Le coeur a ses raisons. - Ft Murphy

Le motel se trouve droit devant lui actuellement et il est en train de buger sévère sur la chose. Il était en train de peser le pour et le contre. Il se dit que c’est sûrement faux, que non, Murphy n’est pas là, n’est pas en vie, mais il y a une part de lui, que si, il y croit. Murphy, un homme qui, même s’il ne va pas l’avouer, il a aimé et l’attache est encore des plus présents. Velam a déjà aimé, au point de se fiancer. Murphy, enfin, Rust, c’est une autre manière. Trop de fierté pour avouer les choses habituellement, pour le coup, ça allait être le cas. Avouer des choses, le dire clairement. Il finit par entrer dans les lieux, avec un peu d’hésitation et de manque de confiance en lui pour une fois.

Inspirant et expirant, il a comme le traque, le sentiment de timidité. Il ne sait pas et pourtant, il finit par entrer dans le bâtiment, et marche doucement pour chercher s’il trouve la personne qu’il désire. Il esquive alors les gens potentiels pouvant l’empêcher de vagabonder là où il veut. Il cherche, il marche et monte des étages, dans l’espoir de le voir. Et ainsi, une fois dans le couloir, il remarque une porte ouverte, menant dans une chambre et donc, y entre avec prudence. Il le voit alors enfin, il le regarde fixement. “ R..rust ?”

Il le fixe, se demandant s’il ne rêve pas, mais non, non, il est là. Il hésite, mais il approche, il craque et continue d’avancer. Avant de venir courir et d’un coup, vient ensuite lui sauter au coup, venant l’embrasser d’un coup, avec passion, avec une fougue. Avant de reculer, le regardant dans les yeux, prenant son visage entre ses mains. “ Bon sang de merde ! C’est quoi ça !? De se faire passer pour mort ?”

Et le voilà qu’il le pousse, venant soupirer.

Murph' & Vel'

Je ne sais pas quelle heure il peut bien être. Ça fait un moment que je m'affaire après cette partie de lambris que je remplace dans toutes les chambres, une par une. J'ai généralement de l'aide de mes compères du Diesel and Dust mais pas H24 non plus. Passant un bras sur mon front pour écarter quelques gouttes de sueur, je joue de la partie arrache-clous du marteau pour retirer les lames. Le bruit de la frisette qui craque rythme ma tâche tandis que je songe à tout le travail qui demeure encore à faire. Un album de Midnight Oil vient combler l'atmosphère, si bien que je n'entends pas les pas d'un intrus quelconque se ramener à l'étage. C'est marrant comme malgré ce qui m'est arrivé il y a deux mois de cela, n'impacte pas pour autant le psychique... enfin pas complètement. Pourtant, j'ai de quoi être sur le qui vive avec l'idée que ma famille apprendra bientôt que je suis non seulement bel et bien vivant mais toujours dans les parages et que j'ai rejoins le clan adverse. Je devrais avoir les yeux derrière la tête, verrouillant chaque porte pour ma propre sécurité, mais j'ai fais le choix de ne pas vivre dans la peur. S'ils veulent venir me trouver, qu'ils viennent, je les attends de pied ferme. S'ils ont cherché à m'éliminer une fois par l'intermédiaire de ce fils de pute de Witt, auront-ils néanmoins cette fois-ci le courage de m'affronter en face à face. Sûrement,vu le pied de nez que je leur ai fait en rejoignant les Brawlers. Ça et la façon dont j'ai décidé de poursuivre ma vie dans la même ville, sous leurs yeux. Des yeux qui auront tôt fait de savoir que je suis là s'ils ne le savent pas déjà. Bref, si je reste toujours armé en toute circonstances, je demeure sur l'idée de ne pas sombrer dans la crainte qu'on me tombe une nouvelles fois dessus en traitre.
Alors lorsque j'entends mon surnom prononcé sur le ton de la surprise et d'une émotion évidente, je tourne la tête avec une lenteur habitée par un soupçon de confiance envers les évènements.

- Nom de Dieu... Vel' ! m'étonnais-je de te voir débarquer ici en me redressant, toujours le marteau à la main, jetant un bref coup d’œil derrière toi au cas où tu sois accompagné.

