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(Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see

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Emilie Mercier

Emilie Mercier
1119
Lu'
Candica Accola
Angie
Hanaé (Jessica Green) & Taylor (Abigail Cowen)

31 ans.

Célibataire, aux yeux de tous tu prônes ton célibat. Pourtant tu es mariée à ton meilleur ami, lien qui n'est survenu uniquement par abus d'alcool. Ton cœur s'éveille à nouveau depuis que tu as recroisé la route de ton premier amour.
Spécialisée en fertilité, tu aides les femmes à créer leur famille à la clinique Mom&me.
Une jolie maison à l'ouest de la ville.
(Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see Rk4q


Oui

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MessageSujet: (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see EmptyLun 1 Avr - 0:40#


Is here in your perfect eyes, they're all I can see
All that I am ; All that I ever was ; Is here in your perfect eyes, they're all I can see ; I don't know where ; Confused about how as well ; Just know that these things will never change for us at all
28 Avril 2024 - (outfit) - Affalée dans ton canapé, dans un jogging noir et un vieux pull, tu te remettais de la soirée de la veille. Ruminant, pestant encore sur le fait qu'une certaine personne n'était pas venue t'y rejoindre comme il l'avait promis. Plus tu y pensais, plus tu te demandais pourquoi Raphaël ne t'avait pas retrouvé chez toi. Ce n'était pas vraiment dans ses habitudes de faire le contraire de ce qu'il annonçait. Tu regrettais aussi le message que tu lui avais envoyé ivre dans la nuit. Message que tu fixais depuis ton réveil, qui n'avait toujours pas été lu. Est-ce qu'il t'en voulait encore d'être partie avec Tom ? Tu en avais marre de ressasser tout ça dans ta tête. Tout les jours. Sans jamais trouvé de réponse. La tête dans une main, l'autre jouant avec le fil du plaid, tu refaisais à nouveau le scénario dans ton esprit. Te repassant les dernières semaines dans ton esprit. Ton téléphone vibra et tu te jetais dessus, espérant que ce soit Raphaël. Et cette réaction te fit réaliser -à nouveau- à quel point le brun avait repris une place importante dans ta vie. Et la déception en voyant que ce n'était pas lui, la place qu'il avait repris dans ton cœur. Le temps, que tu ne te décides à répondre, c'était trop tard. Tu le rappellerai plus tard. Là tu voulais juste déprimer en paix. Ton téléphone s'allume à nouveau, signalant que tu avais un message sur ton répondeur. Et là, tu as un mauvais présentiment. Tu sais, tu sens que quelque chose ne va pas. Mais tu ne sais pas encore à quel point. Les mots qui te parviennent te glace le sang. Et sans même réfléchir, ton corps s'active tout seul. Il ne te faut qu'une vingtaine de minutes pour rejoindre le centre ville. Ton corps totalement sur pilote automatique.
La dernière fois que tu avais remis les pieds dans cet hôpital, c'était lors de ton accident. Durant des années, ça avait été ton chez toi. L'endroit où tu te sentais le plus à l'aise. L'hôpital était ton élément, une extension de toi même. Et pourtant, aujourd'hui, toutes tes années ici étaient entaché par l'année de calvaire que tu avais vécu. Et malheureusement, tes derniers souvenirs ici étaient plus mauvais les uns que les autres. Et ta visite du jour était loin d'être des plus agréables. Mais tu n'avais pas eu le temps de réfléchir d'avantage à l'endroit où tu te rendais. Le message de Sebastian avait été un électrochoc suffisant pour que ton corps réagisse seul. Traversant les couloirs, ton cœur cogne si fort dans ta poitrine que tu as l'impression de l'entendre. L'inquiétude qui se déverse en toi est de plus en plus forte à mesure que tu approches de la porte de la chambre. Alors que tu tends la main vers la poignée, des petits points noirs dansent devant tes yeux. Fronçant les sourcils, tu te sens doucement partir avant de t'effondrer sur le sol du couloir.
Reprenant doucement connaissance, tu lèves les yeux vers le médecin auprès de toi. Visiblement, le stress avait eu raison de toi et tu avais fini par faire un malaise. Mais le médecin te tannait pour aller faire des examens, vérifié que tu allais bien. Pour l'instant, ton propre état était le dernier de tes soucis. Tu voulais passer la porte de la chambre et voir comment se portait l'homme qui hantait toutes tes pensées. Après lui avoir promis de le suivre dès que tu aurais eu l'occasion de voir Raphaël, il te laissa tranquille pour le rejoindre.
Abaissant doucement la poignée, tu entres dans la petite pièce. La vision de Raphaël étendu sur le lit d'hôpital, te serre le cœur et tes yeux te piquent. Il semblait dormir, surement encore sous les effets des calaments. Tu t'approchais, ne réalisant pas encore que des larmes s'étaient échappées pour glisser silencieusement le long de tes joues. Tu t'assoies à coté de son lit, tes mains se posant sur la sienne. Fixant sa silhouette endormi attendant désespérément que de croiser ses prunelles océans. Tu ne sais pas combien de temps, tu as attendu, le fixant sans ciller. Mais quand sa main remue dans la tienne, tu ne peux pas t'empêcher de te redresser. T'asseyant délicatement sur le bord du lit, tes mains ne lâchant pas la sienne. Un mince sourire étira tes lèvres, tentant de cacher l'inquiétude de tes traits mais tu étais à peu prêt certaine que tes yeux rougis par les pleurs te trahiraient. "Comment tu te sens ? Tu as mal ? " Des millions de questions courraient dans ton esprit. Et tu aurais voulu toutes les lui poser mais l'assaillir de questions n'étaient peut être pas la meilleure des idées. Et en réalité, tout ce que tu voulais à cet instant, c'était t'assurer qu'il allait bien. Et peut être savoir ce qu'il c'était passé. Parce que n'étant pas de la famille, tu n'aurais aucune chance d'apprendre quoi que ce soit par les médecins. Même s'il s'agissait de tes anciens collègues. L'une de tes mains s'élança vers son visage, caressant sa joue. Comme si tu avais besoin de vérifier qu'il était bien face à toi.    
(c) princessecapricieuse


