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end game (racio)

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Raphael Hayes

Raphael Hayes
1719
manon
will higginson
@cosmiclight
scott weaver (t. sorensen)

32 (10.01.92)
père d'une petite fille qui n'est plus si petite d'onze ans, épérdument épris de l'amour de sa vie qu’il vient de retrouver em.
agent fédéral au sein du DSC spécialisé en criminologie en poste depuis deux ans désormais après plusieurs années au sein du département criminel de la police de monterey
quartier ouest, une maison à deux pas de l'océan qu'il a acheté il y a six ans maintenant pour sa fille, leur chat et lui.

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évidence
caractère de ce qui s'impose à l'esprit avec une telle force qu'on n'a besoin d'aucune autre preuve pour en connaître la vérité, la réalité. (emiphael)

≈≈≈

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closed - emilie - a&o - emilie 2 - sébastian - emilie 3 - horacio - alix - harmony - hayes

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soulmate,
a connection of minds an unconditional, effortless never ending love. a person with whom you feel the most complete. (bibou)

couleur raphael : #003366
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MessageSujet: end game (racio) end game (racio) EmptySam 15 Juin - 21:01#

(outfit) - 14 juin, 21h07 //  @Horacio Gore - Sa tasse de café noir encore fumante il examine les rapports des dernières affaires résolu du regard afin de les approuver quand le bruit lourd des chaussures écrasant le sol de l’open-space attire son attention. Lewis est le genre de type qu’il ne porte pas dans son cœur, profondément imbu de sa personne il est persuadé d’être une sorte de sauveur et ne se prive pas de le rappeler dès qu’il en a l’occasion. Il est détestable au plus haut point mais il est doué dans son boulot et malheureusement tout le monde n’est pas capable de bosser dans la criminel. Le regard de Raphaël croise le sien une demi seconde, ils n’échangent rien de plus et il retourne à sa lecture lorsqu’il entend un nom qu’il ne connaît que trop bien. Gore. Immédiatement il se redresse sur sa chaise sans pour autant attirer la moindre attention, faire illusion est l’un de ses plus grands talents et même s’il a l’air profondément occupé il écoute chaque mot et lorsqu’il l’entends se venter d’avoir une preuve qui permettrait de retirer une racaille des rues son sang se glace. Raphaël n’a jamais supporté que l’on parle de manière négative de son meilleur ami, il ne supporte pas que l’on juge sans connaître et que l’on s’arrête à la première image qu’une personne peut dégager. C’est un mec bien, il en est persuadé et rien ni personne ne pourra le faire changer d’avis. Dans son esprit, tout se passe très vite, il le voit quitter la pièce afin de partir déjeuner avec son équipier, il attends un bref instant avant de rentrer dans son bureau, de verrouiller la porte et d’ouvrir son ordinateur. Lewis est grotesque, il est doué dans son domaine mais il est prévisible, pas bien difficile à cerner et sans difficulté il trouve son mot de passe et entre dans son système. Devant les dossiers, il ne pense ni au bien, ni au mal, ni à la promesse qu’il a fait lorsqu’il est entré au FBI, il ne pense qu’à une chose, à cet homme pour qui cette frontière n’existe plus. Après quelques minutes de recherche à peine il tombe sur ce qu’il cherchait, une photo un peu flou certes mais cette silhouette il l’a connaît par cœur il pourrait même dire l’âge qu’il a rien qu’en le regardant. Ça n’a aucun sens, Horacio entre dans une rue certes un peu sombre mais il ne comprend pas en quoi cette photo le ferait tomber pour quoi que ce soit et il clique sur le dossier suivant, un meurtre, un certain Bryan, un gamin dont il ignore tout tué dans la rue ou il se trouvait. Pendant une brève seconde il se fige, incapable de bouger, incapable de dire quoi que ce soit, il parcours des yeux le dossier pas bien épais. C’est impossible et pourtant sans réfléchir plus longtemps il efface de manière définitive toutes les preuves qui place son meilleur ami dans cette rue, à ce moment précis. Les minutes défilent, il couvre ses traces et disparaît comme si de rien n’était, comme s’il n’était jamais venu ici avant de partir, de rentrer chez lui. La maison est vide, Maddy est à l’école, Émilie au travail et il s’enferme à double tour dans son bureau allumant son ordinateur personnel afin de faire ses propres recherches. Dans le moteur de recherche le plus connu du monde, il tape le nom de ce gamin décédé, les articles sont vieux, pas réellement précis mais il trouve quelques informations qui lui permette de définir une situation géographique, il examine quelques photos d’école, des témoignages d’anciens camarades. Il n’était pas un gosse modèle, loin de là mais comme souvent après un décès les témoignages ne sont pas si chaotiques et au milieu de toutes ces informations qui n’ont parfois aucun sens il y a un nom qui ressort, une identité qui sur le principe n’attirerait pas l’attention mais soudainement tout s’éclaire, comme si la lumière venait de s’allumer dans son esprit. Enfoncé dans le dossier de sa chaise, il inspire, expire, se repassant encore et encore les détails de ses dernières années, les conversations et ce qu’il pensait être la chose la plus précieuse de son existence semble peu à peu prendre la forme du plus gros mensonge de l’univers. Raphaël ignore combien de temps il est resté assis dans son bureau à fixer le vide mais lorsqu’il reprend finalement ses esprits il n’est pas loin de vingt-et-une heure, son téléphone n’a plus de batterie, Émilie doit probablement le croire au travail comme d’habitude et Maddy après être rentré avec Penny doit être avec elle. Tout ceci ne peut pas être vrai, il relis encore et encore ce qu’il a sous les yeux comme pour chercher une explication mais au fond il sait qu’il ne peut nier l’évidence. Le cœur lourd de rage, il sort malgré tout discrètement de son bureau, puis de la maison afin d’aller frapper chez lui. Il frappe fortement, deux fois, puis une dernière avant que la porte ne s’ouvre. Ce n’est pas inhabituel de débarquer chez lui à l’improviste sans être attendu mais habituellement il entre avec son double dés clés.  « Il faut qu’on parle » sa voix est probablement aussi froide que son regard, il est tendu, distant, il flirt avec une colère qui pourrait le submerger rapidement. Il entends la porte claquer et il se tourne vers lui affrontant son regard, il l’observe durant quelques secondes sans rien dire, comme s’il cherchait une explication à tout ça puis finalement  « Tu sais j’ai toujours cru qu’on avait un truc tout les deux, y’a personne qui comprenait pourquoi j’tenais tellement à être ton ami mais c’était plus fort que moi, c’était comme une évidence impossible à nier et pendant toutes ses années je t’ai défendu, j’ai fait taire ceux qui osait dire que tu ne valait rien, j’ai cru en toi, j’ai fait de toi le parrain de ma fille et pendant toutes ses années toi tu me mentais… » il ne s’emporte pas, il ne hurle pas, le ton de sa voix est calme mais aussi tranchant qu’une lame affûté et son regard lui se rempli de mépris.  « … Ne me dis pas que tu ne vois pas de quoi je parle, que je déraille ou que j’me fais des films » il fait un pas vers lui son regard toujours planté dans le sien  « Qu’est-ce-que Harmony a pu faire à ce Bryan pour que tu décides de lui ôter la vie ? » no more lies.