T'as l'air hésitant puis tu t'approches, le regard brillant tandis que je demeure malgré moi un soupçon méfiant. Après tout, tu bosses pour ma nièce au Wolf Golden et va savoir s'ils ne t'ont pas envoyé en repérage. Franchement, je ne crois pas et quoi qu'il en soit, je suis là alors s'ils veulent venir me trouver, rien de plus facile, je n'ai érigé aucune forteresse autour de moi après tout, la preuve en est.
Tes pas s’accélèrent et tu viens me percuter de plein fouet en me saisissant littéralement entre tes bras. Mon marteau m'échappe et s'échoue au sol en produisant un bruit sourd. Je ne m'attendais pas à ça et encore moins à ce baiser plein de fougue habité comme par une certaine détresse, lequel me parcoure d'une traite telle une vague brulante, comme si j'étais encore prêt à te sauter dessus là tout de suite à la moindre étincelle entre nous... comme il n'y a encore pas si longtemps que cela... avant que je ne disparaisse des écrans radars et ne donne plus signe de vie à quiconque hormis ceux du Diesel and Dust qui m'ont recueilli et pour ainsi dire sauvé la vie.

Néanmoins, ce contact auquel je n'étais plus habitué depuis quelques temps, me perturbe, partagé entre ta présence ici, la foule de souvenirs qui te relie à ma famille et le danger potentiel que tu pourrais représenter. Lequel je choisis d'écarter, non sans vérifier que tu portes une arme, cependant... . Mais avant, je te laisse accueillir mon visage entre tes mains alors que tu me regardes droit dans les yeux.

“Bon sang de merde ! C’est quoi ça !? De se faire passer pour mort ?”

J'écarte soudain tes mains, sans un mot puis t'attrape pour te plaquer rudement contre le mur derrière nous, une main autour de ta gorge, la saisissant avec fermeté, l'autre en train de tâter chaque zone où tu pourrais dissimuler une arme. Ceci étant vérifié dans l'idée d'écarter toute possibilité de ce genre, je te relâche et m'écarte, reculant juste de quelques pas.

- Comment t'as su ?

S'entend par là la recherche d'une réponse simple. Par un quidam, ma famille ou parce que tu m'aurais potentiellement aperçu en ville ou autour du motel ?

@Velam Wahlgren

by frimelda

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okinnel

Vel ne peut pas se retenir de se presser contre lui dans le baiser. Il ne peut se retenir de caresser son torse ou encore son visage. Mais une chose est sûre, c’est qu’il n’est pas là pour le tuer. Qu’il n’a pas que ça à faire dans le fond même. Il le regarde dans les yeux, quelques instants, un sourire sur ses lèvres, avant de ne pas comprendre la suite des choses pour le coup. Il le regarde alors, attentivement dans les yeux. Autant le dire, qu’il est heureux de le voir, même si, autant le dire, il ne s’y attend pas. Il grimace alors en se sentant alors plaqué au mur. Il le regarde dans les yeux, levant un peu la tête en sentant alors la main sur sa gorge, celle-ci est serrée par une main ferme. Il sourit en coin, venant alors tenir son poignet, venant le serrer un peu. Il plonge son regard dans celui-ci de l’homme devant lui, venant alors glisser sa main le long de son bras, puis, sur sa joue, tandis qu’il le sent fouiller. “ Si tu te tapes plus bas, tu verras que je suis armée de quelque chose assez conséquente.”

Il hausse les épaules, avant de reculer de contre le mur une fois libéré de son emprise, passant alors une main doucement sur sa gorge, venant la masser délicatement. Il vient ensuite faire quelque pas pour regarder la pièce où il se trouve actuellement, faisant le tour de Murphy, et vient alors lui sourire ensuite. “ J’ai eu vent, que tu étais là. Et je voulais le vérifier de mes propres yeux, étant donné que tu étais déclaré mort.”

Il soupire. Il l’a vrai cru mort pendant tout ce temps alors quand il a eu vent de la présence de Murphy, il voulait clairement le vérifier par lui-même, être sûr de la véracité de la chose et que ce ne soient pas un mensonge, mais la stricte vérité. Il approche de nouveau, venant retirer sa veste doucement et fait un tour sur lui-même pour montrer qu’il est inoffensif pour le coup. “ Tu penses que je suis là pour m’en prendre à toi ? Clairement, je suis la dernière personne qui voudrait te faire du mal.” Car il a bien remarqué que c’est pour ça, que Murphy l’a plaqué au mur pour le palper afin de vérifier s’il n’est pas armé. Il approche de lui ensuite, le regardant dans les yeux.

