Ce n’est pas du tout ce qui était prévu de basse, en moins d’un mois dans cette ville, tu rencontres cette jeune femme. Elle était assise sur une caisse à ce cacher du monde avec ce paquet de pistaches, tu t’ai incrusté avec elle quelques petites minutes, mais ce que tu as ressenti était inexplicable. Sur cette jeune femme, tu connais à peine son prénom « Adaline ». Ce prénom qui a sonné en boucle dans ta tête des jours et des jours, avec tes jours à essayer de t’intégrer dans la population californienne, tu as complètement oublié qu’elle t’avait laissé son numéro que tu as retrouvé en vidant tes cartons. Depuis ce jour-là, tu essaies d’avoir des nouveaux réguliers de la jeune femme, t’arrivant même à échanger le soir avant de t’endormir. Tu t’as promis que ça n’arrive pas facilement, tu te remets à peine de ce mariage non-lieu et BIM elle débarque dans ta vie. Tu pourrais clairement l’ignorer, mais tu n’arrives pas, tu la vois encore dans cette robe de soirée assise sur sa caisse en bois et puis… dès qu’elle a poussé la chansonnette, tu as su que ce n’était pas une simple rencontre. Cette fille a débarqué dans ta vie quand tout était bancal et tu as envie d’apprendre la connaître. Alors, oui, c’est pour ça que tu es en train d’enfiler un costume parce que finalement ton premier rendez-vous avec elle n’allait pas être ce rendez-vous que tu imaginais. Car aux vue des questions échangés avec elle tu avais tout prévu. Tu avais réservé dans le restaurant Libanais qu’elle t’a conseillé et pour finir, tu te voyais contre elle en train de lui montrer les mouvements du mini-golf… c’est un comble parce que ce n’est pas du tout ta tasse de thé. Tu n'as jamais joué au golf, mais tu avais décidé de mettre toutes les chances de ton côté pour la séduire. Tu n’as plus l’habitude d’avoir un rendez-vous avec une fille, car le dernier remonte à des années en arrière. Alors, oui, tu as accepté de passer à cette soirée déguiser avec elle, car le plus important, c’est que tu sois avec elle, non ? Alors, tu as joué le jeu et tu t’es déguisée pour la rejoindre dans ce bar. La soirée se passe bien et tu as même rencontré quelques membres de la famille de la jeune femme. Après t’être rendu aux toilettes, tu remarques une porte qui mène vers le toit et tu as quand même l’idée de passer un peu de temps seul avec elle. Tu commandes deux boissons non alcoolisées avant de lui envoyer un sms pour lui dire que tu te trouves sur le toit, elle était en train de parler avec des amis et ou de la famille, mais tu espères qu’elle finit par te rejoindre. Tu a le regarde sur la vue de la ville quand tu entends la porte se refermer. Tu vois la jeune femme arrivée, elle a bien vu le sms que tu as lui a envoyé. Tu lui offres un sourire avant un de lui tendre ton verre. « Je t’ai pris un cocktail sans alcool, j'espère que j'ai bien choisi Casse-Noisette. » Tu lui sourire doucement. « Ta famille a l’air très gentil ! »
Célibataire « All I can do is let my heart bleed »
Elle est censée être aux études mais c’est un vrai cancre ! Elle séchait tout le temps les cours, pour se fourrer dans des plans foireux. Cependant, elle a été embauchée, au Cranachan, pâtisserie locale de Monterey depuis l'année dernière, tout d'abord dans le but d'effectuer des heures d'intérêt général, mais y est désormais apprentie pâtissière sous la supervision de Thomas, le big boss
Jusqu’à récemment, c’était: Orphelinat, maison d’accueil,… prison… Adaline n’avait pas réellement adresse fixe. Mais il a fallu l’intervention divine de Rosalie Hayes pour bouleverser sa vie quotidienne. C’est désormais dans le quartier ouest de la ville que vit l’adolescente.
