Thomas Fraser
Le problème de la vie, c'est qu'il y en a qu'une.

TWs - Maladie (cancer), Dépression, Deuil, Drogue, Dettes

Surnom : Dans mes lointains souvenirs, enfant, on me surnommait Tommy et à mon grand damn, il était resté tout au long de ma vie. Si l'envie vous prend, n'hésitez pas à m'interpeller avec un "Tom", je me retournerais volontiers. Age, date de naissance : 34 ans, une rage de vivre sans vergogne, je suis né lors d'une nuit orageuse, le 27 juin 1990 Lieu de naissance, origines : Mon premier cri, je l'ai poussé sur la terre de la Nation des rois et des reines, l'Angleterre. Un pur produit 100% Anglais! Métier, $$$ :  Pâtissier, une activité qui m'a toujours fait vibrer, bien au-delà d'une contrainte, c'est ma raison de vivre. Adorateur du sucre, de la perfection d'un entremet, de la complexité d'un mille feuille. Je ne suis qu'un simple serviteur de ce noble art. Niveau revenus,c'était assez satisfaisant depuis quelques mois, réussissant même à ouvrir mon propre établissement il y a deux ans maintenant. Mais un tsunami dans ma vie a suffit pour faire baisser mon niveau de vie. Les dettes s'accumulent, je ne sais comment sortir la tête de l'eau. Orientation sexuelle : Drôle d'expression, orientation sexuelle, n'est ce pas? Comme si une direction était nécessaire. Je dirais surtout que je suis un grand romantique, aimant à outrance, me plongeant tête baissée dans des relations que je pense éternelles. Mais la tête dans les nuages, je ne remarque pas la dure réalité des sentiments qui peuvent s'évaporer aussi vite que de la fumée. Statut marital :  célibataire, sans réellement avoir été en couple, une relation à demi-mots, un espoir, un dernier soupire et rien que le vide qui vient m'envelopper de ses bras froids et mornes. A Monterey depuis ? : La période du lycée et j'y compte bien finir mes jours, appréciant grandement le climat agréable et cette ville si hétéroclite. Caractère : Difficile de résumer la chose en seulement quelques adjectifs. Je commencerais par les caractéristiques du signe astrologique du cancer, qui me correspondent parfaitement : Je suis prudent, j'ai besoin de repères, discret et déteste le ridicule. Je suis très attaché à ma famille et respectueux des traditions et de l'éducation qu'on m'a transmis. Je reste une personne très routinière mais investi dans ma vie professionnelle. Quelques défauts viennent parsemer le tout, je peux me montrer exigeant, nostalgique, obstiné et naïf. Groupe : Après avoir longuement hésité, je dirais tout de même Mike Delfino

01.

Un terrible éclair déchirant un ciel tourmenté. Une pluie fine, insidieuse. Une véritable Apocalypse, inquiétant tous les habitants de Birmingham, en Angleterre.  Et soudain, une éclaircie. Un rayon de soleil transperçant les nuages si épais. Le premier né du clan Fraser, si attendu par Pierce et Ayla, jeunes mariés et déjà parents. Le timide cri que je poussa suffit à faire éclater en sanglots une mère bénie par les Dieux et un père si fier d’avoir un fils. Le prénom que j'ai reçu, Thomas, fut une évidence, héritage déjà lourd à porter sur mes épaules frêles, le patronyme de mon arrière grand-père. Mais dès les premiers mois de mon existence, je comprend le sérieux de la vie, l’importance d’être facile à vivre et avare de sourires. Lorsque je regarde les vieux albums photos de famille, je ne peux que constater l’inévitable : j’étais un bambin timide mais terriblement craquant. Simplement heureux de vivre.

02.