“ Au passage, je préfère me faire plaquer au mur, pour me faire sauter, tu sais ?”

Murph' & Vel'

T'as l'air de croire que mon geste est un jeu au départ alors que j'ai la main fermement crispée autour de ton cou, juste pour t'inviter à rester tranquille, mais tu saisis bientôt ce que je recherche en m'assurant de l'autre main, que tu n’ai pas d'armes sur toi.

“ Si tu te tapes plus bas, tu verras que je suis armé de quelque chose d'assez conséquent.”

Je relève les yeux sur toi, un sourcil arqué, sans relever. N'empêche, t'as toujours des répliques qui ont le don de me faire sourire, sauf que là, ce sourire ne vient pas, il demeure au fond, bien planqué. Tu te recules alors que je te relâche puis vais ramasser mon marteau.

“ J’ai eu vent, que tu étais là. Et je voulais le vérifier de mes propres yeux, étant donné que tu étais déclaré mort.”

- Par qui putain, Vel ?!

Tu te rapproches à nouveau de moi, effectuant un tour sur toi pendant que tu ôtes ta veste et ça me rappelle combien j'étais prompt il n'y a encore pas longtemps pour te sauter dessus rien qu'à te voir jouer ainsi, transformant chaque geste, chaque mouvement et chacune de tes attitudes en quelque chose d'on ne peut plus alléchant. L'effet, tu me le fais toujours mais j'ai d'autres préoccupations pour l'heure.

. “ Tu penses que je suis là pour m’en prendre à toi ? Clairement, je suis la dernière personne qui voudrait te faire du mal.”

Je te jauge du regard, cet air dubitatif toujours présent qui laisse entendre que tout peut changer. Les gens changent, la preuve avec les miens. Tu fais remarquer dans la foulée qu'au passage, tu préfères te faire plaquer au mur pour te faire sauter et je laisse échapper un soupir avant d'en revenir à ce qui me tient à l'esprit.

- Qu'est-ce que tu sais au juste de ma situation ? De ce qui m'est arrivé ? t'invectivais-je ainsi à parler sur un ton ferme.

Fut un temps, j'aurais cédé face à tes paroles, je n’en aurais même à vrai dire pas eu besoin. Bon sang, pour remettre ça autant de fois avec toi, c'est vraiment que ton joli petit cul en vaut la chandelle. Peut-être ta façon d'être aussi... parce que tu sais me charmer même quand je suis pas d'humeur et que t'as réussi à t'attirer une certaine affection de ma part. Neuf ans que t'es ici, je ne sais plus le nombre d'années qui se sont écoulées depuis que tu bosses au Wolf Golden mais toi et moi, ça s'est étalé sur une certaine période sans que je ne finisse par t'envoyer paitre. On peut dire que t'es un genre d'amant dont je ne sais me défaire, hormis ces deux derniers mois où je me suis coupé de tout. Sans doute parce que t'es indéniablement merveilleux au pieu mais que point essentiel, t'as jamais été du genre à me les briser. Pas trop pot de colle avec ça, pas trop indiscret ni emmerdant. De quoi avoir un semblant d'affection avec le temps.

@Velam Wahlgren

by frimelda

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okinnel

Velam avait bien remarqué que ce n’était pas un geste de manière à jouer. Il a remarqué et il n’est pas bête pour le coup. Il prend juste tout à la rigolade, tant c’est presque un boulet quand il s’y met. Il est libre de sa poigne, le regardant dans les yeux, avant de tout simplement soupirer. Il n’aime pas avoir des retrouvailles dans la colère, dans la méfiance, clairement, ce n’est pas la chose qu’il préfère le plus. “ Arrête de hurler putain, je vais y venir.” Il pose ses mains sur ses hanches. “ Je ne sais pas, d’accord !? J’en ai entendu parler au boulot, je n’ai pas fait attention à qui appartenait les voix.” C’est ça le pire, c’est qu’il ne sait pas. Velam avait entendu l’information et il voulait surtout savoir si c’était vrai ou non. Et le voir devant ses yeux, en chair et en os, ça le rend heureux, il en sourit, clairement. Même si actuellement, Murphy donne l’impression de vouloir l’étrangler plus qu’autre chose.

