les flyers, tu en as vraiment pris de toutes les sortes : passant de la randonnée, aux heures des marchés et même d'une balade à cheval sur la plage.
- Et j'ai aussi vu une affiche dans un petit restaurant, ils cherchent deux serveurs pour ce soir, car il y a une grosse soirée/concert. Vivre avec des petits boulots à droite et à gauche pendant vos périples, ça vous permet de vous faire de l'argent, mettre un peu d'essence, manger et faire des activités.
Tu as donc laissé ton numéro téléphone au gérant, ce qui lui permettra de te rappeler en fin de matinée. A vrai dire, tu n'es pas la serveuse la plus douée, légèrement maladroite, mais tu vis ça comme une expérience ; faites de nouvelles rencontres, de bons souvenirs. Et surtout, si tu es avec David, c'est encore mieux !
- Mais pour le moment on a toute la journée pour profiter ! Dis-tu en laissant le bout de tes doigts effleurer la musculature de son torse.

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ft @Calista Adams

août 2008. Sans savoir comment tu t’appelais ou où tu te trouvais, tu plissais les yeux questionnant déjà Cali sur ce qu’elle faisait… Ou sur ce qu’elle était partie faire. Tu ne savais pas comment il était possible d’être aussi matinale. « J'ai été cherché des croissants, du café et des flyers pour préparer nos activités ! » Tu te raclais la gorge, essayant difficilement d’émerger alors qu’elle semblait déjà d’attaque pour commencer la journée – enfin pour la poursuivre, étant donné qu’elle semblait déjà réveiller depuis un paquet d’heures. « Et j’ai aussi vu une affiche dans un petit restaurant, ils cherchent deux serveurs pour ce soir, car il y a une grosse soirée/concert. » Tu finis par te relever légèrement, te mettant sur tes coudes, tu la fixais. « Tu es bien trop réveillée pour moi, Miss Adams. » avouas-tu avec un léger sourire, toujours amusé par la flamme qui l’animait. Elle avait déjà prévu les prochaines vingt-quatre heures alors que tu n'avais pas encore ouvert un oeil, est-ce que c'était étonnant ? Pas vraiment. « Mais pour le moment on a toute la journée pour profiter ! » Tu regardais ses doigts t’effleurer la peau, et tu soupirais – un sentiment heureux t’envahissant, tu finis par l’attraper pour la faire rouler et te mettre au-dessus d’elle. « Tu ne quittes plus ce lit sans mon autorisation. » déclaras-tu, venant effleurer son nez contre le sien. Tu vins glisser une main sous sa cuisse pour la relever doucement contre toi. Nu, tu vins alors te coller à elle alors qu’elle avait eu l’audace de s’habiller et de partir sans toi. « Tu aimerais toi te réveiller sans moi à tes côtés ? » demandas-tu finalement au creux de son oreille alors que tu déposais des doux baisers dans son cou, venant renifler son odeur qui t’enivrait tellement.

Moses.

Do you Do you St Tropez ?

Saint-Tropez (2008) - @David Sutterlee

(Août 2008) Toujours débordante d’une énergie incroyable, tu n’as pas voulu flemmarder dans le lit et le laisser dormir paisiblement, à la place, tu as été visiter les premiers abords de la ville et dénicher les bons plans. D’ailleurs, il semble que tu as trouvé de bonnes adresses. Tu n’es pas non plus revenue les mains vides, un bon petit-déjeuner pour attaquer la journée comme il se le doit.
Tu débites déjà plusieurs paroles à la fois, pour l’informer de toutes les possibilités pour la journée à venir. En plus, la météo est clémente avec vous, il y a un grand soleil et aucun nuage à l’horizon. Tes doigts effleurent son torse, en recherche d’un petit contact physique et lui accordant un peu de douceur pour qu’il se réveille complètement. Finalement, il t’attire et tu te retrouves sur le dos, lui au-dessus, tes yeux qui plongent dans son regard. Ce regard, tu ne t’en lasses pas. Tu lâches un rire entre tes deux lèvres quand il te dit que tu ne vas pas t’échapper de ce lit. Le voir au-dessus de toi torse-nu, ne te donne plus l’envie de bouger, mais bien de rester collée à lui. D’ailleurs, il semblerait bien qu’il n'ait toujours aucun autre vêtement.
Oh, les baisers le long du cou, son souffle chaud qui caresse ta peau, sa main sur ta cuisse. C’est bien décidé, tu ne bougeras pas d’ici. Tu as d’autres idées qui te traversent l’esprit.
Tes mains se collent à son dos, le caressant.
- Je vais me faire pardonner ! Dis-tu en gloussant.
D’ailleurs, tu retires déjà ton débardeur pour commencer à te faire pardonner. Tes lèvres capturent l’un de ses lobes d’oreilles pour le titiller, laissant tes mains s’aventurer sur chaque parcelle de ton corps.
- Je suis folle de votre corps monsieur Sutterlee !