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I told you you could always count on me from that day on. I made a vow I'll be there when you want me some way, some how ♪
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Raphael Hayes

Raphael Hayes
1511
manon
will higginson
@cosmiclight
scott weaver (t. sorensen)

32 (10.01.92)
père d'une petite fille qui n'est plus si petite d'onze ans, célibataire, épérdument épris de l'amour de sa vie, em.
agent fédéral, profileur spécialisé en criminologie en poste depuis deux ans désormais après plusieurs années au sein du département criminel de la police de monterey
quartier ouest, une maison à deux pas de l'océan qu'il a acheté il y a six ans maintenant pour sa fille, leur chat et lui.

(Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see 4k3s
évidence
caractère de ce qui s'impose à l'esprit avec une telle force qu'on n'a besoin d'aucune autre preuve pour en connaître la vérité, la réalité. (emiphael)

≈≈≈

(12/6) - hayes - rosalie - horacio - jamie - alix - oonagh - harmony - A&O - wk ski - clio - seb 2 - emilie 4

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soulmate,
a connection of minds an unconditional, effortless never ending love. a person with whom you feel the most complete. (bibou)

couleur raphael : #003366
couleur maddy : #811453

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MessageSujet: Re: (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see EmptyDim 7 Avr - 12:20#

28 avril 2024 - @Emilie Mercier // Au volant de sa tesla, Raphaël repense à l’émail qu’il a lu un peu plutôt dans la matinée, celui du club de football américain de Maddy, ils récoltent de l’argent pour organiser le voyage de fin de saison. A son grand regret il n’a pas le temps d’être le père présent à chaque match, d’être le parent investi à cent pour cent dans les activités extra-scolaire de son enfant mais pour ce genre de requête il répond toujours présent. Il peut se le permettre et il sait à quel point c’est important pour sa fille. Il n’est pas tout à fait à l’heure pour sa soirée mais il n’est pas non plus en retard alors il profite de la fraction de minutes à sa disposition pour s’arrêter dans la rue ou il a repéré un distributeur automatique. Il s’arrête en face, traverse la rue et sort sa carte de crédit afin de retirer ce qu’il faut pour l’équipe. Une fois le code composé et sa carte récupérer, le brun attrape les billets qui sortent de la fente lorsqu’un bruit attire son attention. Pendant une brève seconde il reste immobile, il connaît ce son par cœur, il l’a entendu plus d’une fois dans sa vie et lorsqu’il se tourne il n’est pas surpris de voir une arme à feu si proche de son visage. Étonnamment, il reste calme, son rythme cardiaque ne s’emballe pas, il ne tremble pas et ses yeux bleus se pose sur les visages plus ou moins cagoulés des trois types qui ne fixent avec insistances. Ils ont l’air d’être des gamins, c’est ce qu’il pense avant que le type du milieu ne prenne la parole ou plutôt le menace en répétant ce qu’il ne semble pas avoir entendu. Ils veulent de l’argent, sa carte, le code, tout ce qu’il peut leur donner, en quelques secondes les billets qu’il avait dans la main disparaisse tout comme son portefeuille. Loin de vouloir jouer les héros, il donne son code reculant dans un pas pendant que le second retire tout ce qu’il peut retirer ce