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We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars.

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Giovanni Pastore

Giovanni Pastore
109
Aurore (p'titbou)
Giacomo Gianniotti
selly's (avatar) magma (sign) Fabiola (gifs sign)
Jeremy, Esteban, Dareios, Maria, Kayla & Diego

36 Y.O
Être célibataire c'est pas une preuve de faiblesse, ça prouve seulement que t'es assez patient et sage pour attendre la personne que tu mérites. En attendant, tu préfères, profiter de ton célibat
Ancien médecin militaire, tu as toujours eu besoin d'adrénaline et tu as finis par devenir chirurgien urgentiste.

Un appartement dans le centre.
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MessageSujet: We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. EmptyVen 5 Avr 2024 - 1:42#



We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars.. ; ― /

23h30… c’est exactement à cette heure-ci que tu as regardé ta montre avant de te rendre dans la salle de garde pour prendre un énième café de la journée. Dès que tu prenais ta garde, tu avais toujours cette même impression que d’habitude, l’être humain est complètement fou. Tu as à peine le temps de boire quelques gorgées que tu entends ton bipeur raisonné dans ta toute la pièce. Ni une, ni deux, tu finis par poser ton gobelet remplit de liquide noir avant de partir de la salle de repos pour te rendre à l’entrée des urgences. Toi et tes collègues vous vous préparez n’enfilant une blouse blanche et des gants pour accueillir les nouveaux patients. Ce qui se passe ? Vous avez simplement quelques explications : deux voitures sont rentrées en cohésion et il y a 3 blesser. Tu écoutes, le chef des urgences répartir les ambulances avant d’attendre quelques minutes que les 3 camionnettes rouges s’arrêtent. Tu es assisté par deux infirmières avant de récupérer le patient. Le service des urgences t’explique ce qui s’est passé exactement avant de t’indiquer les premiers soins qu’il a reçu. Tu rentres dans le boxe où te patient se trouve et une course contre la montre démarre. L’installant sur un lit pour libérer le brancard, tu ne perds pas une seule seconde avant de donner tes premières indications. Tu te penches vers cette femme de 39 ans avant de regarder tous les premiers réflexes pour avoir un premier bilan de son état, heureusement pour elle, elle s’en sort plutôt bien. Quelques côtés fêlés et de belles entailles que tu as recousue. Tu installes ta patiente dans une chambre et lui indique qu’elle va rester ne observation le reste de la nuit. Tu finis par reprendre le chemin des urgences. La nuit a été longue, tu n’as pas eu le temps de sortir pour aller fumer une cigarette ou pour prendre un café. Et même si c’est un métier qui te passionne énormément, tu as besoin de te retrouver seul quelques instants, loin de ses bruits, loin des gens qui cris, qui pleure où qui parles. Tu te décides de réapprovisionner une chambre, tu te décides d’aller dans la réserve. Tu ouvres la porte avant d’allumer la jeune femme, certes de dos, mais tu as bien remarqué que la jeune femme ne travaille pas avec toi vu son accoutrement. « Bonjour, je suis désolé, mais vous ne pouvez pas rester ici ! » Elle a l’air de ne pas t’écouter et justement, elle est trop occupée à chercher quelque chose. Sans doute un toxico qui cherche quoi oublier sa vie miséreuse. « Madame ! Vous m’avez entendu ? »


PAR ALCARA.
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Blanka Clarke

Blanka Clarke
116
Brenda (panic station), elle
Nina Dobrev
(av/brenda)
Leila, Avel, Selena, Azara, Callista

34 ans, zéro cheveu blanc, chevelure encore bien soyeuse et brunâtre.
Tu as repris ton nom de jeune fille, le divorce a été signé et la garde-partagée de votre fils Pavel a été décidée.
Ancienne pilote d'hélicoptère pour US Army. Dans l'ombre, tu es dans le squad du The Black Skull Commando, utilisant tes compétences pour conduire tout véhicule à moteur, autant terrestre, que maritime et aérien.
Pour une jolie couverture, tu es chroniqueuse au Monterey Herald (chronique "mode de vie", couvrant essentiellement la section : amour).
Une maison à la sortie de Monterey, éloignée, loin des autres.
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Accroc à la caféine, au point de s'en faire palpiter le coeur trop vite. A vendu son alliance sur Ebay en faisant croire qu'il s'agissait d'un bijou ancien, les fonds récoltés ont été donnés à une association pour fabriquer des puits en Afrique. Chante sous la douche. Prend soin d'elle. Pratique les arts martiaux (en particulier Le Banshay). Fan de films historiques. En recherche constante d'adrénaline. A le permis moto, bateau, hélico. Aime jouer au tennis, ça l'aide à se détendre. Affreuse cuisinière. Très bonne bricoleuse, n'hésite pas à mettre ses mains dans le cambouis. Véritable polyglotte. Parle parfois tout seule.

