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crying rivers (ft. jay 4)

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Candice Adams
Candice Adams
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mandown.
Sophia Bush.
sweet poison (avatar) lindsayerins (gif1) mandown - moi-même (crackship profil)
Marlo + David.

Trente-huit ans, le temps passe et les années défilent, ce qui est bien la seule chose qu'elle ne contrôle pas. (25.03.1986)
Célibataire, après avoir cru trouver la lumière à nouveau, elle sombre une nouvelle fois dans la solitude.
Lieutenant de police dans la criminelle, elle tente en vain de faire honneur au nom Adams que son père portait lui aussi dans la police de Monterey.
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Dans un pavillon dans la banlieue ouest de la ville, un quartier calme où elle apprécie aussi faire son footing en bord de mer dès qu'elle le peut.
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« ADAMS FAMILY » having a sister is like having a best friend you can't get rid of, you know whatever you do, they'll still be there. adams sisters

christy 1calista 1copsavel 2



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MessageSujet: crying rivers (ft. jay 4) crying rivers (ft. jay 4) EmptyMer 23 Oct - 15:00#

tw : viol, violences conjugales, meurtre



crying rivers
ft  @Jay Brown
crying rivers (ft. jay 4) Tumblr_inline_pnkgr5SU0S1v9iecl_500
4 octobre 2024. Candice suivait une enquête difficile depuis une dizaine de jours, encore un cas qui lui tenait à coeur d'une femme battue. Les violences conjugales étaient le fléau de la société dont elle peinait à vaincre tous les démons. Elle était d'autant plus touchée que tout ce qui concernait les femmes lui prenait aux tripes. Elle-même avait vécu un viol étant mineure et cela avait aussi dicté tout son parcours par la suite... La jeune femme avait décidé de prendre au sérieux cette histoire, bien que la principale concernée ne voulait pas porter plainte, Candice avait senti dans le regard du mari un esprit pervers et malsain. C'était plus fort qu'elle, après une enquête de voisinage elle avait compris que le garage qui servait de point de lavage était commun entre sa protégée et une voisine. Après avoir eu l'accord de la voisine, elle passa la nuit cachée dans cet endroit, attendant le moindre dérapage du mari. La lieutenante n'avait pas mis au courant le sergent, mais seulement prévenu ses co-équipiers de ce qu'elle comptait faire, elle avait un mauvais présentiment qu'elle ne pouvait pas ignorer...

Ce soir-là, tout se passait sans encombre... C'est seulement au petit matin alors que Candice était entre deux mondes qu'elle entendit crier. Elle se réveilla aussitôt, les deux pieds au sol, sa main sur son revolver, le coeur battant la chamade alors qu'elle avait perdu toute notion d'espace temps. « Ici, Lieutenant Adams, je suis au domicile de Barbara Coleman, au 112 St Patrick Street, au centre-ville, accès possible par le garage - je compte ouvrir la porte de force après avoir entendu des cris et des menaces provenant d'un homme, supposément Paul Coleman. Faites venir des renforts. Fin de la transmission. » Candice ouvrit le garage, et se précipita finalement vers la porte reliant la maison des Coleman. Elle frappa à plusieurs reprises par grands coups de pied avant de s'avancer prudemment, arme pointant face à elle, recherchant le suspect et sa victime. Elle tomba finalement dans la cuisine, le suspect ahuri, la victime lui faisant encore dos. « Paul Coleman, je vais vous demander de reculer de votre femme et mettre vos mains en évidence. » La voix stricte, la mâchoire serrée, la jeune lieutenante n'était pas encore prête à réaliser ce qui venait de se passer dans cette pièce. L'homme releva doucement ses mains en l'air, Candice y remarqua du sang ce qui lui fit pencher la tête légèrement sur le côté alors qu'elle pointait toujours son arme vers lui. « Barbara ? Regardez-moi... Tout va bien ? » inquisa-t-elle finalement alors que Candice ne comprenait pas tout... La quarantenaire finit par se retourner vers elle, les deux mains sur la poitrine, tenant un couteau. « Barbara !!!! Mais qu'est-ce que vous avez fait ? » Candice rangea son arme et vint rattraper de justesse la victime pour l'accompagner jusqu'au sol, elle positionna sa main sur le couteau se rendant bien compte qu'elle ne devait pas le retirer pour éviter l'hémorragie. La lieutenante ne réalisait pas tout ce qu'elle devait faire et dans quel ordre devait-elle le faire... L'homme profita de son inattention pour prendre ses papiers qui traînaient sur la table, et se barrait par la porte d'entrée en courant.  « Ici Lieutenant Adams, Paul Coleman a poignardé sa femme, je répète, j'ai besoin d'une ambulance au 112 St Patrick Street au plus vite. Le mari vient de s'échapper par la porte avant de la maison, il porte un polo marron et un jeans foncé, approximativement 1m80, dégarni sur le haut du crâne et il a les mains ensanglantées. J'ai besoin d'une ambulance au plus vite. Fin de la transmission. » Candice posa sa radio, et vint poser ses deux mains autour de la blessure, regardant la jeune femme droit dans les yeux. « Barbara, restez avec moi, ça va aller, ne fermez pas les yeux, on va vous aider. » Candice était paniquée au fond d'elle mais elle ne le montrait pas, elle se montrait rassurante mais elle-même doutait de ses propres mots...
 

Moses.
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