soir. Il ne bouge toujours pas d’un cil jusqu’à ce que le troisième sorte de son portefeuille sa carte d’agent. Ça va tourner mal, il le comprend quand il balance toute sorte d’insultes sur la police et la seconde d’après alors que sa carte touche le sol, son sang se glace. Il baisse son regard un instant, le remonte vers l’arme qui fume légèrement et avant qu’il ne puisse dire quoi que ce soit il s’écroule sous l’effet de la seconde balle qu’il vient de recevoir dans le bras. Tout s’est passé si vite, dix secondes entre le moment ou il a regardé l’arme et celui ou son crane à touché le sol. Dix secondes qui pourraient tout changer. Il a toujours su en choisissant cette voix que c’était un risque a prendre pourtant malgré ses nombreuses années de service c’est une première et il n’avait pas imaginé que cela se déroulerait de la sorte. La rue est calme, presque trop, il sait que la nuit est tombé, qu’elle est plutôt chaude pour la saison mais il a froid, son corps tout entier frisonne, il essaie de toutes ses forces de se redresser mais rien n’y fait, il reste allongé dans son propre sang et ses yeux se ferment. Tout le reste est flou comme obstrué par un épais brouillard, il n’a pas toutes les pièces du puzzle en sa possession mais lorsqu’il ouvre les yeux, la lumière blanche bien trop forte lui brûle les yeux, il lui faut plusieurs longues minutes pour s’adapter et pour comprendre que le lit dans lequel il est allongé n’est pas le sien mais celui d’une chambre d’hôpital. Quelques brides défilent dans son esprit, il entend le bruit de l’arme, les voix de ces hommes et le silence de la nuit. Immédiatement,  une lumière plus légère l’aveugle et un médecin l’appelle, il n’a pas la force de se lancer dans une intense discussion mais il arrive à répondre de manière affirmative puis négative quand son regard est attiré par celui de son père, juste derrière le médecin. La présence de son paternel le rassure de suite, il est incapable de l’expliquer mais il a cette sensation de sécurité presque immédiate, comme si plus rien de mal ne pourrait arriver. Le médecin lui balance plein d’information, il ne les assimile pas toutes mais il entend l’essentiel, une opération qui s’est bien passé, une rééducation a venir et beaucoup de repos. Et à nouveau, épuisé par les derniers événements il s’endort. Raphaël ne s’est jamais senti aussi fatigué, même lorsque Maddy est arrivé dans sa vie il n’a pas eu la sensation d’être vidé à ce point de ses forces. Il n’arrive pas à mesurer la durée de son sommeil, il s’est assoupi, réveillant, endormi de nouveau après quelques mots échangés et lorsqu’il arrive à ouvrir de nouveau les yeux, elle est là. Avec le peu de force qu’il lui reste, Raphaël serre ses doigts entre les siens afin d’attirer son attention et essaie de lui sourire sans être sur d’y arriver.  « Salut... » sa voix est faible, plutôt basse mais il est heureux et presque soulagé de la savoir près de lui  « …. je suis désolé pour ta soirée j’ai eu un empêchement... » il entends déjà les médecins lui dire de ne pas trop en faire, de ne pas trop parler et de se reposer mais il a besoin de lui dire, avec une touche d’humour pour estomper l’inquiétude qu’il perçoit dans ses yeux  « … je pari que tu as pourri mon répondeur pas vrai ? » il plaisante à nouveau gardant ses doigts accrocher aux siens comme si sa vie toute entière en dépendait.

