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if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence.

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Meera Pravesh
Meera Pravesh
62
wildflower (ju)
anya chalotra
big bishop (avatar + icons signature) sial signature), l'alchimie exquise (profil)
iris, allie, linh & maureen

29 ans (16-08)
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cœur de pierre, rien à signaler, les relations sans attaches, c'est ça son mode de fonctionnement.

agent de la DEA. un élément brillant mais une sacrée emmerdeuse de l'avis de tous.
petit appart fonctionnel au centre, elle se contente du strict nécessaire.

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MessageSujet: if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. EmptyVen 8 Nov - 18:37#


 
if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. ☽ I wish that for just one time / you could stand inside my shoes / you’d know what a drag it is to see you @Reyner Fox 

« Non, non, ce n’est pas ce qui était convenu ! Il doit bien y avoir une solution intermédiaire... » Avec l’énergie du désespoir, tu poursuis ton chef à travers les dédales du bureau, plaidant ta cause avec une rare passion. Hélas, il n’a pas l’air décidé à céder. Tu l’as pris en embuscade depuis le rez-de-chaussée mais 10 étages plus tard, aucun de tes arguments ne semble l’avoir atteint. Pire, il commence à montrer des signes d’exaspération, alors que vous venez d’atteindre l’entrée de son bureau. Il s’arrête brusquement sur le seuil, te toisant d’un air mécontent. « Ecoutez, Pravesh, ce n’est tout de même pas ma faute si Perez s’est fait tirer dessus... Ce n’est pas possible d’attendre qu’il soit remis. Le projet doit être lancé le plus rapidement possible, nous sommes sous pression. Et puis, Fox a déjà été libéré, il n’est plus possible de reculer. Vous êtes la personne la plus qualifiée et la plus expérimentée pour vous occuper de lui après Perez. Et puis très sincèrement, je suis un peu à court de partenaires pour vous... Lui au moins n’aura pas le choix d’être volontaire. » Sur cette remontrance que tu n’apprécies pas du tout, il fait mine de rentrer dans son bureau, la porte étant restée ouverte. Tu devrais t’arrêter là, mais c’est plus fort que toi. Tu le poursuis à l’intérieur de celui-ci, même sans avoir y été invitée, piquée au vif par le remarque sur tes partenaires qui désertent. Tes arguments sont de moins en moins matures et tu ressembles de plus en plus à une gamine mais tu as véritablement l’impression que tu viens d’être punie. « Ce n’est pas juste. J’ai travaillé dur pour être votre numéro deux et c’est comme ça que je suis récompensée ? Vous pensez que j’ai envie de baby-sitter un criminel ? Vous savez que je ne crois même pas en ce projet. Et lui en plus... Je l’ai rencontré. La place de ce type n’est nulle part d’autre qu’en prison. Il est imbuvable, grossier même. Ça ne marchera pas, on a déjà failli s’entretuer une fois alors qu’on ne se connaissait que depuis 10 minutes... S’il vous plaît. Je travaillerai avec n’importe qui d’autre sans me plaindre mais pas lui. » C’est là que ton chef se racle bruyamment la gorge, regardant fixement derrière toi. Devinant plus ou moins la suite, tu te retournes sans y croire. Mais c’est bien Reyner Fox qui est assis derrière vous, attendant sans doute le chef depuis de longues minutes. Il était dans le bureau depuis tout ce temps, ayant sans doute tout entendu... Il te regarde d'ailleurs avec un sourire narquois, qui te donne envie de le gifler. Tu pourrais être mortifiée qu’il ait entendu la fin de votre débat mais tu comprends surtout que tu n’auras pas gain de cause maintenant qu’il est là. Tu relèves le menton d’un air fier, les toisant tous les deux, sortant du bureau, drapée dans ta dignité offensée.