« I don’t want a hundred horses. I just want one. »
∟ Adaline a une profonde colère en elle depuis toujours. La mort de celle qui l’a mise au monde l’affecte plus qu’elle ne le pense. Elle n’a pas de souvenir de sa mère car elle était trop jeune pour se rappeler.
∟ Elle ne connait pas son père, il a abandonné sa famille dans les premiers mois d’Adaline.
∟ Tout ce qu’elle possède d’eux c’est une photographie du couple, à la maternité portant aux creux de leurs bras, un nouveau-né ; elle.
∟ Adaline passe souvent par la case prison, une habitude qu'elle connait que trop bien. Pourtant, ce qu'elle n'a pas vu venir, c'est ce qu'elle ressent pour Rosalie Hayes, cet agent du FBI au milieu de tout cela.
∟ Fan incontestée de pistache. Première règle : Ne jamais en laisser traîner, elle saute dessus immédiatement.
« Rien ne permet d’affirmer qu’il existe un “instinct maternel” dans l’espèce humaine, c’est plus comme une force surnaturelle et Rosalie me fait voir cette force en elle... »
« Tu es l'homme qui manque à ma vie. Tout ce que je voulais, c'était ton amour mais tu es parti et j'ai grandi sans toi... Un jour peut-être qu'on se retrouvera toi et moi. »
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Sujet: Re: closer to the stars Mar 11 Juin - 4:43#
❝ City of stars, are you shining just for me ?
Quelle idée de l’avoir invité à cette soirée ? En vrai, j’ai pas songé une seule seconde que ma famille serait là, à tourner autour de Diego comme des vautours prêts à se jeter sur la viande avariée… Mais Diego est loin d’être avarié, dans son magnifique costume. Vu le peu de temps que je lui ai laissé pour venir me rejoindre dans le Bar de mon… grand-père ?, le résultat en valait clairement la chandelle !! Tout ce que j’espère, c’est que ma famille ne le fasse pas fuir. J’aime beaucoup sa compagnie et surtout nos échanges par texto. Depuis le mariage de Caleb et Siobhan, malgré le silence de plusieurs semaines, je trouve qu’on s’est bien rattrapé depuis et on n’arrête pas de s’écrire pour un oui ou pour un non. On apprend à se connaître et franchement, ce serait bête de ne plus le voir, tout ça parce qu’il a pris peur de Sebastian, ou de Rosalie, tout simplement.
Avant l’arrivée de Diego, j’ai retrouvé Taylor, elle aussi déguisée pour la bonne cause. Sous la barbe des Hayes, elle m’a offert une bière que j’ai bu un peu trop vite pour pas me faire griller mais je n’ai pas réellement mangé alors je le sens plutôt vite, cette fameuse mousse !! Mais pour sauver les apparences, je me fonds dans la masse jusqu’à ce que mon invité débarque. On s’amuse un peu, il fait la connaissance de ma famille mais je n’étire pas l’échange trop longtemps. C’est tellement embarrassant, franchement, j’ai peur que l’un d’entre eux (ou tous en même temps, tiens) fasse le con et après booooooonjour l’humiliation! C’est à ça que ça sert aussi une famille, non ??
Diego disparaît un moment, tandis que je me sens capturée par des copines, dont Tay’ qui se ramène de nouveau avec des bières pour tout le monde. Je fais un signe de tête pour refuser, surtout que Rosie n’est pas loin et qu’elle doit me surveiller. Sur le même temps, mon cellulaire vibre dans ma poche et j’ai un mal fou à le sortir de ma pièce de costume mais lorsque je vois son nom inscrit sur l’écran, je le déverrouille avec mon pouce tout en souriant bêtement, de toutes mes dents. Diego m’invite donc à le rejoindre sur le toit et en m’excusant auprès de mes amis, je m’éclipse, en espérant être passée inaperçue. J’ai pas envie qu’on commence à me chercher mais je me dis, la soirée est réussie, il y a un monde fou alors forcément, je suis le cadet de leurs soucis ! En fermant la porte derrière moi, je m’approche de Diego tandis qu’il me tend un cocktail sans alcool. Choix très judicieux, en sachant que je sens toujours les effets de ma première bière. Je l’attrape et me mordille les lèvres :
Merci, Apollon…
Faisant référence à son costume de Dieu Grec, j’ajoute alors :
Tu trouves ? Elle est surtout très envahissante… mais j’crois que toutes les familles sont comme ça, non ?