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MessageSujet: Re: (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see EmptyLun 8 Avr - 23:25#


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28 Avril 2024 - (outfit) - Tu ne te souviens pas avoir ressenti une telle panique. Mais les mots de Sébastian sur ton répondeur avait réveiller tellement de peur en toi que tu n'arrivais pas à réfléchir sereinement. Tu ne te souviens pas une seule seconde du trajet entre chez toi et l'hôpital. Heureusement que tu connais le chemin par cœur. Mais tu ne réalises que tu as fais toute la route, que tes jambes t'ont portés jusqu'à lui uniquement par la seule force de ta volonté. Tu avais l'impression d'avoir une gueule de bois monumentale en te levant ce matin. Et la douche sous laquelle tu étais restée durant de longues, très longues minutes ne t'avait pas vraiment aidé. Mais maintenant que tu étais assise en face de lui, tu te rendais compte que ce n'était pas un lendemain de soirée difficile. C'était juste la peine ressentie de savoir qu'il n'était pas venu. Le manque de lui. Ta main posée dans la sienne, tu ne peux pas t'empêcher de faire courir tes yeux sur son visage, son corps. Des allers-retours incessants. Ce posant sur chacune de ses blessures. Tentant tant bien que mal d'essayer d'assembler les pièces du puzzle. Remerciant une déité inconnue à laquelle tu ne croyais pas qu'il ne soit pas mort. Tu poses ton visage sur le dos de tes mains sans jamais le lâcher. Tes prunelles fixées sur son visage endormi. Tu ne sais pas combien de temps ça dure. Et tu t'en fiches, tu ne quitteras son chevet que si on t'y déloge. Sentir sa main serrer légèrement tes doigts te fait redresser vivement la tête. Ce n'était qu'un effleurement et le voir dans cet état te sert le cœur. Et pourtant, tu sens ton palpitant s'envoler quand il prend doucement la parole. Esquissant un vague sourire. Ta main vole jusqu'à sa joue, la caressant doucement. Ses mots t'arrachent un petit rire et tu essuies les larmes qui se sont échappés d'elle même de ta main libre. Refusant obstinément de lâcher la sienne. Nouant tes doigts aux siens. "Ton répondeur non. Mais tu as peut être reçu un message salé." A cet instant, tu t'en voulais de l'avoir engueuler par message parce qu'il ne s'était pas pointé. Et en même temps, tu aimais voir à quel point il te connaissait. Te rapprochant d'avantage de lui, tu soulèves doucement son bras pour posé sur ta cuisse, sa main toujours dans la tienne. Alors que ta main libre glisse de sa joue à ses cheveux. Les caressant doucement. "Tu veux quelques choses ? De l'eau ?" Tes yeux glissent à nouveau sur lui. Incapable de t'en empêcher avant de revenir se fixer sur les lacs bleus de ses yeux. Tu pourrais resté des heures à le regarder, te perdant les profondeurs de ses prunelles. Mais la porte s'ouvre dans ton dos. Tu grimaces en voyant le visage du soignant qui s'était occupé de toi dans le couloir. "On doit l'examiner. Et toi, tu