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ft @Calista Adams

août 2008. Si tu ne l’avais pas entendue partir, il semblerait que Cali ait déjà fait une tonne de choses sans toi. Tu bougonnes, tu râles, tu lui fais comprendre qu’elle n’a pas à partir sans toi de la sorte. Ce n’était pas dans tes habitudes tu l’abandonnais, et tu aimerais qu’elle fasse de même. En réalité, cette réflexion était purement égoïste, tu aurais juste aimé te réveiller à ses côtés, mais à son sourire, au soleil qu’elle dégageait de son visage, tu savais qu’elle était comblée d’avoir pu faire une balade matinale. Tant mieux. Il était vrai que ce n’était pas toujours facile d’être enfermé entre ces quatre cloisons. La proximité vous ne dérangez pas, d’ailleurs tu lui rappelais à quel point elle aimait ça et tu lui interdisais de repartir. Tu avais de lourds arguments pour la convaincre, et tu en usais et abusais. Glissant ta main sur sa cuisse pour la remontrer contre ta hanche, tu lui susurrais quelques mots. « Je vais me faire pardonner ! » Son petit rire te réchauffait le cœur, et tu savais déjà que tu l’avais convaincue. Elle se redressa maladroitement pour retirer son débardeur, alors qu’elle vint finalement attraper ton oreille du bout des lèvres, des frissons parcoururent ton corps et tu sentais déjà le désir t’envahir. « Je suis folle de votre corps monsieur Sutterlee ! » Tu te pinças les lèvres, et t’aventuras finalement sur sa poitrine, tu vins déposer des baisers chauds le long de la lisière de son soutien-gorge, déplaçant la main sur sa cuisse à l’intérieur de celle-ci pour venir défaire les boutons de son jeans. Tu embrassas ce tissu rigide afin de réveiller en elle le même désir ardent que tu étais en train de ressentir. « Mon corps est tout à toi… mais… mmh… » entre deux baisers entre son nombril et le haut de son pantalon, tu lui faisais comprendre que tout cela t’embêtait. « Toi, par contre, tu ne me rends pas la tâche facile. » tu levais les yeux vers elle, un sourire malicieux sur ton visage d’ange tandis que tu te redressais sur tes genoux, faisant basculer le drap par-dessus toi, et lui laissant la vue complètement sur toi, nu, et dressé. Le message était clair...

Moses.

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Saint-Tropez (2008) - @David Sutterlee

tw : nudité, relation intime

(Août 2008) Cette alchimie entre vous n'est pas anodine. Tu es attirée par lui comme un aimant. Vraiment, il t'a fait tourner la tête à l'instant où tu as posé les yeux sur lui. Et que dire de son regard, tu deviens faible quand il plonge ses yeux dans les tiens. Il ne te faut pas grand chose pour céder à la tentation. Sa main sur ta cuisse t'a déjà convaincu qu'il faut te faire pardonner d'avoir abandonné le lit pour te balader dans les rues de Saint-Tropez. Tu uses de la douceur de tes mains pour caresser son corps. Débardeur en moins, tu apprécies les baisers qu'il dépose non loin de ta poitrine. Des frissons parcourent ton corps, à chaque seconde où ses lèvres se posent sur ta peau. Ton sourire s'étire à ces paroles, laissant ensuite un rire retentir dans le van. En effet, tu as encore bien trop de vêtements sur toi.
Tu mordilles ta lèvre inférieure quand il se redresse sur ses genoux. Tes yeux dévorent véritablement son corps. Tu déboutonnes aussitôt ton vêtement, te tortillant pour le retirer. Tu es à présent en sous-vêtement, bien plus à l'aise. Tes mains se logent derrière sa nuque pour l'attirer contre toi.
- Je te laisse me retirer le reste ! Dis-tu avec ta voix malicieuse, pendant que ta main vient se glisser un peu plus bas pour attraper l'engin du plaisir et t'amuser avec.
- J'espère que nous sommes sur la même longueur d'ondes et que tu ne voulais pas faire une partie de Monopoly ?
Ajouter un petit peu d'humour dans ce genre de moments, c'est tout toi ! Tu es quelqu'un de joyeuse, prête à rire à chaque moment de la vie.

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ft @Calista Adams

tw: nudité, sexe

août 2008. Si ton réveil avait été tristement réalisé avec la conclusion de l’absence de Calista, tu lui fis comprendre assez bien qu’elle devait se faire pardonner. La jeune femme ne mit pas très longtemps d’ailleurs à te comprendre, et alors que tes baisers couvraient son corps, tu la retrouvais sous toi, et sans vêtement superflu. La jolie brune rayonnait par son sourire, et rien que d’en faire le constat, cela te comblait de joie. « Je te laisse me retirer le reste ! » s’exclama-t-elle avec malice, ton sourire pincé aux lèvres, tu t’exécutas, venant retirer les derniers bouts de tissus qui la couvraient. Un râle retentit de ta gorge lorsque tu sentis ses mains attraper ton entre-jambe et ton cœur fut comblé de la retrouver à nouveau. « J’espère que nous sommes sur la même longueur d’ondes et que tu ne voulais pas faire une partie de Monopoly ? » Un léger rire se fit entendre, alors que tu vins poser ton regard dans le sien. « Nous sommes tout à fait sur la même longueur d’ondes » confirmas-tu alors que tu avais encadré son visage de tes mains pour te soutenir, venant plaquer ton corps nu contre le sien. « Tu sens ça ? » demandas-tu finalement alors que tu te frottais sensuellement contre elle. « C’est le désir que j’éprouve pour toi, je ne me lasserai jamais de cette sensation. » confias-tu d’une petite voix suave à son oreille, venant retrouver sa bouche pour l’embrasser fougueusement. Tu n’attendais qu’une seule chose, ne faire qu’un avec elle et commencer alors la journée en beauté.