Je fais cogner mon verre contre le sien, avant de le porter à mes lèvres. En repensant à son texto pour le rejoindre sur le toit à l’abri des regards, je balaye le lieu, de droite à gauche avant de lui demander :
Tu comptes me tuer et cacher mon corps quelque part sur ce toit ? (Je ris) Je plaisante, évidemment.
Tu as longuement hésité avant d’accepter, ce n’était pas du tout le programme que tu lui avais préparé. C’est bizarre le sentiment que tu as ressenti quand elle t’a annoncé qu’elle ne pourrait pas se rendre à votre soirée. Sans doute parce que cette femme te plaît et que tu n’as pas envie de louper ton coup. Au mariage, tu as sans doute eu le coup de foudre pour elle, tu ne serais pas expliqué. Le fait qu’elle est décidée de prendre du recul et se cacher de tout le monde t’a permis de la rencontrer et vous vous êtes séparé avec le regret de ne pas lui avoir demandé son numéro. Par chance, elle te l’a laissé sur la petite pancarte où son prénom est inscrit. Tu as enchaîne beaucoup de projet pour t’installer correctement dans cette ville et tu as même trouvé ton alternance pour les prochaines années. Tu as eu peur de te faire passer pour un fou en lui envoyant un message, mais heureusement pour toi, elle a pris le temps de te répondre et au fil des messages, tu as tout de suite compris que ce coup de foudre n’était pas du tout de passage. Alors, quand elle t’a expliqué qu’il y avait une soirée dans le bar de son grand-père, tu n’as pas beaucoup insisté pour ce rendez-vous parce que tu as compris cette importance pour elle. Et bien qu’elle soit finie par t’inviter, tu as hésité longuement avant d’accepter. Déjà, tu n’as pas de costume et de deux, est-ce vraiment comme ça que tu voulais vivre ton premier rendez-vous ? Après, mure réflexion, tu as compris que tu voulais être avec elle et le plus important n’était pas le lieu. Tu as fini par acheter un costume et te voilà près pour cette soirée. Tu rejoins Adaline et tu passes par la casse présentation avec quelques membres de sa famille. Tu essaies de garder ton sourire et évites de faire en sorte d’avoir une imagine de toi. Finalement, au bout de quelques heures, tu finis par trouver la porte du toit. Étrangement, tu finis par avoir une petite idée. Bien qu’elle ait toujours été mignonne a essayait de jongler entre toi et ses amis, tu as envie d’être un peu seul avec elle. Ça pourrait paraître pervers, mais du tout. Tu rejoins le toit avec les deux verres et tu finis par lui envoyer un message. Tu espères qu’elle ne va pas refuser ou te mettre un vent. Un simple message vu et sans réponse. Très bien, pourtant quand tu tournes la tête et que tu vois cette bouille en face de toi, tu lui offres un sourire en lui tendant son verre. « Non, je t’assure que non. » Tu lâches un petit rire à sa phrase, tu as bien compris qu’ils font ça avec bienveillance contraire à tes parents… Tu soupires avant surenchérir « Tu as découvert mon plan ! Je comptais jeter ton corps par-dessus. » Tu te penches pour voir la hauteur. Tu tends ton verre pour trinquer avant de boire quelques gouttes. « J’ai bien compris que c’était important pour toi d’être présente ce soir, mais je me suis dit que de se retrouver sur toit peut être sympa, fin… Si tu es d’accord. Promit, je te laisserais redescendre au bout d’un quart d’heure. » C’est sa façon de lui dire qu’il a envie d’être un peu seul avec elle. « Fin si tu ne veux pas, je peux comprendre, je te laisse redescendre. » Pourquoi tu doutes ? Cette fille te plait vraiment et tu n’as pas envie d'être trop imposant dans sa soirée. À croire, que ce sentiment que tu as est complètement ne diffèrent que ce lui que tu as eu avec Raquel.