Peu après ma naissance, d’autres enfants viennent agrandir les rangs du clan Fraser, petits êtres liés à jamais par un sang commun et un amour intarissable. Tous nés sur le territoire anglais, fierté non négligeable aux yeux des parents Fraser.  Ils ont crée le clan parfait. Une soeur qui inspire à mon père un danger, l’image des Fraser ne se déclinant pas à l’infini et pour finir, une sœur et un frère, des jumeaux, adorés et mis sur un piédestal permanent. J’aime tous les membres du clan intensément, sans limite mais je sens aussi une pression sur mes épaules, dès mon plus jeune âge. Comme un couperet prêt à tomber à n’importe lequel de mes faux pas. Pourtant, je suis un enfant sage, docile et patient. Fédérateur, réussissant à régler les conflits minimes et à imposer une paix équilibrée entre les plus jeunes. Éducation sévère mais juste de la part du paternel, accompagnée d’une mère douce et imposant le respect. Car en réalité, ils sont peu présents, très attachés à leur activité professionnelle, mais souhaitent encadrer malgré tout cette famille pleine de vie. Tenir les reines mais en demi-teinte, seulement car dans le fond, j’endosse très souvent le rôle de parent de substitution pour les Fraser. Rôle dont je comprends la profondeur, l’importance. Mais qui, parfois, m’isole du reste du monde, bien malgré moi.

03.

Très vite, je farfouille dans les placards de la cuisine, surtout dans le but de faire à manger pour la tribu mais aussi pour trouver de quoi concocter un bon dessert et j’y trouve toujours mon bonheur. J’expérimente, débute très maladroitement, crée des cookies difformes pour l’anniversaire de ma mère, des tartes aux fraises ratées pour ravir mes sœurs et des space cake délirants pour mon frère, quand nous atteignons l’âge de consommer autre chose que des herbes aromatiques. Je ne réussis pas du premier coup, loin de là, mais je suis tenace, j’ai envie de réussir. Alors, j’apprends : je supplie ma mère de m'acheter des livres de pâtisserie. Je suis un élève modèle, ramenant avec une moue gênée des bulletins de notes toujours impeccables. Félicité par les professeurs, raillé par certains camarades de classe. Mais les moqueries ne m’atteignent pas, j’aime étudier mais aussi exceller dans différentes activités extra-scolaire : du sport, beaucoup trop, n’aimant pas réellement cela mais comprenant qu’il est nécessaire d’entretenir ce beau cadeau qu’est le corps humain, les échecs, la lecture mais aussi la peinture et la mécanique. Je suis un touche à tout qu’on promet surtout à une carrière éblouissante. Ma mère, aveuglement, me récompense de tous mes efforts par ces mines d’informations que sont les livres de recettes. Elle pense que ce n’est qu’un passe temps et que je finirais avocat, trader ou homme politique. Mais dans mon cœur s’allume une flamme qui ne s’éteindra jamais : l’amour de la transformation du sucre en merveille pour les papilles.

04.

Mais l’équilibre familial, déjà bien bancal, se retrouve fragilisé par notre départ de l’Angleterre pour Monterey, une ville californienne dont je ne connais rien. Déménagement nécessaire, les parents Fraser n’ayant pas forcément demander l’avis aux enfants. Oui, c’est donc ça qui plane au-dessus de nos têtes: un sentiment d’oppression, qui nous gêne, qui nous frustre. Je suis un très jeune adolescent, je ne connais personne, ne sais pas vraiment comment aborder les gens de manière naturelle et efficace. Me faire des copains? Ça n’a jamais été un point fort, de mon côté. Mais j’ai une bonne étoile au-dessus de ma tête, je rencontre des personnes formidables, un groupe d’amis dont je ne réalise pas encore l’importance qu’il aura dans ma future vie d’adulte. À leurs côtés, je fais les quatre cent coups, je me sens revivre, bien loin de l’ambiance familiale qui n’est pas toujours au beau fixe. J’essaie la cigarette, la drogue, l’alcool. Mais je ne bascule pas dans un gouffre d’excès, bien au contraire. Après le lycée et le diplôme, je sens que je n’ai pas trop le choix : j’attaque des études dans la faculté la plus proche de Monterey, je suis les conseils distillés par mon père, lors de longues conversations nocturnes. Dans une semi-obscurité, je hoche la tête, assurant que mes capacités seront bientôt au service du monde de l’entreprise. De SON entreprise. Je suis les traces de mon père, je fais semblant, sourit lors de mes premiers retours au bercail, lorsque je leur explique le contenu de mes cours et l’adoration que je porte à mes professeurs. Mais en secret, je m’exerce encore et toujours à la pâtisserie. Je suis le fournisseur officiel de mes amis, mes gâteaux ont un succès incroyable. Je sens cette flamme dans mon cœur brûler, toujours plus intensément, vaciller mais jamais ne s’éteindre.  

