Joanne Prescott // Caleb Adelson // Andrea Hopkins // Thomas Fraser // Nyls Norwood // Gregory Sutterlee // Valeria Myers // Eli Hartley // Stefan Salomon // Charlie Sharp // Christa Alcaraz
L’ambivalence de mon visage pourrait porter à confusion: adolescente aux prémices d’une vie d’adulte, jeune femme fragile face au temps qui passe? La vérité est toute simple, presque risible: Trente ans au compteur d’une vie bien chancelante.
Coeur offert, piétiné, brisé et les morceaux recollés avec patience et tendresse. Vibrant désormais doucement pour Wallace, avec qui je vais avoir un enfant, à la fin du deuxième mois de l'année prochaine. Relation naissante et nos yeux rivés vers un avenir commun.
I'm waking up, I feel it in my bones
Enough to make my systems blow
Welcome to the new age, to the new age
Désireuse de rendre fière mon entourage, je me suis essayée à des études d’architecte afin de coller aux aspirations familiales mais qui se sont soldées par un lamentable échec. Et puis, à quoi pourrais-je prétendre après les mois d’isolement que j’ai vécu? Alors, je me suis trouvé un petit boulot, je suis une fière et dévouée pet sitter, appréciant la liberté de ce travail bien atypique et je reprends des études de criminologie, domaine qui me fascine, en parallèle de mon compte sur Instagram dans lequel je continue à propager des podcasts sans doute inconnus du grand public mais pour lesquels je me donne corps et âme.
Sortir de prison signifie perdre ce qui ressemblait le plus à un foyer. Déboussolée, j’avais plusieurs options sous la main, plusieurs points de chute envisageables… Mais j’ai préféré me noyer dans une pseudo solitude où je peux continuer à être entourée. Habitante de l'immeuble communautaire dans l'est de la ville, au troisième étage, appartement 3D, en colocation avec Nikkie, ma meilleure amie. Les voisines ont l’air sympa, je ne sais pas vraiment, je préfère passer pour un fantôme. Et avec mes revenus modestes, c’est un compromis plus que raisonnable.
Yes with your million eyes you're watching me
You talk behind my back
You spy on me
So I scream and shout to make you leave
But you're still here, you keep judging me
_ Voue un amour particulier pour les films romantiques, son préféré est “Hors du temps”
_ Dépensière compulsive, un véritable panier percé
_ Change de couleur de cheveux comme de chemise, comme dit l’expression
_ Consommatrice excessive de chaï latte et de muffins au chocolat blanc, son petit déjeuner préféré au café du coin
_ N’a jamais de batterie sur son téléphone et bien entendu, n’a jamais de batterie portable sous le coude
_ A déjà testé absolument tous les parfums de glace de son glacier d’enfance
_ Se cogne partout, tout le temps, sans raison. Elle est donc couverte de bleues en permanence
_ A été pom pom girl au lycée mais était très mauvaise dans l’exercice
_ Ressens cet étrange besoin de régulièrement faire des siestes
_ Adore l’odeur de la cannelle
_ Très superstitieuse, suit un compte instagram d’une sorcière blanche
_ A une incisive cassée à cause d’une mauvaise chute
_ Ne supporte plus de dormir dans une pièce dont la porte est fermée
_ S’enregistre en permanence, raconte sa vie grâce à des podcasts
Sujet: « C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? » Jeu 19 Sep - 19:18#
« C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? »
ft. @Dareios Geller & Oonagh Fitzgerald QG du FBI ; Monterey. CA.
tw :: mentions légères de meurtre ou enquête préoccupante. Bah oui, au FBI, ils trient pas les lentilles, hein.