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Elle est censée être aux études mais c’est un vrai cancre ! Elle séchait tout le temps les cours, pour se fourrer dans des plans foireux. Cependant, elle a été embauchée, au Cranachan, pâtisserie locale de Monterey depuis l'année dernière, tout d'abord dans le but d'effectuer des heures d'intérêt général, mais y est désormais apprentie pâtissière sous la supervision de Thomas, le big boss
Jusqu’à récemment, c’était: Orphelinat, maison d’accueil,… prison… Adaline n’avait pas réellement adresse fixe. Mais il a fallu l’intervention divine de Rosalie Hayes pour bouleverser sa vie quotidienne. C’est désormais dans le quartier ouest de la ville que vit l’adolescente.
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∟ Adaline a une profonde colère en elle depuis toujours. La mort de celle qui l’a mise au monde l’affecte plus qu’elle ne le pense. Elle n’a pas de souvenir de sa mère car elle était trop jeune pour se rappeler.
∟ Elle ne connait pas son père, il a abandonné sa famille dans les premiers mois d’Adaline.
∟ Tout ce qu’elle possède d’eux c’est une photographie du couple, à la maternité portant aux creux de leurs bras, un nouveau-né ; elle.
∟ Adaline passe souvent par la case prison, une habitude qu'elle connait que trop bien. Pourtant, ce qu'elle n'a pas vu venir, c'est ce qu'elle ressent pour Rosalie Hayes, cet agent du FBI au milieu de tout cela.
∟ Fan incontestée de pistache. Première règle : Ne jamais en laisser traîner, elle saute dessus immédiatement.
« Rien ne permet d’affirmer qu’il existe un “instinct maternel” dans l’espèce humaine, c’est plus comme une force surnaturelle et Rosalie me fait voir cette force en elle... »
« Tu es l'homme qui manque à ma vie. Tout ce que je voulais, c'était ton amour mais tu es parti et j'ai grandi sans toi... Un jour peut-être qu'on se retrouvera toi et moi. »
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Sujet: Re: closer to the stars Mar 16 Juil - 4:21#
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Ma famille est ce qu’elle est : aimante, mais surtout très envahissante. Des qu’une nouvelle tête débarque chez les Hayes, les théories vont bon train et comme la plupart du temps, ils sont à des milliers d’années de ce qu’est réellement la personne. Ça arrive de se tromper mais les Hayes sont très protecteurs alors je ne peux pas leur en vouloir. Chacun d’entre eux, ont une place importante dans mon cœur et ma relation est différente individuellement. Rosalie est ce qui se rapproche le plus d’une mère étouffante, Sebastian un grand-père aux petits soins. Wallace est un peu comme un meilleur ami. Etc. Ils sont signifiants, peu importe le rôle que j’ai, dans leur vie.
Quoi qu’il en soit, ils garderont Diego à l’œil c’est certain. Je peux sentir un parfum de protection dans l’air, comme jamais ! Et se retrouver seul avec lui sur le toit, parce qu’il m’a demandé de le rejoindre quelques minutes plus tôt, risque de mettre ma famille à ma recherche. Enfin, j’espère que non ! La soirée est un vrai succès, je crois qu’ils n’ont pas le temps de me chercher, avec Sebastian qui doit très certainement réquisitionné les membres de son clan, pour donner un coup de main derrière le bar. Et pendant ce temps-là, j’esquive à la perfection, tous ordre que je serais supposée recevoir pour contribuer à la soirée des Hayes. Je n’en suis pas une de sang, ni officiellement avec un quelconque document, mais je me sens véritablement une Hayes, depuis un moment.