05.

C’est lors d’une discussion avec mes meilleurs amis que j’aperçois le bout du tunnel : je réalise, grâce à leurs conseils, que je suis fait pour ce métier. Je le sens, je le sais. Je ne veux pas faire de ma vie professionnelle un désastre basé sur le dégoût d’une profession, je sais que je ne peux pas être mon père, tout simplement. Mais je n’ose franchir ce cap impossible, je me dis que je n’en suis pas capable, que jamais je ne pourrais réaliser ce rêve complètement fou. C’est grâce à une surprise de la part de mes amis que tout bascule. Un jour, alors que nous nous retrouvons pour une nouvelle soirée de partage et de rires, ils me remettent une enveloppe. Contenant un courrier d'une importance capitale. Que je ne comprends pas, dont je ne réalise pas la portée: ils m’ont inscrits à une émission, celle du Meilleur Pâtissier. Un programme dont je ne rate pas un seul épisode, d’ailleurs, je pense qu’ils sont complètement EXASPÉRÉS par le fan que je suis, vissé au canapé lorsque retentit le générique de l’émission. Sous le choc, je refuse, hoche la tête, me lève et suis prêt à m’enfuir. À tourner le dos à cette chance inespérée. Mais en réalité, ils m’offrent le plus beau des cadeaux: l’occasion de tenter. De briller. De réussir. Et l’aventure a été si belle, si intense. Grâce à leur soutien, je vais au bout du concours, allant même jusqu'à le gagner, au prix d’incroyables efforts et de travail acharné. Quelques jours après mon sacre, je me rends chez mes parents. Je défie mon père, une bonne fois pour toute. Mon ventre se tord, mais je n’ai pas le choix : ma décision est prise, je suis incapable de revenir en arrière. Un dernier regard envers mon paternel, je lis dans ses yeux une puissante déception quand je lui avoue que je ne reprendrais pas le flambeau de l’entreprise. Que j’ai d’autres projets, d’autres ambitions. Je monte faire mon sac et je pars, définitivement. Choisis de vivre en compagnie de mes amis de toujours, la famille que je me suis choisie. Éternellement à mes côtés. Je n’oublie pas mes soeurs et mon frères, mais je choisis simplement de vivre pour moi. Enfin.

06.

L’univers m’offre son plus beau cadeau : un parfait alignement des étoiles. Tout me sourit : Je commence par travailler dans plusieurs établissements prestigieux de la Californie, souhaitant m’enrichir de toute l’expérience possible pour me construire, pour ne pas prendre la grosse tête, ni me précipiter. La colocation avec mes meilleurs amis m’apporte un socle sur lequel je peux me reposer, après mes longues journées et nuits de travail. La tension et le bon stress que je ressens dans mon poste m’aident à me dépasser, à aller toujours plus loin dans mes retranchements. Je suis concentré, méthodique et surtout, j’ai une furieuse envie d’y arriver par moi-même, d’aller au bout de mes idées, de remercier mes amis pour la confiance qu’ils ont eu envers mes capacités en m’inscrivant à ce concours. Quand l’argent nécessaire est accumulé, j’ouvre ma propre pâtisserie, m’inspirant pour le nom de l’établissement d’un célèbre dessert écossais. La touche originale, clin d’œil à mes origines, plaît à l’ensemble des habitants de Monterey. Le succès ne me monte pas à la tête mais m’inspire chaque jour à créer de nouveaux gâteaux, à être imaginatif, exigeant et simple à la fois. Côté cœur, rien de très sérieux, je tombe plusieurs fois amoureux mais j’ai toujours le cœur brisé, une confiance aveugle placée entre les mains de conquêtes ne sachant que faire de cet investissement émotionnel. Je continue à voir mes soeurs et mon frère, malgré le froid qui s'insinue dès que nous sommes réunis. Lors d’un déjeuner dominical, mes parents finissent, avec un regard fuyant et une voix basse, par me féliciter. Je rougis, n’arrive à rien faire d’autre qu’à part murmurer un simple “merci”. Mais au fond de mon cœur, je suis si heureux. Je ne perds pas espoir, je me tiens en équilibre sur le sommet de ma vie.