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my love is alive, way down in my heart. although we are miles apart if you ever need a helping hand, i'll be there on the double. just as fast as i can, don't you know that there.
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Horacio Gore

Horacio Gore
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Noxel ♗ She
Le beau Louis Darcis
lumos solem -ava- ♗ beautyhurtsmore -gif- ♗ awona -signa-
Cassiopéa ♗ Irini ♗ Briséis

Vingt-neuf automnes ♗ Scorpion dans l'âme, le 16 novembre fut le plus beau jour en te faisant les meilleurs des cadeaux, mais il est aujourd'hui un lourd fardeau à porter

Désillusion ♗ Tu as longtemps nourri l'espoir, tissant des rêveries autour de chaque regard échangé, chaque mot murmuré. Chaque soir, tu laissais ton esprit vagabonder dans les méandres d'une romance idéale, peuplée de moments partagés et de sourires complices. Mais aujourd'hui, devant la réalité crue de tes pensées, tu ne peux plus ignorer la vérité douloureuse : tu as seulement idéalisé tes sentiments pour Vénus, projetant sur elle tes propres désirs et attentes. Les fragments d'un futur imaginaire se dissipent, laissant place à une lucidité déchirante.

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Mercenaire ♗ Ancien légionnaire, tu as fondé ton propre commando et escouade: The Black Skull Commando ⋮ Squad

Ouest ♗ Ranch familial, tu t'y es installé à ton retour. Avec les allers retours de ton père en prison, tu ne te voyais pas séparer cette demeure de ta famille. Elle est le vestige de tant de souvenirs et un point d'accroche de votre famille. D'autant plus, qu'il l'est aussi devenu un point de rendez-vous pour cette seconde famille que tu as pris soin de monter de toutes pièces


end game (racio) J9ql
First and last love ♗ Une âme sœur est quelqu'un qui a des serrures adaptées à nos clés et des clés adaptées à nos serrures. Amour immatériel et éternel, animées par la même passion nos âmes s'aiment. Elles ont des conversations que les mots ne pourraient jamais décrire. ♗ Bibou