Il le regarde dans les yeux, approchant un peu, les yeux dans les yeux, il ne le touche pas et pourtant, aimerait bien actuellement. Lui-même aurait pu craquer depuis bien longtemps et aurait donné plus que des baisers. Ce qu’il aimerait actuellement, mais en entendant les paroles fermes de son ancien amant, il vient rouler des yeux et soupirer longuement. “ Tout ce que je sais, c’est que je te croyais mort, j’en ai...” il hésite, puis reprend. “ Pleurer.” Il soupire, n’aimant pas ça actuellement, dire ce genre de chose.

Il le regarde dans les yeux, venant alors approcher de lui, le regardant dans les yeux. Il hésite et vient ensuite passer une main quand même sur sa joue, la caressant doucement. Il vient alors doucement approcher son visage vers lui. Velam tient à Murphy, depuis qu’il le connaît et depuis qu’il le côtoie, il faut dire, il y a eu de l’attachement, du sentiment. Il sourit ensuite, reculant de nouveau, passant une main dans ses cheveux, les mettant en arrière. “ Je suis heureux de te revoir, pendant tout ce temps, j’ai vraiment cru, que tu étais mort, que plus jamais je ne te reverrai. Ne refais plus jamais ça.”

Il ne savait rien de la situation, clairement rien alors, le savoir maintenant en vie devant lui, le rend heureux.

Murph' & Vel'

“ Arrête de hurler putain, je vais y venir.”

- D'où j'hurle, Vel' ??!!

Bon en fait, peut-être un peu ouais. J'admets. Tu déclares alors que tu ne sais au final pas grand chose puisque ce sont des bruits de couloirs que tu sembles avoir saisi. je tique mais choisi de passer au-dessus des doutes qui m'envahissent.

“ Je ne sais pas, d’accord !? J’en ai entendu parler au boulot, je n’ai pas fait attention à qui appartenait les voix.”

Je passe là-dessus et insiste pour déterminer ce que tu sais exactement de ma situation, mon ton aussi rude que précédemment, quoi que peut-être un tantinet moins. Mais comme à ton habitude, tu ne te démontes pas le moins du monde et m'offre un sourire en te rapprochant sans te craindre, si ce n'est que tu me fais la grâce de ne pas me toucher. Sans doute pour éviter que je t'envoie balader à nouveau, comprenant que ce n'est pas le moment et que je suis légèrement à cran, est-il nécessaire de le souligner ?

“ Tout ce que je sais, c’est que je te croyais mort, j’en ai...déclares-tu avant de marquer un temps d'hésitation. “pleuré.”

Pour le coup, ton aveu a le don de m'apaiser un chouia. Tes paroles me la coupent et je te regarde à mon tour droit dans les yeux, dans un silence qui veut dire que je sais tes propos sincères. Après tout, toi et moi, y'a ce petit truc qui mine de rien, démontre à lui seul qu'il y a tout de même eu quelque chose de fort entre nous. Je ne peux pas le nier, je t'apprécie au-delà de ce qu'on a partagé physiquement. T'es un ami, un amant mais quant au reste, je ne me suis jamais posé la question. Qu'en serait-il de si c'est toi qui avais disparu ? Qu'est-ce que ça m'aurait fait ? Comment j'aurais réagi en te découvrant vivant ? Sans doute me serais-je ramené tout aussi précipitamment à ta rencontre pour te témoigner cette joie autant que ce soulagement de te savoir vivant.
Ta main sur mon visage, glisse comme une caresse qui me fait un instant fermer les yeux, appréciant ta douceur. Nos visages sont tout proches mais tu respectes en cet instant ma prise de position. Remettant bientôt une petite distance entre nous, je réalise que je n’ai pas eu le moindre geste à ton encontre.

“ Je suis heureux de te revoir, pendant tout ce temps, j’ai vraiment cru, que tu étais mort, que plus jamais je ne te reverrai. Ne refais plus jamais ça.”

Je laisse échapper un soupir, ne sachant ni par où commencer ni si je dois vraiment me prêter au jeu de quelconque confidences. Ne serait-ce pas te mettre en danger, qui plus est .... ? Je décide de ne pas piper un mot et récupère alors mon marteau, décidé à poursuivre le boulot comme un gros enfoiré qui jouerait les mecs insensibles de te voir ici. Je te tourne ainsi le dos quelques longues secondes, en proie au doute dans mon esprit qui m'incite à réagir autrement. Et finalement, je me redresse, réduis la distance entre nous et viens saisir ton visage de mes deux mains avant de presser un peu rudement mes lèvres contre les tiennes.