Et voilà que la chute intervient, brutalement, sans signe avant-coureur. Une erreur dans la matrice.

07.

Une envie d'uriner, omniprésente. Cette gêne m'empêche de travailler correctement, occupe mes pensées. Je me rends alors, la mort dans l'âme, chez le médecin, suite à la demande insistante des membres de ma coloc. Et le couperet tombe. Les mots sont distincts dans mon esprit, je les comprends, les assimile avec une lenteur déplorable. Cancer de la prostate. Tout juste pris à temps, je devrais m'en sortir, comme le dit si bien le médecin qui me reçoit. Je ne me souviens pas avoir passé tous ces examens. Je ne me souviens pas avoir vomi après la première séance de chimiothérapie, trembler à cause d'un froid imaginaire, eu des visions délirantes. Mais ce dont je me rappelle, c'est d'avoir appelé mes amis, la voix tremblante. Seul dans ma chambre, épuisé, réduit à des piètres capacités. Je ne veux qu'eux à mes côtés, pour m'aider à remonter la pente. Et surtout, à cacher la vérité au reste du monde. Je pleure sur leurs épaules, à tour de rôle, sourit en tenant leurs douces et chaudes mains. Ils tentent de m’aider, à leur façon, mais aucune personne au monde ne peut comprendre la terrible épreuve que je traverse. Enfin si. Ariana. Terrassée par un cancer du sein. Une brune renversante que je rencontre à l'hôpital. Très vite, j'engage la conversation, dépassant ma timidité. Sa pâleur, ses grands yeux verts et son rire cristallin : tout me plaît chez elle. Je l'embrasse, furtivement, après un rendez-vous romantique qui n'en était finalement pas un. Quand elle me rend un baiser fougueux, la flamme qui s'était presque éteinte grandit de nouveau, brûle si fort que j'en ai mal au cœur. Une douleur appréciable. Nous partageons tant de points communs que ça en est troublant. Je me confie sur cet amour naissant, mes amis connaissent tout d’Ariana, je leur en parle pendant des heures, je retrouve de l'espoir. Plusieurs semaines s'écoulent, où nous restons enfermés dans une bulle de bonheur, là où j'oublie presque la dureté de la maladie. Et de nouveau, l'obscurité. Le froid, la solitude. L'absence d'espoir. Lorsque je lui rends visite un matin frais de fin d'hiver, un bouquet de jonquilles dans les mains, et que je la trouve allongée sur son lit, les yeux fermés, la vie ayant quittée son corps, je perds pied. Je me souviens avoir hurlé, tapé dans les murs, jeté le bouquet à travers la pièce. Là, je me souviens de tout.