* Quelques jours plus tard *

Silencieuse, tu observes l’entrepôt suspect à l’aide de jumelles, gardant soigneusement tes observations pour toi-même. Reyner est assis à côté de toi mais tu mets un point d’honneur à lui adresser le moins possible la parole. Un silence épais règne au sein du van, rendant la planque encore plus interminable qu’elle n’est censée l’être. Comme prévu, cette cohabitation forcée ne se passe pas très bien. Tu ne supportes pas les airs de tête brûlée de ton partenaire, le malin plaisir qu’il semble prendre à te provoquer. Et pourtant, il reste dans les clous, ne te donnant aucune raison concrète de te plaindre. Chaque matin, tu le trouves les pieds sur ton bureau alors que tu lui as demandé cent fois de ne pas le faire mais comme il est à l’heure, tu ne peux rien dire Et c’est juste un exemple des milliers de petits trucs qu’il fait et qui te rendent folle. Mais contre toute attente, il respecte scrupuleusement les termes de sa probation alors il n’y a rien que tu puisses faire à part le supporter. Tu pousses un petit soupir. « Tu es sûr de ton info ? Parce qu’il n’y a pas l’air d’avoir beaucoup de mouvement par ici... » Tu dois bien l’avouer, ça te fait plaisir de remettre en cause la fiabilité de son information. Finalement, c’est le seul petit plaisir qu’il te reste, pouvoir le provoquer aussi. « Peut-être qu’il y a des trucs qui ont changé pendant que tu perfectionnais tes bonnes manières en prison... Ils sont peut-être ailleurs ou alors tu t’es trompé dans l’adresse. » La patience n’est pas ton fort, surtout quand tu as l’impression de poireauter pour rien.... Et si Fox faisait juste semblant de vous aider pour justifier de sa liberté ? Et s’il n’avait en réalité aucune intention de balancer ses ex-complices ? Tu ne peux pas t’empêcher d’être suspicieuse à son égard. Tu ne lui fais absolument pas confiance.

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Reyner Fox
Reyner Fox
133
Heavy is the Crown
Michael B. Jordan
titan editions
Wally', Jonas,Chay', Alan , Joyce, Richard & Barry

la trentaine déjà passée depuis cinq ans, Reyner ne fait pas trop attention au temps qu'il passe, ce n'est pas une donnée qui l'inquiète. Son regard est plutôt rivé sur quelque chose de plus précis.

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Longtemps célibataire, il faisait parti des jeunes qui se disaient être marié à la rue. Tout dans le gang, avant de se rendre compte que ce n'était qu'un mirage. Tout comme ses rêves de succéder en tant que prochain OG. Il ne s'est jamais tourné vers l'amour. Bien que sa partenaire ne cesse de lui taper sur le système...

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Anciennement petite frappe, il avait réussi à gravir les échelons pour devenir quelqu'un d'influent et de dangereux. Jusqu'à tout perdre et devoir croupir en prison... Puis, un pacte auquel il n'imaginait pas voyait le jour. S'il rejoignait la DEA., il serait libre sous condition. Une opportunité de se venger ? Reyner n'allait pas la manquer.

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Reyner n'ayant pas le droit d'aller où il le souhaite, il habite un appartement non loin du poste de son travail. Il n'a pas le droit de s'en éloigner sans prévenir. Mais à carte blanche lorsqu'il s'agit de sa traque à la drogue.
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bronze member
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MessageSujet: Re: if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. EmptyMar 12 Nov - 19:57#


 
if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. ☽ I wish that for just one time / you could stand inside my shoes / you’d know what a drag it is to see you @Meera Pravesh 

Les menottes toujours au poignet, l’homme avançait doucement, ne sachant pas si c’était une blague, une mise en scène pour ensuite le mettre à nouveau dans sa cellule pour se moquer de lui, pour lui avoir donné de l’espoir alors qu’il savait qu’au final, il ne sortirait jamais d’ici. Mais plus les minutes avancent, plus l’homme se rapprochait de la porte, jusqu’à voir des endroits de la prison qu’il avait même oubliés. Lorsqu'il était au niveau de la dernière pièce, Reyner faisait un dernier stop, avant de sentir ses menottes se décrocher doucement, cliquetis qui se faisait entendre, les clefs venaient le délivrer, avant d’entendre le fracas de la menotte qui tombait au sol. Son regard suivait l’outil, avant de remonter doucement, un dernier regard aux deux gardes à ses côtés, avant d’être poussé vers la dernière porte, la lumière du jour perçait et venait contraster avec la faible luminosité de sa propre pièce. Il lui fallait bien une ou deux secondes, et sa main au-dessus de son visage pour s’adapter. Il ne faisait même pas chaud, il y avait juste un beau soleil, des rayons que l’homme ne voyait plus si souvent, soit par les grands murs qui l'entouraient, soit par le fait de ne les voir qu’à travers les barreaux. Il venait emplir ses poumons, l’air était le même qu’à l’intérieur, mais il semblait avoir un tout différent goût, une autre odeur, celle de la liberté, celle de ne plus avoir à se coltiner ces cons, et ce trous à rat. Mais tout n’était pas gratuit. Surtout lorsqu’il voyait le van noir, avec les vitres teintés, et l’homme tout droit sorti des Men In Black s’approcher de lui, pour le forcer à le suivre…