A la remarque de Diego, je fronce les sourcils :
Merde alors… j’ferais mieux de déguerpir d’ici.
Je ris. Je me rends compte que j’aurais pu prendre sa remarque au sérieux et me sentir super mal à l’aise mais à voir l’expression de son visage, j’ai immédiatement compris qu’il blaguait. Il ne compte pas me jeter du haut du toit. Je bois quelques gorgées de mon verre avant de secouer la tête face aux doutes de mon invité de dernière minute.
Non non, je suis très bien ici avec toi. J’ai pas du tout envie de redescendre. Il est vrai que cette soirée est importante mais elle l’est d’autant plus… parce que tu es là.
Sincèrement, je suis ravie qu’il soit là. Et d’un coup, je sens dans le creux de mon ventre comme des papillons qui volent, tandis que je plonge mon regard dans le sien, en souriant (sans doute comme une idiote). Non vraiment, j’ai pas envie d’être ailleurs. J’inspire profondément, histoire de masquer mon attitude changeante et rétorque :
Je trouve qu’il fait très calme ici… (levant les yeux au ciel) et on a une vue vraiment dégagée du ciel. Tu sais où se trouve la Grande Ourse ?
Il faut que tu te protèges pour éviter de retomber dans cette spirale, il faut que tu te protèges pour éviter de faire souffrir une autre femme dont tu n’aurais pas les sentiments, pourtant, Adaline est rentré dans ta vie. Elle était là, assise sur ce carton avec ce sachet de pistage à fuir le monde. Ton cœur n’a fait qu’un tour et tu as senti comme un coup de foudre venir te transpercer la poitrine. C’était quelque chose que tu n’avais pas prévu et pour toi, il était hors de question de tomber amoureux maintenant. Pendant plus de 7 ans, tu as été enfermé dans une relation avec une femme et là, ton objectif, c’était de te reconstruire. Nouvelle vie à Monterey. Nouveau pays, nouvelle culture et pourtant elle est rentrée dans ta vie sans rien demandé. Et ce soir, tu as fait le tour de la ville pour te trouver un costume pour assisté à cette soirée près d’elle. C’est loin d’être le rendez-vous que tu avais espéré et rencontrer une partie de sa famille ça signifie beaucoup pour toi. Elle t’a rejoint sur le toit, c’est un bon début. Au moins, vous pouvez être un peu seul. Mais combien de temps sa famille va mettre à la trouver ? Tu lâches un petit rire en cœur avec elle, avant de réaliser qu’elle n’avait peut-être pas envie de rester avec toi, ici, seule et qu’elle préférait le monde autour. Tu as voulu passer un peu de temps avec elle sans avoir d’idée mauvaise en tête, mais tu ne veux pas qu’elle soit obligée d’être là. Et tu préfères même lui demander ce qu’elle souhaiterait faire. Sans doute qu’elle va te redemander de redescendre la chose que tu feras pour elle et tant pis s'il y a trop de monde autour de vous. Sa réponse te fait perdre un sourire assez timide sur ton visage, tu baisses légèrement la tête avant de planter ton regard dans le sien. « Je dois t’avouer que j’ai légèrement hésité à venir. Je n’avais pas envie de m’imposer auprès de ta famille ou même avec toi. Je suis quand même content de ne pas avoir écouté ma petite voix intérieure. » Tu bois quelques gorgées de ton verre sans rien dire, mais tu finis par lever les yeux vers quand elle te parle de ce magnifique ciel qui se trouve au-dessus de vous. Tu te rapproches un peu du bord pour venir t’appuyer un peu. « Franchement ? Pas du tout ! Je suis une grosse brèle sur ce sujet. Pour moi, toutes les étoiles se ressemblent » Tu te retournes vers elle avant de venir lui tendre ton bras comme pour une invitation de venir près de toi. « Si tu t’y connais plus que moi, je veux bien un petit cours rapidos. » Un sourire constamment sur les lèvres, tu finis par relever la tête pour regarder les étoiles, bien que la plus brillante soit à ses côtés. « Les étoiles forment réellement une forme d’ours ? »
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Elle est censée être aux études mais c’est un vrai cancre ! Elle séchait tout le temps les cours, pour se fourrer dans des plans foireux. Cependant, elle a été embauchée, au Cranachan, pâtisserie locale de Monterey depuis l'année dernière, tout d'abord dans le but d'effectuer des heures d'intérêt général, mais y est désormais apprentie pâtissière sous la supervision de Thomas, le big boss
Jusqu’à récemment, c’était: Orphelinat, maison d’accueil,… prison… Adaline n’avait pas réellement adresse fixe. Mais il a fallu l’intervention divine de Rosalie Hayes pour bouleverser sa vie quotidienne. C’est désormais dans le quartier ouest de la ville que vit l’adolescente.