mise en page made in Psyko
Allez, Oonagh, concentre toi sur ce dossier. Sur ce Michael Sullivan qui est, de toute évidence, un très vilain garçon. Prendre autant de hauteur dans ce métier me surprend et pourtant je réussis à passer outre, à instaurer la distance nécessaire afin de ne pas sombrer dans la folie. La faute à la beauté de la vie qui grandit de jour en jour dans mon ventre? C’est fort probable, en effet. Je ne suis pas encore prête à confier ce bouleversement de taille à mon entourage professionnel, alors, je fais passer mes innombrables allers retours aux toilettes par une consommation excessive et déraisonnée de chaï latte. Espérant que personne ne remarque rien, je tente de me plonger dans ce dossier bien que passionnant quand soudainement, j’entends un bruit, au loin, qui m’interpelle et qui m'empêche de réfléchir. Et pour cause, il s’agit de la voix de Dar’. Et il ne semble pas content mais alors pas content du tout. Ma mine interrogative ne peut déranger personne, je suis désormais seule au bureau. Refusant d’avaler quoi que ce soit de peur de le rendre dans la minute, j’ai préféré jouer à la bonne élève en travaillant d’arrache pied, n'acceptant pas les propositions des autres agents de partager un déjeuner. J'essaie de passer outre ces cris, me raisonnant, après tout, ça ne me regarde pas... Mais c’est plus fort que moi, ma curiosité prend le dessus. Je quitte ma chaise, fais quelques pas en direction de cette voix plus que familière mais je sursaute tandis que j’entends une porte claquer. De toute évidence, la fouine que je suis ne pourra pas en obtenir davantage, la suite de la conversation restera privée. Frustrée, renfrognée, je finis par me résoudre à me dégourdir les jambes et me rend au premier endroit où la socialisation semble de mise: La machine à café. Un véritable Enfer sur Terre. Surtout quand il s’agit d’écouter une de mes collègues me raconter avec un nombre incalculable de détails son week-end qui a été, à priori, drôlement sympathique. Suivant poliment la conversation, réagissant physiquement à ses péripéties, prononçant les bons onomatopés au moment opportun, mon regard est automatiquement attiré par un nouvel arrivant dans la salle de pause, que j’identifie immédiatement comme Dar’. Mon sauveur. Poussant un hoquet de surprise, j’avale de travers ma gorgée de café et présente mes excuses à une collègue qui ne semble pas remarquer mon attitude:
Oh, Dar’... Excuse-moi Jeannine…
Je m’empresse de rejoindre un homme au visage fermé, comme toujours et à l’attitude presque détachée. Bizarre. Fronçant des sourcils, j’ose poser la question fatale, sans réaliser ce qui m’attends comme réponse:
Tu vas… comment?
Utiliser l’adjectif “bien” serait trop commun, je ressens trop d’amour et de respect envers mon meilleur ami. Et, inconsciemment, je lui offre une chance d’être honnête envers moi. Il peut avoir confiance, tout me dire, m’expliquer avec détails ou simplement choisir de ne rien me raconter. Quel chemin va-t-il emprunter, ça, je n'en ai aucune idée mais il semblerait que je ne vais pas tarder à le savoir…
_________________
Break it to me
And I can handle the truth I can cope with whatever you're holding back
Dareios Geller
1098
p'titbou (Aurore, elle)
Ken Samaras (nekfeu)
crimson melody (avatar) Magma (signature) Noxel (gif ship)
Jeremy (compte principal), Esteban, Kayla, Diego et Giovanni
33 ans.
L'amour : le sérum et le venin, vu qu'on aime avoir mal.
A l'époque, tu étais sniper à l'armée, mais tu as dû partir à la retraire plutôt que prévue car il y a eu un grave accident. Depuis 3 ans, tu es profiteur au FBI et tu fais partie à temps partiel des Strike 7. Tu te fais appeler Black Hawk.
Présente +++
staff - to help you
Sujet: Re: « C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? » Sam 28 Sep - 1:55#
C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? ; ―