Les jours qui suivaient se ressemblaient, des rappels sur ce qu’il avait accepté, des changements de lieu, tout d’abord, des premières informations, que l’ancien OG était réticent à laisser filtrer, préférant le faire directement sur le terrain, mais les hommes qui l’avait engagé n’était pas du même avis, le jugeant encore bien trop volatile pour le relâcher, même que partiellement. Il était frustré, parce qu’il voulait faire plus, non pas pour eux, mais pour lui. Il en avait marre d’attendre, lui, voulait rentrer dans le tas. Ne pas y aller par quatre chemins, arme à la main, et tous les descendres. Mais ils ne seraient jamais d’accord, il devra attendre encore un bon moment avant de voir l’occasion se présenter. Il fallait bien un bon moment avant qu’il n’était appelé, différemment cette fois-ci. Surpris d’apprendre qu’il allait enfin pouvoir sortir, il se retrouvait dans un autre trou à ras, celui de son camp temporaire. Assis sur un fauteuil bien trop confortable, Reyner attendait. Il voulait se lever pour fouiller, pour en savoir plus, mais les verres semi-teintés l'empêchaient de faire quoi que ce soit. Alors il prenait son mal en patience, oui. Lui. Avant d’entendre une voix qu’il saurait reconnaître. Celle de Pravesh, celle de la nana qui joue la dure à cuire, mais qui n’allait pas aimer la nouvelle. Lui non plus, n’était pas d’avis de faire équipe avec elle, mais si c’était sa seule manière d’aller sur le terrain, il ferait le minimum. Mais uniquement, que le minimum. C’était avec un immense rictus, surtout à la suite de ses paroles qu’il accueillait, avant de la voir se tourner et remarquer qu’il était là, derrière elle, il venait mimer un baiser et un clin d'œil avant de la voir détaler. Tout promettait d’être explosif. Imprévisible surtout. Pravesh & Fox.


Quelques jours plus tard…


Bloqué dans cet habitacle, Reyner était à l’aise, il avait le pied sur le côté de la boîte à gant, Meera se trouvait à ses côtés, bien trop intéressée à ce qu’elle regardait, lui, de son côté, jouait avec le joint de la porte. Il ne lâchait aucun coup d'œil devant. Il savait ce qui se passait, et ce n'étaient pas les remarques ou les doutes de l’agent qui allait lui faire dire le contraire. Il connaissait le coin, les manières, et les façons qu’avaient les choses ici de circuler. il n’avait pas forcément l’envie d’échanger avec, mais parler pour lui clouer le bec, ou l’emmerder, alors là, il allait s’y faire un plaisir tout particulier. “ Tu veux pas aussi sortir du camion, et hurler qu’on est là aussi? Tu vas juste nous cramer avec tes jumelles.” Il ne tournait pas la tête vers elle, la pulpe de son doigt passait dans le creux de la fente de la fenêtre, qu’il venait sentir presque le moisi tellement le véhicule ne sortait pas si souvent. “Et d’abord, qui à eu cette idée de con de prendre un van, on est sur le chelem des clowns de l’infiltration là?” Il en rajoutait, mais quoi de mieux que d’agacer sa partenaire. Enfin, partenaire, pouvait-il vraiment utiliser ce terme? Il venait ensuite finalement reprendre pour lui lancer à son tour. “Tu vois, c’est pour ça que tu les choppes pas. Tu les prends autant pour des cons que tu me prends pour un con.” Il se tournait pour la première fois vers elle, avant de lui cracher. “ Si t’arrêtais de te focaliser sur tes jumelles, tu remarquerais que c’est là bas, le lieu.” Il venait montrer de son doigt un endroit bien plus à sa gauche, avant de pouffer de rire. “Dès que y’a pas de papier ou de belle tenue, c’est plus compliqué, hein, bébé.” Il venait sourire, de moquerie, mais aussi pour la narguer. Il avait pris un mâlin plaisir à la laisser dans le flou, laisser penser à ce qu’il ne se passait rien, alors que tout était sur le point d’éclater, que le deal qu’ils allaient surprendre allait se produire, dans quelques minutes peut-être. Dans tous les cas, lui, passait finalement un excellent moment, à faire la seule chose qui l’amusait encore dans ce monde, casser les pieds de Pravesh.