« I don’t want a hundred horses. I just want one. »
∟ Adaline a une profonde colère en elle depuis toujours. La mort de celle qui l’a mise au monde l’affecte plus qu’elle ne le pense. Elle n’a pas de souvenir de sa mère car elle était trop jeune pour se rappeler.
∟ Elle ne connait pas son père, il a abandonné sa famille dans les premiers mois d’Adaline.
∟ Tout ce qu’elle possède d’eux c’est une photographie du couple, à la maternité portant aux creux de leurs bras, un nouveau-né ; elle.
∟ Adaline passe souvent par la case prison, une habitude qu'elle connait que trop bien. Pourtant, ce qu'elle n'a pas vu venir, c'est ce qu'elle ressent pour Rosalie Hayes, cet agent du FBI au milieu de tout cela.
∟ Fan incontestée de pistache. Première règle : Ne jamais en laisser traîner, elle saute dessus immédiatement.
« Rien ne permet d’affirmer qu’il existe un “instinct maternel” dans l’espèce humaine, c’est plus comme une force surnaturelle et Rosalie me fait voir cette force en elle... »
« Tu es l'homme qui manque à ma vie. Tout ce que je voulais, c'était ton amour mais tu es parti et j'ai grandi sans toi... Un jour peut-être qu'on se retrouvera toi et moi. »
C’est une vérité absolue. Je suis bien contente d’être sur ce toit, avec Diego. Et seulement lui. J’apprends à le connaître, j’aime passer mon temps libre avec lui, et en plus on s’envoie quand même pas mal de textos dans la journée. Petit à petit, il prend de plus en plus de place dans mon existence et c’est exactement ce dont j’ai besoin. Je ne cherche pas à m'engouffrer dans une nouvelle relation « pansement » pour me faire oublier le chagrin que j’éprouve encore, à cause de Dante. Tout le monde me dit de le mettre dans un coin de ma tête, que remuer le passé n’y changera rien mais que je mérite mieux que lui. De toute évidence, ma famille a raison, seulement, ce n’est pas aussi simple que de le mettre dans un coin de ma tête, derrière une porte et de jeter la clé. J’y pense de moins en moins, c’est vrai. Mon coeur a moins mal ou plutôt il apprivoise la douleur et j’ai l’impression que je me sens de mieux en mieux. Je fais réellement des efforts bien que ça ne soit pas toujours un franc succès. Mais ce soir, ce n’est pas à mon ex copain que je pense, mais à Diego et sa manière —sans le savoir— de me faire beaucoup de bien. Je ne veux rien précipiter entre nous, étant donné qu’on s'entend vachement bien et même si j’ose avouer à moi-même qu’il y a quelque chose en moi qui aimerait être plus qu’une amie, je me restreins. Je laisse les choses se produire comme elles doivent se produire et être son amie me convient parfaitement. Sans le quitter du regard, je me mordille la lèvre inférieur et me dandine de gauche à droite avant de lui répondre :
Alors j’suis bien contente que tu n’aies pas écouté cette voix dans ta tête. Crois-moi, si je n’avais pas voulu que tu sois là, je ne t’aurais pas invité.