Suite à cette perte, je me noie dans un océan de désolation. Je m’isole, parle peu, mange à peine. Je suis diminué, à un stade que je n’ose réaliser. Je ne suis plus que l’ombre de moi-même, je sens que je perds ce combat que je mène envers la maladie. Les finances sont plus que compliquées, les frais médicaux coûtent chers, je ne peux plus compter sur les revenus de la pâtisserie car j’y suis de moins en moins présent. Hors de question pour moi de solliciter les membres de ma famille pour demander de l’argent, encore moins en parler à mes amis. Alors, je contracte des dettes monstrueuses, je risque de perdre mon entreprise, mon bébé, ma fierté. Je ne peux pas le tolérer, tout ne peut pas se disloquer dans ma vie. Je ne peux honorer mes créances, alors, je décide d’utiliser les locaux de la pâtisserie pour… des activités peu orthodoxes. Comme le stockage de drogues, entre autre. Cela ne me ressemble pas, mais je suis au pied du mur. Je tente de sauver les meubles, de réparer les tuiles avant que le toit ne s’effondre.

Et je me souviendrais de chaque instant de ma vie : mes épreuves me forgent et font partie de moi. À tout jamais. Et maintenant, je dois simplement me battre pour vivre. Et espérer qu'enfin, lorsque je regarde le ciel étoilé, allongé sur le toit de mon immeuble, j'y retrouve une sérénité perdue.

QUE T'ES BEAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAU !
Je suis ravie que tu es pu rebondir et ce nouveau Thomas va être trop canon, la Skye qui est en moi est ravie & le demi-frère aussi
On va encore bien s'amuser avec nos petites bouilles bonne chance pour cette nouvelle fiche

canon
bon courage pour ta fiche

Je ne suis pas sous le bon compte pour t'accueillir, mais osef.
Bon retour chez toi avec ce merveilleux Thomas 2.0
Tu sais déjà tout ce que je pense de ce new bichon. Beaucoup trop de hype et trop hâte de cette nouvelle bromance avec nos persos.  
C'est toujours un plaisir de te lire.   Courage pour la fin de cette fiche mon poussin.

Bon retour avec Thomas 02
Bon courage pour le reste de ta fiche !!

Vous êtes des amours, merci mille fois!
Logiquement, c'est OK, n'hésite pas @Raphael Evans, si il y a besoin de modifier quoi que ce soit

Bienvenue à toi

REBIENVENUUUUUUUUUUUUUUUUUE !!!

C’est bon pour moi

Ouh le futur beau-frère... Aussi sexy que le meilleur ami, ça va promettre, j'ai trop hâte de demander Clem dans quelques minutes

Re-bienvenue chez toi, réserves-moi un lien au chaud, j'adore tellement rp avec toi

Ravi de voir que Thomas se trouve une place parmi vous tous, j'suis si heureuse de l'avoir remanier, le coco!
On va bien s'amuser

Kit Cette histoire
J'aime beaucoup trop ce personnage !! Cette histoire est tellement triste et si prometteuse niveau drama... J'adore !

Aucune surprise, je te valide Même si c'était pas vraiment une validation Mais on s'est comprise

Oui je passais juste mettre plein de smileys en attendant la suite Tu sais ce que je pense de tout ça

@Manoé Miller : t'es au TOP, merci, oui c'était... une demi-validation, on va dire!

@Iris Patterson : & je te réponds, par une avalanche de smileys, trop hypée par ce qui se prépare:

:<3:


...


Voilà, voilà. Jamais dans l'abus, la nana

Rebienvenue par ici

Oh la la quel bg j'adore cette refonte

Le voilààà le nouveau Thomas
Kit est parfait dans ce rôle, rolalala
Ta plume nous transporte comme toujours et j'ai hâte de suivre ses petites aventures. Toujours aussi fan de tes personnage
Amuse toi bien avec lui

Ah ah mais j'adore !
Trop contente de voir que tu redonnes vie à la famille Fraser !

Sois de nouveau la bienvenue chez toi avec ce très beau personnage. Ta plume est toujours un plaisir et je suis heureuse de la dévorer.

Amuse toi bien avec Thomas

Merci les amours de mon coeur, vous êtes fantastiques, j'suis si heureuse que Thomas vous plaise, il revient plus fort que jamais le pauvre bichon, on va lui faire vivre d'intenses aventures grâce à vous tous!