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Meera Pravesh
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MessageSujet: Re: if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. if being a pain in the ass were a crime, you'd be serving a life sentence. EmptyMer 20 Nov - 17:56#


 
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Les yeux rivés à tes jumelles, tu es complètement concentrée sur la mission, refusant de penser à autre chose. Tout était bon à prendre pour ne pas penser au gamin arriéré, vautré à tes côtés. Les pieds posés sur le tableau de bord, ce dernier est train de jouer avec les différents éléments de l’habitacle comme si vous n’étiez pas en train de faire quelque chose de sérieux. Tout en lui t’agaçait, de sa posture à son attitude. Et ce même quand il était silencieux. Alors forcément, quand il ouvre la bouche, les choses ne font qu’empirer. Surtout qu’il ne le fait que pour te provoquer de plus belle, allant jusqu’à remettre en cause les procédures de la DEA. Tu pousses un gros soupir, ne tournant même pas la tête pour lui répondre. « Le grand chelem des clowns, on l’a déjà gagné rien qu’à cause ta présence dans l’équipe.  » Dis-tu les dents serrées. Tu pourrais t’arrêter là, mais tu dois bien avouer qu’il a réussi à t’atteindre. Sa façon de faire le malin alors qu’il n’avait rien accompli de sa vie est particulièrement horripilante. A vrai dire, tu as du mal à l’entendre remettre en cause cette agence à qui tu dédiais ta vie. Tu as besoin de défendre vos procédures. « Le van est banalisé avec un faux logo commercial, je ne vois pas en quoi il détonne dans une zone industrielle. Quant aux jumelles, elles sont nécessaires justement parce qu’on s’est garés suffisamment loin pour ne pas se faire capter. Si tu crois que personne n’a pensé à tout ça avant toi, tu te fourres le doigt dans l’œil. » Ok, le baby-sitting se passait vraiment mal. D’ailleurs, tu voudrais bien que vous retourniez à l’état antérieur, c’est à dire le silence mais visiblement Mister Fox n’a pas fini de donner son avis. Il continue de te faire la leçon, te reprochant de le prendre en con, t’expliquant que tu ne choperais jamais ses petits copains comme ça, crachant presque ses mots. Tu fermes les yeux, brièvement. Cette agressivité, tu ne la supportais vraiment pas. Elle te donnait à ton tour des pulsions de violence.

Des pulsions de violence qui se transforment en pulsions de meurtre quand il ose t’affubler d’un petit surnom. Tu fais appel à tout ton professionnalisme pour ne pas lui sauter dessus et lui coller une baffe. Non mais pauvre type ! Pour qui se prenait-il ? « La prochaine fois que tu m’appelles bébé, je te les fais bouffer les jumelles. C’est peut-être une utilité qui te plairait plus ? » Dis-tu en t’enflammant. Tu sais qu’il fait exprès de te chercher, tu as bien perçu son petit manège depuis le tout premier sourire narquois qu’il t’a adressé mais c’est plus fort que toi. Il n’était pas le premier homme à essayer de te rabaisser, à vouloir te ramener à ton statut de femme plutôt qu’à ton statut d’agent spécial. Tu les avais tous remis à leur place et avec lui, tu ne vas pas hésiter non plus. « C’est la dernière fois que tu me fais une remarque sexiste de merde comme ça, je te préviens... » Dis-tu d’une voix plus calme mais quand même menaçante. Entre deux saloperies, il a tout de même lâché une info intéressante, à savoir que la vraie surveillance devait se faire à la gauche du hangar. Désireuse de mener à bien cette mission malgré le boulet qu’on t’a collé, tu braques tes jumelles (que ça lui plaise ou non), plus à gauche. Tu vois plusieurs voitures arriver, ce qui suppose une rencontre importante. Surprise, tu baisses les jumelles, regardant Fox avec incrédulité. « Attends, y a une transaction qui se prépare-là ? Tu ne crois pas que ça aurait été judicieux de me le dire plus tôt ? Si tu ne veux pas que je te prenne pour un con, arrête d’agir comme tel. » Malgré la colère, ton cerveau tourne à toute vitesse. Impossible de faire un flag à deux uniquement même si de gros bonnets venaient. Et les renforts n’arriveraient pas à temps... Putain, c’était frustrant...  Mais au moins, tu pouvais prendre des photos. Tu balances les jumelles à ton voisin. « Identifie-les si tu peux. » Ordonnes-tu en cherchant le reste du matos.

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