Moses.

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Saint-Tropez (2008) - @David Sutterlee

tw : nudité, relation intime

(Août 2008) Le soleil vient illuminer l’intérieur du van, réchauffer vos deux corps qui sont couverts par un simple drap de soie blanchâtre. Tu te retrouves rapidement sans aucune vêture, ta peau effleure la sienne. Tu ne le dis peut-être pas assez mais ces moments sont précieux et ses bras sont le seul endroit où tu te sens en sécurité.
Ta main se balade pour aller constater qu’il a envie de toi, autant que toi. Tu brûles déjà de désir pour lui. Tu ries lorsqu’il te confirme être sur la même longueur d’ondes que toi. Tu en es ravie.
Tu as tenté d’être méfiante au début de votre rencontre. Tu venais de subir le pire coup bas de ton ex petit-ami Ben. Cet homme t’a bousillé le cœur, tes rêves. Il t’arrive de repenser à tout ça, d’avoir encore cette amertume, cette peur au ventre de subir la même chose : la trahison. David est différent. Il te le montre chaque jour un peu plus. Tu lui fais confiance. Il veille sur toi, il a de nouveau réussi à égayer ton sourire. Et surtout, tu vis des aventures inoubliables avec lui. Aujourd’hui Saint-Tropez et dans une semaine une autre ville de France à découvrir. Vous avez déjà exploré une bonne partie de ce joli pays. D’ailleurs, tu es fière de toi, tu as perfectionné ton français et tu retiens même les expressions.
Ta bouche s’entreouvre quand il se frotte contre toi. Tu sens cette vague de chaleur qui part de tes pieds jusqu’à la tête.
- David, tu me rends folle de désir pour toi !
Tu prolonges ce baiser, venant faire valser ta langue avec la sienne pendant que le bout de tes doigts caressent sensuellement son dos musclé.
Tu as envie de monter au septième ciel, d’avoir des fourmillements dans le corps, de le sentir en toi et crier de plaisir. Parce que même pour ça, vous arrivez bien souvent à être complètement connectés. D’ailleurs cette alchimie, tu ne t’en lasseras jamais. Même si tu as cette nouvelle tendance à vivre au jour le jour, tu espères que cette sensation ne te quittera jamais et que ce bonheur simple que tu es en train de vivre avec David va perdurer.

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ft @Calista Adams

tw: nudité, sexe

août 2008. Tu ne savais pas de quoi demain était fait. Et c’était peut-être pour ça que ta relation avec Cali était si connectée, vous viviez de la même manière. Aucune question, aucun doute. Vous aviez envie de profiter ce que la vie avait à vous offrir. Peut-être que plus tard cela poserait problème mais pour le moment aucune question ne se posait. Vous aviez pris ce van sur un coup de tête et arpentiez désormais le sol français de part en part, n’hésitant pas une seconde à découvrir de nouvelles choses. Mais s’il y avait bien un élément qui permettait également cette alchimie, c’était votre attirance l’un pour l’autre. Si autant elle que toi aviez pu profiter de votre vie de ce côté-là, on pouvait clairement dire que vous étiez faits pour vous retrouver dans le même lit. Savoir seulement qu’elle était là, à quelques centimètres de toi, dans ce lit, t’avait suffi pour animer en toi un désir ardent que tu décidas de ne pas refouler. « David, tu me rends folle de désir pour toi ! » Tu étais brûlant, chaud comme la braise, tu sentais cette vague de chaleur te parcourir alors que vos deux corps étaient finalement nus l’un contre l’autre. Tu te frottais à elle pour qu’elle sente d’elle-même, sans gêne ni artifice, à quel point tu étais excité aussi de ton côté. Sur elle, tes deux mains encadrant son visage, tu te tenais fièrement la fixant dans les yeux tandis que tu vins finalement te glisser en elle. Tu n’eus pas besoin de faire grand-chose, ce qui prouvait qu’elle aussi n’attendait que ça. Tu regardais son visage se détendre tandis que la sensation que tu ressentais d’être finalement en elle te libérait une dose d’endorphine dont tu ne te lasserais jamais. Tu commenças à faire des va et viens avec ton bassin, la fixant toujours droit dans les yeux, te mordant légèrement la lèvre alors que tu prenais déjà un plaisir monstre.

Moses.