Cette promesse tenue, tu ne peux pas revenir en arrière. Ce regard fermé au moment où tu enfiles les bracelets de fers. Il faut que tu trouves une solution pour le laisser partir. Tu fais confiance à ton frère d’armes, Landon, et bizarrement, sans poser de question, tu as décidé de l’écouter. Bien que cet homme, vous le recherchez depuis un moment. Que sa gueule est placardée sur le mur des investigations, tu l’observes, l’analyse pour le comprendre. Et au moment où vous pouvez mettre fin à tout ça, tu es obligé de tout foirer ! C’est sans doute la pire décision que tu décides de prendre, mais pourtant. Tu espères que ça en vaut le coup, car c’est ta carrière qui risque d’en pâtir. Alors que tu suis le chemin de la voiture, tu dessers les menottes pour lui donner une porte de sortie et en quelques secondes, il te pousse avant de s’échapper. Tu fais mine de le rattraper, tu te met à courir de toutes tes forces, mais finalement, tu reviens vers tes collègues sans lui. Vous rentrez aux locaux avant après l’avoir chercher dans une bonne partie de la ville. À peine, tu as le temps de t’asseoir sur ta chaise que le capitaine te convoque dans le bureau. Pas de chance pour toi, un agent de police a assisté sur a toute la scène et il a décidé de te balancer. Bordel. À ce moment-là, tu comprends que tu es dans la merde ! Tu essaies de te défendre comme tu peux. Seulement, petit à petit, tu commences à t’agacer de tout ça. C’était censé être un simple petit dealé témoin d’un assassinat pas notre principal suspect. Information que la capitaine n’a divulguée à personne, car il est amis avec des policiers ripous… Oui Dar, tu viens de faire de la merde totalement. Mais ça, tu ne peux t’empêcher de passer à ton frère d’armes qui t’a promis que cet homme n’est pas important et à cause de ça t’énerve. Tu réponds au point que l’enquête t’ai retiré et que tu vas être de corvée rapport… et ça prend effet de suite ! Comment ne pas sortir de son bureau énerver. Tu es tellement dans tes penses à vouloir des explications que tu ne vois pas qui se trouve dans la salle de pause. Tu marmonnes et alors que ton café coule, tu prends ton téléphone pour envoyer un message Landon il te doit des explications… sauf que ton message ne s’enverra pas puisqu'une voix vient te redescendre sur terre, tu te retournes. « Quoi ?! » tu tombes nez à nez avec la brune. Tu la regardes et tu décides de ranger ton téléphone. Elle n’a pas besoin de savoir ce qu’il se passe et surtout qu’il t’arrive à mener une double vie ! « Oonagh ! Pardon, je … T’ai pas vu ! Ça va oui pourquoi ça ne serait pas le cas. » tu prends ta tasse de café avant de lui donne un baiser sur le front. Si elle savait comment ça lui fait du bien de croiser son regard. « Ce n'est pas censé être déconseillé le café pour la… . » tu te stoppes de suite remarquant la présence de votre collègue. « tu n’as pas une intolérance à la caféine déjà ? » oufff de peu ! Hors de question que tu t’embrouilles avec une autre personne et surtout pas elle ! « Pourquoi tu n’es pas partie déjeuner avec les autres ? »
Joanne Prescott // Caleb Adelson // Andrea Hopkins // Thomas Fraser // Nyls Norwood // Gregory Sutterlee // Valeria Myers // Eli Hartley // Stefan Salomon // Charlie Sharp // Christa Alcaraz
L’ambivalence de mon visage pourrait porter à confusion: adolescente aux prémices d’une vie d’adulte, jeune femme fragile face au temps qui passe? La vérité est toute simple, presque risible: Trente ans au compteur d’une vie bien chancelante.
Coeur offert, piétiné, brisé et les morceaux recollés avec patience et tendresse. Vibrant désormais doucement pour Wallace, avec qui je vais avoir un enfant, à la fin du deuxième mois de l'année prochaine. Relation naissante et nos yeux rivés vers un avenir commun.
I'm waking up, I feel it in my bones
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Welcome to the new age, to the new age
Désireuse de rendre fière mon entourage, je me suis essayée à des études d’architecte afin de coller aux aspirations familiales mais qui se sont soldées par un lamentable échec. Et puis, à quoi pourrais-je prétendre après les mois d’isolement que j’ai vécu? Alors, je me suis trouvé un petit boulot, je suis une fière et dévouée pet sitter, appréciant la liberté de ce travail bien atypique et je reprends des études de criminologie, domaine qui me fascine, en parallèle de mon compte sur Instagram dans lequel je continue à propager des podcasts sans doute inconnus du grand public mais pour lesquels je me donne corps et âme.
Sortir de prison signifie perdre ce qui ressemblait le plus à un foyer. Déboussolée, j’avais plusieurs options sous la main, plusieurs points de chute envisageables… Mais j’ai préféré me noyer dans une pseudo solitude où je peux continuer à être entourée. Habitante de l'immeuble communautaire dans l'est de la ville, au troisième étage, appartement 3D, en colocation avec Nikkie, ma meilleure amie. Les voisines ont l’air sympa, je ne sais pas vraiment, je préfère passer pour un fantôme. Et avec mes revenus modestes, c’est un compromis plus que raisonnable.