avais promis de venir faire un check up quand il serait réveillé." Tu n'aimais pas l'idée de le laisser. Même ne serait-ce qu'une seconde. Mais tu connaissais suffisamment ton ancien collègue pour savoir qu'il ne te lâcherai pas tant que tu ne l'aurais pas suivi. Et tu tenais beaucoup trop à la santé de Raphaël pour empêcher  le médecin de vérifier que tout allait bien après l'opération. Hochant doucement la tête, montrant que tu capitulais, tu reportais ton attention sur Raph. Lui souriant pour ne pas qu'il s'inquiète. "Me regardes pas comme ça, je vais bien. Je reviens dès que le bon docteur me laisse revenir auprès de toi." Lui volant un baiser, léger, doux. Juste parce que tu en mourrais d'envie depuis qu'il avait ouvert les yeux.
Moins de trente minutes plus tard, tu passes à nouveau la porte de la chambre. Tu avais presque traversé les couloirs en courant pour rejoindre à nouveau le brun. Prise de sang, test urinaire et autres. Ton ancien collègue ne t'avait rien épargné. Malgré le fait que tu lui répète que ce n'était qu'une bouffé de stress et une gueule de bois, il ne t'avait pas cru. Te prévenant qu'il reviendrait vers toi avec les résultats dès que possible. Mais tu ne voulais pas être dérangé une nouvelle fois. Tu comptais bien passé le plus de temps avec ton Wonderboy. Et vu ce qu'il venait de vivre, ce surnom que tu lui avais toujours donné était parfait. Après quelques minutes de débat, tu as réussi à trouver un compromis. Un rendez vous dans deux jours pour la lecture des résultats. Mais que si ta vie était en danger immédiat, il pouvait venir te trouver. La chance que ta vie soit menacée sur l'instant était quasiment de zéro, tu étais certaines d'avoir la paix ainsi. Un sourire étire tes lèvres lorsque tes yeux se posent à nouveau sur le brun. Toujours réveillé. Tu ne te fais pas prier pour reprendre place sur le lit à ses cotés. "Qu'est ce que le médecin a dit ?" Tu tends le bras pour attraper le dossier accrocher au bout du lit. Feuillant les pages pour lire les différentes annotations sur l'état de l'homme dont tu étais éperdument amoureuse. Instinctivement, ta main retrouve la sienne. Impossible pour toi de ne pas le toucher. Tu avais besoin de vérifier qu'il était bien là avec toi. Que tu n'étais pas entrain de rêver. Tu grimaces légèrement lorsque tes yeux se posent sur certains mots. "La police viendra surement t'interroger dans demain pour que savoir si.." Ta phrase commencé alors que tu posais le dossier un peu plus loin. Lorsque ton regard croise le sien, tu ne peux t'empêcher de froncé légèrement les sourcils. Son expression t'ayant coupé dans ta tirade. "Qu'est ce que tu as ? Tu as mal quelques part ?" Question surement idiote mais tu ne pouvais pas t'empêcher l'inquiétude de ronger tes veines. Même si tu tentais de maitriser tes émotions face à lui.  
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MessageSujet: Re: (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see EmptySam 20 Avr - 18:33#