Je me serais contentée de ce dîner en tête-à-tête mais j’crois bien qu’il compte plus pour moi que je le pensais. Présenter un garçon à sa famille, ce n’est quand même pas quelque chose d’anodin, si ? C’est en regardant le ciel étoilé, que je me rends compte à quel point la vue est magnifique. Le ciel est dégagé et je suis certaine qu’à l’abri de la pollution lumineuse, le ciel serait encore plus merveilleux. J’ai toujours été une passionnée de l’univers et puisqu’il semblerait que Diego n’y connaisse absolument rien, je me mets à rire à sa remarque, avant de lui répondre, tôt en pointant le ciel :
Regarde…
Je commence par dire. Pointant facilement la Grande Ourse qui a plutôt une forme de grande casserole, je la dessine pour la lui montrer telle qu’elle est.
Elle ressemble plus à une grande casserole qu’une Grande Ourse, celui qui l’a renommé ainsi devait avoir plus d’un verre dans le nez, et certainement la dalle !!
Je ris avant de me tourner vers Diego qui regarde les étoiles. Je le trouve étonnamment beau, sous la lumière des étoiles…
Tu voulais la voir et tant pis si sa famille est présente parce que tu voulais la voir elle. Tu es parfaitement conscient que cette soirée est importante pour sa famille et qu’elle doit connaître pas mal d’inviter. Et ce rendez-vous sur le toit est assez un privilège pour toi. Ça se trouve ça ne va pas durer longtemps et à tout moment, on décide de venir la chercher. Alors tu veux profiter de ce moment avec elle sur ce toit. Involontaire, tu es peu jaloux des Hayes, ils ont l’air très gentil et surtout têtu as bien compris qu’ils veulent le bonheur d'Adaline, tu as senti leurs regards sur toi dès que tu as rejoins la brune. « Je suis assez content d’avoir écouté ma petite voix dans ma tête ! » c’était sans doute écris, si les choses n'en sont pas passé comme vous le souhaiter. La soirée repas et minigolf aurait sans doute fini en fiscaux, dès que vous serez rentré l’un chez et sans doute déçu de cette soirée. Tu t’avances vers le bord en posant tes bras sur le muret avant de le lever la tête. La grande ourse ? Franchement toi et les étoiles ça fait plusieurs. Finalement, elle se rapproche de toi et tu peux même sentir son parfum qui te fait sourire intérieur. Alors qu’elle, d’indiquer a quoi ressemble la constellation, tu ne peux t’empêcher de la regarder quelques instants avec ce petit sourire présent sur ton visage. Ton regard se pose plus haut vers le ciel rempli de ses boules de feu brillant. Tu suis son regard avant de voir le dessin de la casserole. Tu le pointes du doigt en suivant le sien. « Donc si je vois bien, c’est le grand dessin là-bas ? » Tu lâches un petit rire à son commentaire. Elle a raison sur le fait que la personne devait être complètement pas dans son état normal. « Qui sait ? Et peut être qu’il croit qu’une casserole s’appelle une ourse ? » tu rigoles en cœurs avec elle avant de poser ton regard sur elle. Tu la regardes tendrement, car oui, cette femme arrive te rend doux et tu te fais oublier ton passé dont la plaie n’est pas totale la refermer. « tu es belle ! » c’est exactement ce que tu pensais, mais finalement, elles ont eu raison de toi et tu l’as dit tout haut. D’ailleurs, quand tu le réalises tes joues deviennent roses et tu es un peu gêné d’avoir dévoilé tes pensée tout naturellement.