Yes with your million eyes you're watching me
You talk behind my back
You spy on me
So I scream and shout to make you leave
But you're still here, you keep judging me
_ Voue un amour particulier pour les films romantiques, son préféré est “Hors du temps”
_ Dépensière compulsive, un véritable panier percé
_ Change de couleur de cheveux comme de chemise, comme dit l’expression
_ Consommatrice excessive de chaï latte et de muffins au chocolat blanc, son petit déjeuner préféré au café du coin
_ N’a jamais de batterie sur son téléphone et bien entendu, n’a jamais de batterie portable sous le coude
_ A déjà testé absolument tous les parfums de glace de son glacier d’enfance
_ Se cogne partout, tout le temps, sans raison. Elle est donc couverte de bleues en permanence
_ A été pom pom girl au lycée mais était très mauvaise dans l’exercice
_ Ressens cet étrange besoin de régulièrement faire des siestes
_ Adore l’odeur de la cannelle
_ Très superstitieuse, suit un compte instagram d’une sorcière blanche
_ A une incisive cassée à cause d’une mauvaise chute
_ Ne supporte plus de dormir dans une pièce dont la porte est fermée
_ S’enregistre en permanence, raconte sa vie grâce à des podcasts
Sujet: Re: « C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? » Jeu 17 Oct - 19:44#
« C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? »
ft. @Dareios Geller & Oonagh Fitzgerald QG du FBI ; Monterey. CA.
tw :: mentions légères de meurtre ou enquête préoccupante. Bah oui, au FBI, ils trient pas les lentilles, hein.
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Il est difficile pour moi de dissocier mon amitié avec Dar’ de mon rôle de stagiaire au FBI. Ce sont deux facettes de ma personnalité qui se confrontent et faire un choix devient insoutenable. Je devrais pourtant me tenir à carreaux, me faire toute petite et aussi discrète qu’une souris. Mais c’est plus fort que moi, dès que je l’aperçois, je me sens attirée par lui et concernée par tout ce qui pourrait le contrarier, ce qui semble être le cas, de toute évidence. Je ne suis pas dupe, je peux lire dans ses yeux qu’un colossal détail cloche dans son univers. Le baiser qu’il offre à mon front, cette tendresse qui ne devrait pas m’inquiéter… Mais ses efforts sont vains. Je fronce des sourcils suite à sa remarque sur ma consommation de café, tente de ne pas laisser les hormones prendre le dessus et garde pour moi la remarque que je m’apprêtais à lui balancer, qui aurait été bien gratuite, grommelant, me sentant coupable malgré tout:
J’ai du mal à me priver de café, en ce moment.
Si seulement il savait l’inquiétude, l’angoisse, les questions qui m’empêchent de dormir, ces derniers temps! Ma grossesse est assez stressante mais je n’ai pas le courage de lui avouer. Les semaines s’écoulent, tout devient si concret et j’ai si peur de réaliser que je ne serais jamais à la hauteur du rôle de maman qui m’attend. Mais entre ces murs, je tente de laisser de côté la Oonagh enceinte et me focalise sur mes missions, sur mes enquêtes, sur ces cas pratiques qui me permettront de prochainement valider mon diplôme. C’est un but que je me suis fixé, quand j’étais encore en prison, et il hors de question que j’échoue, je ne l’accepterais pas. Alors, détournant le regard, me retrouvant à la place des suspects que je croise à longueur de journée, je sens obligée de me justifier et lui réponds:
Je… Je n’avais pas faim. Enfin si, mais… Bref. Et j’ai beaucoup de travail, je suis sur un sacré dossier…
Je ne mens qu’à moitié, je cherche surtout à brouiller les pistes afin de ne pas mettre l’accent sur ma petite personne. Barbant, voilà ce qu’est notre conversation. Et pour cause, elle est basée sur l’aspect professionnel de notre relation. J’ai la sensation de jouer un rôle, tandis que je peux sentir dans mon dos le regard de rapace de cette Jeannine qui est tout simplement la Reine des Commères. Serrant des dents, lançant un regard qui en dit long à Dar’, je patiente quelques minutes, faisant tourner ma cuillère dans ma tasse, claquant ma langue contre mon palais, signe évident de mon agacement. Bon, quand est-ce qu’elle retourne pianoter des bêtises sur son ordinateur, celle-là? Je ne suis pas à l’aise à l’idée de poursuivre notre échange si elle reste dans les parages. Mais mes prières sont entendues, et quand je l’entends nous saluer en quittant la pièce, je lui réponds, accompagnant mes paroles d’un geste cordial de la main:
Oui, Jeannine, à bientôt…! Putain, qu’est ce qu’elle est chiante, celle là.