28 avril 2024 - @Emilie Mercier // Les souvenirs sont flous, presque inexistant pour le moment, il y a des brides, des sortes de flash qu’il tente de reconstituer en vain depuis qu’il a ouvert les yeux dans cette chambre aux couleurs pastels. Le corps médical est assez optimiste, la mémoire va revenir naturellement, ils préconise le repos pour favoriser tout ça mais comme toujours Raphaël est impatient et a besoin de réponse. Les yeux lourd de fatigue, le corps encore endolori, il quitte malgré tout les bras de Morphée pour poser son regard sur Émilie, installée près de lui et cette vision est la plus divine qui soit. Sa main dans la sienne, ses doigts serrant les siens il attire son attention par son humour presque légendaire. Il la connaît par cœur, il imagine sans difficultés les regards qu’elle a du lancer à sa porte d’entrée hier soir et il regrette amèrement de ne pas avoir pu la faire sourire.  « Je ne sais pas ou est mon téléphone mais j’ai hâte de lire ça » il imagine qu’il va devoir s’en offrir un nouveau, ils ont probablement du l’embarquer comme sa voiture garé un peu plus loin d’ailleurs mais ses biens matériaux sont les derniers de ses soucis, il est en vie et après avoir eu l’impression de frôler l’entrée du ciel il se fiche bien de ce type de détail. Doucement, avec difficulté il se redresse dans son lit usant du peu de force qu’il lui reste pour trouver une position un peu plus agréable  « Ça va ne t’en fais pas ok ? » . Il aimerait être en mesure de la rassurer un peu plus, mais il ne veut pas exagérer, il n’est pas au mieux de sa forme mais il positive dans la mesure du possible en gardant ce sourire qui lui ai connu sur le visage. Désireux de se changer un peu les idées et d’en apprendre plus sur la soirée qu’il a raté, Raphaël est sur le point de l’interroger lorsqu’un médecin passe la porte. C’est un type gentil, il ne sait pas grand-chose sur lui mais il s’est montré bienveillant et à l’écoute lorsqu’il l’a rencontré hier et Émilie semble elle aussi l’avoir rencontrer, seulement les circonstances qu’il semble deviner ne lui plaise pas du tout. En croisant le regard de sa belle, il arque un sourcil essayant de déceler quelque chose dans son regard mais elle ne dit rien et pour le moment il décide d’en faire autant. Ses yeux bleus suivent la silhouette de la jeune femme avant de se concentrer sur le médecin qui se trouve face à lui. Le brun répond à l’ensemble des questions, il sait à quel point la vérité est essentielle dans ce genre d’échange. La douleur est légère mais présente, il est inquiet sur l’avenir, sur sa rééducation à venir, il veut pouvoir reprendre le travail le plus rapidement possible, il sait que ne pas pouvoir travailler sera un enfer, qu’il faudra du temps et à son grand regret la patience n’est pas sa meilleure qualité dans cette situation. Une fois ses examens terminé et avant qu’il ne s’en aille, il profite de sa présence pour faire quelques pas dans la chambre avant de s’allonger de nouveau à contre cœur dans son lit sous les draps blanc.  « Toi qu’est-ce-qu’il t’a dit ? C’est quoi cette histoire de malaise Em ? » évidemment il a tenté d’en savoir plus mais l’interne n’a rien lâché, tenu par un secret médical qu’il comprend mais elle, elle ne lui cachera pas du moins il l’espère sincèrement. Son regard plongé dans le sien, il cherche des réponses à ses questions en scrutant chaque centimètres de son visage et de son corps pour être sur de ne rien rater.  « Je sais… ils sont déjà venu, je leur ai dit tout ce dont je me rappelais, avec le choc la mémoire peut être un peu bloquée donc ils me laissent un peu de temps » il connaît ses techniques par cœur pour les avoir pratiquer lui même à de nombreuses reprises et cette fois il espère pouvoir apporter les bonnes réponses afin d’empêcher que ces types ne s’en prennent à quelqu’un d’autre. Lentement, il tente de se tourner de quelques centimètres et grimace en sentant le dessous de son bras le tirer  « C’est un peu douloureux mais ça va passer » il a choisi pour son propre bien de ne pas trop doser les antidouleurs et d’opter pour le minimum refusant de bourrer son corps de substance qu’il juge toxique. Un léger sourire sur les lèvres il arrive à se décaler de quelques millimètres dans son lit afin de laisser une place plus que convenable à ses cotés  « Allonge toi près de moi s’il te plaît et raconte moi ta soirée, tu as pu profiter malgré mon absence ? » il ne dit rien mais il culpabilise de ne pas avoir été là et il espère ne pas avoir gâcher cette crémaillère qu’elle attendait avec une certaine impatience.