- Désolé d'avoir douté de toi. La situation est compliquée... .

@Velam Wahlgren

by frimelda

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okinnel

— Ben là ! Actuellement, tu hurles, bon sang !

Il soupire lassement pour le coup, le regardant encore quelques instants. Il finit par détourner le regard, venant mettre ses poings sur sa taille, tel l’homme pouvant être daron, le ferait. Il le regarde de nouveau, plantant son regard dans le sien. Il n’aime pas s’ouvrir de cette manière, avouer qu’il a pleuré. Clairement, il n’aime pas. Velam n’est pas le genre à s’ouvrir, montrer ses faiblesses. Pourquoi le faire ? Il se dit que clairement, ça pourrait se retourner contre lui, utiliser les faiblesses contre quelqu’un, il sait clairement le faire. Velam vient d’une famille assez...Extrême quand on y pense. Après ses gestes, il le regarde simplement. Le voyant soupirer, il a fait quoi encore ? C’était de trop une caresse sur la joue ? Il en a l’impression pour le coup.

Velam le regarde alors s’éloigner actuellement, reprendre tout simplement son marteau. Il ne sait pas ce qu’il doit faire pour le coup, s’il doit partir, ou rester. Il soupire lui-même, avant de tout simplement commencer à partir, passant une main dans ses cheveux, mais en entendant un bruit, il se retourne alors ensuite. Il le regarde dans les yeux, venant alors le laisser faire, fermant les yeux en sentant ses lèvres sur les siennes. Il sourit doucement, son coeur loupant un battement. Il vient doucement secouer la tête. — Oh, je ne t’en veux pas, vraiment...

Il sourit doucement, passant ses mains dans son cou, doucement, caressant ensuite son torse, posant son front contre le sien. — Je me suis vraiment inquiété, je t’ai cru vraiment mort. Velam avait bien cru l’avoir perdu, cet homme, il pensait clairement ne jamais le revoir et le voir devant lui, le sentir contre lui...le rend heureux. Il sourit alors, venant l’embrasser de nouveau.

Murph' & Vel'

TW: sexe qui finira sous balises hide. sisi

— Oh, je ne t’en veux pas, vraiment...

- Que tu m'en veuilles ou non, je m'en bats la ratte, soufflais-je avec malice alors que tu passes tes mains sur mon cou avant de les laisser serpenter sur mon torse, ton front appuyé contre le mien.

— Je me suis vraiment inquiété, je t’ai cru vraiment mort, déclares-tu avant de m'embrasser. Baiser auquel je réponds avant de relever.

- Ouais, t'arrête pas de me le dire.... dis-je en retirant mon haut mais stoppant soudain mon geste à mi hauteur, arrêté par ce que je n’ai pas envie de montrer et qui attirerait sans doute autant ta curiosité qu'un certain dégout de ta part, je présume. Avec les autres, je m'en fous, mais te laisser voir ces marques de brûlures sur mon corps, ça me fait tiquer et je préfère alors rabaisser mon vêtement avant d'aller éteindre la lumière puis revenir vers toi et me caler contre le mur tandis que j’appose tes mains à nouveau sur moi et les guide jusqu'à la fermeture de mon pantalon. La sensation de tes doigts qui s'affairent à défaire chaque bouton fait naitre encore plus de désir en moi et lorsque mon futal glisse sur mes genoux, je place une main sur le sommet de ton crâne après avoir encore profité d'une foultitudes de baisers, nos langues se mêlant avec toujours plus de cette frénésie qui nous gagne peu à peu.
Appuyant ainsi sur ta tête, je t'incite à te placer à genoux à mes pieds. Mes mains fourragent un instant dans tes cheveux alors que nous échangeons un regard où brille cette lueur particulière, entre l'empressement et l'envie de se faire languir encore un instant. Que tu me fasses languir, à vrai dire.
C'est fou l'effet que tu parviens à avoir sur moi, moi qui aurait préféré me concentrer d’avantage sur la question de ma famille, en cherchant à t'en extirper plus à ce sujet.
[La suite en hide les lapins. Et ouais, c'est pas pour vos mirettes ! ]