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Elle est censée être aux études mais c’est un vrai cancre ! Elle séchait tout le temps les cours, pour se fourrer dans des plans foireux. Cependant, elle a été embauchée, au Cranachan, pâtisserie locale de Monterey depuis l'année dernière, tout d'abord dans le but d'effectuer des heures d'intérêt général, mais y est désormais apprentie pâtissière sous la supervision de Thomas, le big boss
Jusqu’à récemment, c’était: Orphelinat, maison d’accueil,… prison… Adaline n’avait pas réellement adresse fixe. Mais il a fallu l’intervention divine de Rosalie Hayes pour bouleverser sa vie quotidienne. C’est désormais dans le quartier ouest de la ville que vit l’adolescente.
« I don’t want a hundred horses. I just want one. »
∟ Adaline a une profonde colère en elle depuis toujours. La mort de celle qui l’a mise au monde l’affecte plus qu’elle ne le pense. Elle n’a pas de souvenir de sa mère car elle était trop jeune pour se rappeler.
∟ Elle ne connait pas son père, il a abandonné sa famille dans les premiers mois d’Adaline.
∟ Tout ce qu’elle possède d’eux c’est une photographie du couple, à la maternité portant aux creux de leurs bras, un nouveau-né ; elle.
∟ Adaline passe souvent par la case prison, une habitude qu'elle connait que trop bien. Pourtant, ce qu'elle n'a pas vu venir, c'est ce qu'elle ressent pour Rosalie Hayes, cet agent du FBI au milieu de tout cela.
∟ Fan incontestée de pistache. Première règle : Ne jamais en laisser traîner, elle saute dessus immédiatement.
« Rien ne permet d’affirmer qu’il existe un “instinct maternel” dans l’espèce humaine, c’est plus comme une force surnaturelle et Rosalie me fait voir cette force en elle... »
« Tu es l'homme qui manque à ma vie. Tout ce que je voulais, c'était ton amour mais tu es parti et j'ai grandi sans toi... Un jour peut-être qu'on se retrouvera toi et moi. »
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Sujet: Re: closer to the stars Dim 15 Sep - 23:22#
❝ City of stars, are you shining just for me ?
Parler des étoiles, des constellations et tout le Toutain, c’est pas du baratin de gars pour draguer les nanas, en général ? Quoi qu’il en soit, je me surprends à parler du ciel avec Diego. C’est pas grave si les rôles sont inversés et puis, y’a rien de mal à ce que je lui montre la big dipper, qui ressemble davantage à une grosse louche qu’à un animal. La Grande Ourse comme elle est nommée en France est une constellation qui ne semble jamais se coucher. Elle m’a toujours fascinée et bien que j’ai souvent eu les yeux dans les étoiles, ça ne m’empêche pas d’apprécier chaque point lumineux de l’univers. Et mon petit tête-à-tête avec le dieu grecque ne me laisse pas indifférente. Quand il se retrouve proche de moi, en train de pointer le ciel de son index, je tourne les yeux vers lui, perds quelque peu mes facultés. Il me trouble, c’est une certitude. j’ai l’impression de ne pas réfléchir pleinement en le sachant si près. Je peux même sentir sa fragrance, qui me chatouille le nez. Afin de ne pas lui montrer ma décontenancé, je lève les yeux au ciel et affirme :
Oui, c’est ça !!
J’lui explique même mon incompréhension, du nom donné à la constellation. J’lui confie même que le mec il devait être bourré pour nommer une louche ou une casserole, une ourse. Elle ne ressemble en rien à cet animal sauvage mais je ris moi aussi, de bon cœur. Soudain, face à son compliment, je baisse les yeux dans sa direction, je sens le feu me monter aux joues sans que je ne puisse contrôler quoi que ce soit. Timidement, je lui réponds :
Merci.
Avoue qu’il est pas mal non plus, Ada ! J’oserai pas lui dire de toute façon. Et pour briser la glace dans cette gêne immense, j’inspire profondément avant d’ajouter :
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