♗ Ton âme ne se matérialise que dans les armes blanches, tu excelles dans ce domaine

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♗ Grand passionné de mythologie
♗ Hadès, ton American Bully XL est la prunelle de tes yeux
♗ Ta tribu est ton oxygène
♗ Tu disposes d'un QG pour ton commando
♗ Combattant MMA depuis son jeune âge



Fréquente ♗ Aussi souvent que je le peux, mais je jette toujours un coup d'oeil rapide quand le temps me prend de court

great member
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MessageSujet: Re: end game (racio) end game (racio) EmptyVen 28 Juin - 22:49#


End Game ♗ 14 juin 2024

Désireux de ne pas passer ta journée dans une habituelle solitude de ton ranch, tu t’es rendu au QG de ton commando. Tu as profité de l’absence d’Harmony et Mira pour saisir cette occasion et remettre ton nez dans le travail. Assis à ton bureau, une tasse de café fumante à portée de main, tu relis pour la énième fois les rapports des opérations récentes. Chaque détail est scrupuleusement examiné, chaque décision évaluée avec le poids des responsabilité qui caractérise chacun de tes gestes. Pourtant, malgré ta concentration apparente, ton esprit est troublé par les événements récents. Les ombres du passé semblent s'étendre sur ton présent, comme des spectres rappelant des choix difficiles et des actions irréversibles. Le visage de Vénus surgit dans tes pensées, une figure énigmatique qui a traversé ta vie tel un fil invisible, entrelaçant vos destins de manière complexe et inextricable. Tu passes souvent de longs moments à réfléchir à ta vie, aux choix que tu as faits et aux conséquences qui en découlaient. Chaque acte de violence que tu as commis, chaque vie tu as prise, tu les portes comme des cicatrices invisibles mais profondes. Pourtant, tu ne regrettes rien, persuadé d'agir pour un bien supérieur, même si cela signifiait plonger dans les ténèbres.

Ce soir-là, alors que la lumière décline doucement, tu te surprends à penser à Raphael. Ton ami, son frère d'âme, celui qui, malgré vos différences, a toujours été à tes côtés. Pas un jour ne passe sans que tu te demandes ce que Raphael penserait s'il connaissait toute la vérité. Une part de toi espère que ce jour ne viendra jamais, que vos chemins continueraient de se croiser sans heurts, sans ces vérités douloureuses qui menacent de tout détruire. Dans cette partie de ton esprit, tu souhaites préserver l'équilibre de votre amitié, la simplicité de vos échanges, et la chaleur réconfortante de votre relation. Tu veux continuer à voir le sourire sincère de Raphael, sentir cette complicité inébranlable et cette confiance mutuelle qui vous unissaient depuis tant d'années. Dans cette partie de toi, tu te réfugies dans l'idée que certains secrets doivent rester enfouis, que certaines vérités sont trop lourdes pour être partagées, que tu te dois de te terrer dans le silence pour son bien être. Mais il y a une autre part de toi, une part plus profonde et plus tourmentée, qui te crie de tout lui raconter. Cette voix intérieure te supplie de cesser cette torture, de briser les chaînes invisibles de ces mensonges qui s'entassent jour après jour, pesant de plus en plus lourd sur ta conscience. Elle te poussent à offrir à Raphael cette vérité qu’il mérite, à lui faire confiance comme il t'a toujours fait confiance. Cette part de toi sait que la sincérité est la seule voie pour retrouver une paix intérieure, pour alléger le fardeau de la culpabilité et des regrets qui te rongent. Cette dualité te déchirent de l'intérieur, un combat incessant entre la peur de perdre l'un des êtres les plus chers à ton cœur et le besoin impérieux de libérer ton esprit de ce poids accablant. Chaque jour, tu te retrouves à jongler avec ces pensées contradictoires, à essayer de trouver un équilibre entre le silence protecteur et la révélation libératrice. Mais plus le temps passe, plus la voix de la vérité devient forte, impossible à ignorer. Elle te rappelle que la véritable amitié, celle que vous avez construite au fil des années, devrait être bâtie sur la transparence et l'honnêteté, même si cela implique de traverser des tempêtes et de faire face à des réalités douloureuses. Ce conflit intérieur est d'autant plus intense parce que tu connais Raphael. Tu sais qu'il est loyal, compréhensif, et profondément juste. Tu sais que, malgré la douleur que cette vérité pourrait lui causer, il mérite de la connaître, parce que c'est ce que les vrais amis font : ils se disent la vérité, même quand elle est difficile à entendre. Et dans cette lutte interne, tu réalises que l'amour et le respect que tu as pour lui doivent surpasser ta peur de la confrontation.