@Velam Wahlgren

by frimelda

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okinnel

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Murph' & Vel'

Tu as cette façon de te mordiller la lèvre après le baiser échangé, qui a le don de me faire aussitôt craquer malgré le désordre qui règne dans mon esprit. Désordre de ces derniers jours, désordre actuel, tourmenté par ta présence et tant d'autres choses. Je regrette un brin ma froideur et mon agressivité de départ. Mais pour l'heure, la seule chose qui m'importe est le désir que tu réveilles en moi, l'envie de sentir tes mains sur mon corps et plus encore tes lèvres.
La langueur dont tu fais preuve me rend littéralement fou au fil des secondes. Tout comme le regard de braise que tu me renvois. Je ferme un instant les yeux et laisse échapper un râle. La sensation de tes lèvres et de ta langue sur ma virilité me provoque des tremblements prompts à témoigner du feu qui brûle en moi et du désir qui se fait tellement ardent que je fini après un moment par t'inciter à te redresser d'un simple geste avant de t'attirer doucement vers une banquette situé dans un coin, à reculons, mon regard plongé dans le tien avec ce sourire mutin qu'il me semblait avoir perdu depuis ces derniers mois. Mois qui semblent avoir été des années... . Tu me fais tout oublier pour un instant et je me réjouis de retrouver toutes ces sensations et émotions auprès de toi.

Retirant finalement le reste de mes fringues, je m'apprête à m'asseoir sur la banquette et agrippe ta nuque pour t'entrainer avec moi dans ma chute alors que mon dos rencontre la surface de l'assise. Il y a cette lueur intense dans tes yeux, ce feu dévorant qui témoigne tout comme le mien de la force du désir qui nous habite. Je ne sais qui se précipite en premier sur les lèvres de l'autre mais c'est un baiser dévorant que l'on échange. L'une de mes mains glisse dans tes cheveux, l'autre sur l'un de tes flanc, descendant le long jusqu'à tes hanches dont j'ai envie de me saisir brusquement. J'adore l'odeur de ta peau tout comme j'adore la caresse de ta langue qui s’emploie à un ballet incessant avec la mienne.

Bientôt, la banquette semble trop étroite pour nous deux et nous échouons alors à même le sol. Je te fais basculer sur le dos sans plus me préoccuper que tu vois les cicatrices et les brûlures sur ma peau. Après tout, je ne pourrais pas te les cacher indéfiniment. Je me redresse juste un instant à califourchon sur toi, pour te témoigner de la confiance que je te porte, en te laissant pleinement observer... mais pas trop longtemps. Juste pour que tu comprennes pourquoi j'ai renoncé à ôter mon t-shirt plus tôt. Puis je me penche à nouveau au-dessus de toi, posé quelques secondes sur les avant bras pour te surplomber et échanger un nouveau baiser tandis que nos virilités se frôlent avec de plus en plus d'empressement.
Je me saisis de tes poignets alors que je me tiens à quelques centimètres au-dessus de toi, te dévisageant un instant.

- Tu m'as manqué toi aussi... je me rends compte désormais à quel point... me contentais-je dans un premier temps de déclarer. Tes poignets toujours emprisonnés entre mes paumes, je bascule la tête et dépose des baisers sur ton torse suivis de trainées de feu dessinées par ma langue au contact de ta peau.
Un large sourire s'installe sur mes lèvres avant que ces dernières ne se pressent à nouveau sur les tiennes. Je me repositionne plus droit, posté à califourchon à hauteur de ton bassin, le buste dressé. Ma main glisse un instant autour de ta gorge en l'enveloppant dans une caresse tandis que mon bassin ondule tout contre le tien et se presse plus encore à la recherche de plus de sensations et de plus de désir encore à attiser entre toi et moi. Ma main remonte alors de ta gorge sur le côté de ton visage avant de terminer sa course dans ta nuque puis je t'attire tout contre moi en position semi assise, entourant ta taille de mes jambes tel un nouvel étau. J'accompagne tes mains sur ma peau pour les faire glisser lentement en les plaquant tout d'abord de chaque côté de mon cou, basculant alors la tête en arrière pour offrir pleinement ma gorge à tes baisers, savourant ce contact un instant et laissant échapper un râle discret qui témoigne de cette envie de toi avec laquelle je joue en prenant tout mon temps.

@Velam Wahlgren

by frimelda

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