Je ne peux retenir mon soulagement tandis qu’enfin, nous nous retrouvons seuls. Ayant bien conscience que j’ai dû le choquer, je pouffe de rire et ajoute, sentant une pression quitter ma poitrine:
Pardon, je m’emballe. Mais elle est capable de propager des ragots à la vitesse de la lumière, je ne suis pas à l’aise à l’idée qu’elle apprenne des détails sur ma vie privée. Bref, c’est loin d’être important. Qu’est ce qu’il t’arrive? T’as bien l’air bien… Comme si tu étais tracassé.
Je m’installe sur une des tables les plus reculées de la pièce, afin que nous soyons à l’aise pour converser. Et sans le vouloir, j’adopte une posture propice aux confidences, je pose ma main sur la sienne, souhaitant l’encourager à me faire confiance. C’est qu’entreprendre des études de criminologie a du bon: même si cela me tue d’imaginer ce scénario, j’ai la sensation que Dar’ me cache quelque chose. Et je compte bien en savoir plus afin d’être l’amie sur lequel il peut pleinement se reposer…
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Dareios Geller
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Jeremy (compte principal), Esteban, Kayla, Diego et Giovanni
33 ans.
L'amour : le sérum et le venin, vu qu'on aime avoir mal.
A l'époque, tu étais sniper à l'armée, mais tu as dû partir à la retraire plutôt que prévue car il y a eu un grave accident. Depuis 3 ans, tu es profiteur au FBI et tu fais partie à temps partiel des Strike 7. Tu te fais appeler Black Hawk.
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Sujet: Re: « C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? » Ven 25 Oct - 0:03#
C'est toi que j'entends, à travers cet effroyable silence...? ; ―
Ton objectif était clair, te rendre dans la salle de pause prendre une tasse de café et retourner à ton bureau pour écrire ton rapport. De toute façon, tu as que ça à faire maintenant que tu as été suspendue : écrire des rapports… Tu espères que Landon va avoir de bonnes raisons et t’expliquer par des mots simples pourquoi tu as dû relâcher cet homme qui est soupçonné d’un triple meurt. Tu sens tes dents serrer, mais tu es obligé de ne rien dire pour éviter de dire des mots qui pourraient dépasser ton penser. Ton programme est interrompu en voyant Oonagh que tu n’avais pas remarqué en rentrant dans la pièce. Il faut que tu fasse profil bas, elle n’a pas besoin de savoir ce qu’il se passe dans ta vie. Tu affiches quand même un petit sourire à la brune et tu ne peux t’empêcher de lui faire une réflexion par rapport au secret que tu partages avec elle. Bien-sûr quand quand es la voix de leurs leurs collègues, es passé à autre chose. Une façon pour toi de changer de sujet et qu’elle ne s’occupe pas de toi. Tu sais très bien qu’elle a dû entendre la moitié de ton entretien avec votre capitaine, parce que tu as clairement levé la voix assez vite. Tu sais pertinemment que la jeune femme te connaît par cœur et que forcément, elle doit se douter qu’il y a quelque chose qui cloche. Pas besoin de l’inquiéter, elle doit penser à elle et au bébé qui grandit avant de penser à ses proches. « Ne te noie pas dans le travail et fait des pauses de temps en temps. Tu n’as pas besoin d’être comme moi ! » Tu lui offres un petit sourire accompagné d’un petit rire avant de venir déguster ce liquide noir qui te brûle l’œsophage. Tu vois Jeannine s’avancer vers vous, comme à ton habitude, tu ne dis presque rien. Tu as toujours un mystère pour elle, tu parles à très peu de monde dans cette équipe et tu fais très attention à ce que tu dis, car hors de question pour toi qu’un parfait inconnu connaisse ta vie. Tu détestes ça. Tu lui souris doucement. « Faut l’ignorer, tu la laisses parler toute seule en hochant la tête de bas en haut. Elle finit par partir, bon après avoir su que ton chat a été malade toute la nuit, mais après elle n’est pas méchante. » Tu lâches un petit rire. Tu l’écoutes parler et tu prends une grande inspiration au moment où elle s’assoit sur une table. Oui, elle est inquiète et tu ne peux pas lui en vouloir. « Tu m’as entendu crier, c’est ça ? » Comme ci tu ne connaissais pas la réponse. « Ça va aller, j’ai fait une connerie hier et comme un gamin de 10 ans, on me prive de terrain jusqu’à la fin de l’enquête… je trouve ça complètement débile » Tu finis simplement par la rejoindre à côté d’elle.