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MessageSujet: Re: (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see (Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see EmptySam 27 Avr - 0:48#


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28 Avril 2024 - (outfit) - Les mots de Seb sur ton répondeur tournent en boucle dans ton esprit alors que tes yeux parcours le corps meurtri de Raphaël. La scène qui se joue sous tes yeux te brise le cœur. Tu venais à peine de le retrouver, vous aviez perdu presque neuf ans à être loin l'un de l'autre. Tu n'avais aucune intention de le perdre à nouveau et encore moins de cette manière. Sentir ses doigts serrer les tiens, voir ses prunelles se poser sur ton visage te rempli de soulagement, de joie. Mais cela t'arrache aussi des larmes. Joie, triste, panique tout se mélange en toi. Et pourtant, tu ne peux pas t'empêcher de rire en entendant les premiers mots du brun. Même dans cette état, il arrivait à t'arracher un sourire. Tu secoues doucement là tête. Toi tu n'as aucune envie qu'il puisse lire tes mots. Ecrit sur un coup de sang, tu en avais eu marre de devoir l'attendre. Déjà depuis que tu as repris tes esprits, tu regrettais de lui avoir envoyé ces mots. Mais tu ne pouvais pas revenir en arrière de toute façon.
Te rapprochant de lui, sans lâcher sa main, tu prenais bien garde à ne pas faire un mouvement qui pourrait lui déclencher plus de douleur qu'il n'en ressentait à cette instant. L'inquiétude devait se lire sur ton visage ou dans le ton de ta voix car Raphaël se sent obligé de te rassurer. Tu n'y croyais pas vraiment au vu des blessures qui couvrait son corps. Mais tu aimais savoir qu'il voulait prendre soin de toi. Même dans ses circonstances. Tu grimaces pas totalement convaincu. "On va dire que je te crois." Le brun entre ouvre les lèvres pour parler mais vous n'êtes plus seuls. Le premier s'occupe de te faire sortir de la chambre pour t'emmener faire les examens que tu avais promis. Tandis que l'autre reste dans la chambre. Tu tentes de rassurer Raphaël avant de quitter la pièce. Même si tu restes persuadée qu'il te cuisinera à ton retour. Les médecins en faisait toujours des tonnes et s'inquiétait pour rien. Tu étais bien placé pour le savoir. Après de longues minutes, tu peux enfin retrouver l'homme que tu ne comptais plus quitter d'une semelles. Il a retrouvé sa place dans son lit d'hôpital et toi assise à ses cotés. Tu ne te fais pas prier pour poser la question qui te brûle les lèvres depuis que tu es arrivée. Mais lui, ne l'entend pas de cette oreille. Un sourire amusé étire tes lèvres à cette pensée. Il n'aura pas fallu longtemps pour qu'il te questionne sur ton état. Ses yeux glissent sur toi, surement de la même manière que les tiens sur lui tout à l'heure. Tu le laisses faire son inspection et attend que ses iris rencontrent à nouveau les tiens pour reprendre la parole. "C'est rien du tout, j'ai juste fais un malaise. Je suis en lendemain de soirée, j'ai rien mangé et j'ai eu un coup de flippe totale avec le message de ton père. Je vais très bien c'est promis." Tu pensais chacun des mots que tu prononçais. Et puis lui mentir ne t'avancerai pas à grand chose. A part créer de nouveaux problèmes entre vous. "A toi, qu'à dit le médecin ?" Tes yeux parcourt déjà le dossier médical pour en savoir plus. Tu as besoin d'avoir un semblant de contrôle pour pouvoir calmer ton inquiétude. Même si le voir réveiller, parler et réussir à bouger réduisait grandement ton angoisse. Les habitudes ont la vie dure, machinalement, tu lui rappelles la police viendra surement l'interroger. Maintenant des années que tu n'avais pas tenu ce discours. Depuis que tu avais choisi ta spécialité en fait. Tu t'interromps dans ta phrase alors qu'il reprend la parole. Reprenant rapidement conscience qu'il savait parfait ce qu'il en était, qu'il connaissait la procédure sur le bout des doigts. "Tu te rappelles quoi ?" Tu ne savais toujours pas ce qu'il l'avait conduit ici. Tout ce que tu avais eu comme information de la part de Seb, ou en tout cas les seuls mots que tu avais retenu avait été : Raphaël, blessure par balles, hôpital et vivant. Surement le seul mot, qui t'avait empêcher de t'effondrer en apprenant la nouvelle.
Tandis qu'il esquive un mouvement pour s'installer plus confortablement, il grimace de douleur. Et tu ne peux pas empêcher les questions de fuser de tes lèvres. Mais tu comprends rapidement qu'il cherche à te faire une place à ses cotés. Pas trop sûre de savoir si c'est une bonne idée. Et ses mots viennent confirmer ta pensée. Et tu as tout autant envie que lui de le sentir près de toi. Prudemment, tu t'installes à ses cotés. Te blottissant doucement contre son flan qui n'a pas été touché. Et la chaleur de ses bras autour de toi t'apaise immédiatement. "Tout dépend de ce que tu appelles profiter. Le début de soirée oui. Après, c'est un peu parti dans tout les sens. Je pense que la prochaine soirée que j'organise, je fais un sondage pour savoir qui a des comptes à régler avec qui avant. Une fois que tout le monde à fui, j'ai fini la soirée avec Kay, Ivy et du champagne." Tu grimaces en repensant aux heures précédentes. La liste des invités laissait surement à désirer mais pourtant, toute les personnes importantes pour toi était présente. Enfin presque. "Je te préviens tout de suite, je compte pas te lâcher d'une semelle tant que tu sera pas sur pieds." Levant le nez vers lui, tu lui souris.
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(Emiphael) Is here in your perfect eyes, they're all I can see

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