Alors que tu t’enfonces dans tes pensées, tu te lèves et te diriges vers ta baie vitrée, observant la mer qui s'étend à l'horizon. Les vagues scintillent sous la lumière du crépuscule, une illusion de beauté dans un monde souvent cruel. Tu sais que, malgré les apparences, les profondeurs marines cachent des secrets sombres, tout comme toi. C’est alors qu’un coup retentit à ta porte d’entré te tirant de tes réflexions. Ta porte s'ouvre sur Raphael, son visage empreint d'une expression mêlée de détermination et de douleur contenue. Tu notes son regard accusateur, la froideur dans ses yeux qui contraste avec la chaleur que vous avez l’habitude de partager. Il n'y a ni salutations chaleureuses, ni tentative de dissimuler l'ampleur de la tension qui règne. Face à ton meilleur ami, tu sens chaque mot te frapper comme un coup de poing. Tu vois la douleur et la trahison dans ses yeux, une vision qui te déchire le coeur plus que n’importe quelle blessure physique. Pourtant, tu sais que ce moment devait venir, que tu dois faire face aux conséquences de tes actions.

Tu prends une profonde inspiration, tentant de calmer la tempête d’émotions qui gronde en toi. Tu te tournes complètement vers lui, plantant ton regard dans le sien avec une intensité calme, bien que la tristesse dans tes yeux te trahisse. Tu laisses quelques secondes de silence s’écouler, pesant chaque mot que tu comptes lui dire. « Raphael… Tu as toujours été mon frère, bien plus que ça même, et tu le sais. Tu es celui en qui j’ai le plus confiance. Jamais je n’ai pris à la légère ce que nous partageons, encore moins les responsabilités que tu m’as confiées. » Calmement, tu t’éloignes de la porte d’entrée et fais un pas vers lui, bien que tu saches qu’il ne se laissera pas approcher facilement dans sa colère. Une colère justifiée, compte tenu de la raison de sa venue et de la découverte qu’il vient de faire. À vrai dire, tu ne sais pas vraiment quoi dire ni par où commencer, mais une chose est certaine, tu ne comptes pas tourner autour du pot ni essayer de noyer le poisson. La vérité, c’est tout ce que tu as à lui offrir en cet instant. « Je ne vais pas te mentir. Je ne te dirai pas que tu te fais des films, ni ce que tu aimerais entendre. » Par là, tu signifies que tu ne comptes pas démentir chacune de ses suppositions ou essayer de trouver un moyen de te sortir de cette situation pour éviter que son regard ne change sur toi. « Je suppose que le moment est venu. Je vais te dire la vérité, toute la vérité s’il le faut. » Incertain, tu passes ta main dans tes cheveux. « Ce que tu dis est vrai. J’ai bien tué Bryan. » Ta voix résonne avec la gravité et la sincérité de l’instant. « Je l’ai fait pour protéger Harmony. Bryan avait franchi certaines limites avec elle, proféré des menaces à prendre au sérieux. Il était une menace que je ne pouvais pas ignorer et il était loin d’être un adolescent innocent. Quand j’ai appris cela, je ne pouvais pas rester sans rien faire, et la situation m’a échappé… Je n’ai jamais voulu lui ôter la vie, mais c’est arrivé et je ne le regrette pas parce que ça a évité qu’il ne fasse du mal à Harmony. » Tu restes figé à quelques pas de lui, le fixant avec une intensité farouche alors que tes paroles deviennent de plus en plus passionnées. « Je ne cherche pas à me justifier ni à excuser mes actions. Ce que j’ai fait, je l’ai fait en pleine conscience de ce que cela signifie. J’ai pris une vie pour en protéger une autre, et c’est une décision qui me hante chaque jour. Si j’avais géré la situation différemment, je ne me serais jamais retrouvé en France… » Le simple fait de repenser à toutes ces années gâchées par une action aussi stupide et aux conséquences qui ont suivi te serre la gorge. « Je sais que ce que j’ai fait est difficile à comprendre, et encore plus à accepter. Mais crois-moi quand je te dis que je n’ai jamais voulu te trahir. J’ai toujours essayé de protéger ceux que j’aime, même si cela signifie porter le poids de mes actes seul. Je ne pouvais pas te le dire sans te mettre dans une situation délicate. » Sur ces mots, tu t’arrêtes. Tu attends, le cœur battant, prêt à faire face à la réaction de ton meilleur ami, qu’elle soit de compréhension ou de rejet. Car malgré tout, tu sais que votre amitié est mise à l’épreuve la plus dure qu’elle ait jamais connue et que tu dois tout faire pour ne pas la perdre, tout en sachant que tu gardes au fond de toi des secrets bien plus lourds à porter et plus compromettants.


PAR ALCARA.

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