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MessageSujet: Re: We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. EmptySam 6 Avr 2024 - 10:48#


We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. 
club - @Giovanni Pastore

Une journée comme une autre… Non ! Les tiennes ne se ressemblent jamais. Tu as passé les dernières 24h à la frontière du Mexique. D’abord pour une fête improvisée avec une ancienne amie. Sauf, que c’était un beau traquenard. Ton amie ne voulait pas faire la fête. Elle a longtemps travaillé avec toi quand tu étais encore à l’armée. Depuis, elle semble avoir pris un mauvais virage de la vie. Elle s’est encastrée sur le chemin de l’illégalité et a doublé ses dettes. Alors, elle t’a finalement appelé à la rescousse.
Ton envie de boire de la tequila et manger des nachos t’est vite passée ! Elle t’a exposé son pseudo-plan qui ne tient pas la route. Un plan risqué, qui n’a aucun sens. Mais, tu es toi, Blanka, devant le danger tu ne recules pas. Et te prendre une dose d'adrénaline, ça ne se refuse pas.
Ce n’est pas dans ta petite robe à fleurs que tu vas pouvoir affronter une bande de criminels, dealers et trafiquants. Jean enfilé, débardeur noir, cheveux attachés, baskets, tu pars avec ton amie pour tenter de régler sa dette, de la manière, la moins magique et romantique.
Finalement, elle n’avait pas prévu que cette bande avait de nombreux hommes de mains, armés jusqu’aux dents. Dès que tu as mis un pied dans l’entrepôt, tu as compris que parlementer sur la situation était incompatible.
Des tirs dans tous les sens, de la bagarre, du sang… Ouai, ça ne donne pas envie de cette façon. Finalement, il est temps de se barrer du traquenard, rien à en tirer et ton amie, n’a qu’à fuir le Mexique.
Vous foncez sur la moto, prêtes à partir aussi vite que vous le pouvez, mais ils continuent de vous tirer dessus. Ils savent viser, ce n’est pas des rigolos. Une balle te touche sur le bras. Tu maintiens le contrôle de la moto, accélérant. Tu poses ton amie, avant de l’insulter parce qu’elle ne t’avait pas dépeint ce tableau-là. Tu lui suggères de se casser d’ici, toi c’est ce que tu as fait dans la minute suivante.
Foutu trajet, qu’il a été long. Tu t’es arrêtée dans une station service pour constater la belle éraflure. La balle ne s’est pas logée sur ta peau, mais tu mériterais quelques points de suture.
Tu as continué d’avancer. Après quelques heures de route, tu as posé le pied à Monterey. La fatigue te gagne et tu constates que la plaie saigne encore. Direction l’hôpital, une habitude que tu as, pour récupérer le nécessaire et des antibiotiques.
Tu t’infiltres par les couloirs du sous-sol. Tu montes jusqu’à l’une des réserves. Tu as le code en tête, tu l’as retenu depuis que tu as guetté plusieurs soignants le faire. Tu rentres, laissant la lumière éteinte. Tu attrapes un paquet de compresses. Tu tentes de trouver les antibiotiques, mais en vain, il semblerait qu’ils les aient changé d’emplacement. Tu continues de farfouiller, mais tu sens de plus en plus la fatigue te guetter.
Tu n’entends même pas la porte s’ouvrir. C’est la lumière qui te fait prendre conscience que quelqu’un est entré. Ta main se pose sur ton arme que tu as gardé sur le trajet, proche de toi. Au cas où… Tu ne bouges pas. C’est une voix masculine, tu prends le temps d’analyser la situation et de voir quelle réaction tu dois avoir. Il pose une nouvelle question, tu attrapes la poignée de ton arme, avant de te retourner et de diriger l’arme sur lui.
- Tu bouges, je tire.
Non, non, tu perds la raison, la douleur, les dernières 24h, la fatigue, ne pas t’être hydratée, ni avoir mangé… Tu vires à la folie. Mais, son visage... Il t'est familier.


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Le chant des sirènes ❅ Au gré des saisons, des photomatons Je m'abandonne à ces lueurs d'autrefois Au gré des saisons, des décisions, je m'abandonne
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MessageSujet: Re: We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. EmptyDim 7 Avr 2024 - 23:29#

[quote="Giovanni Pastore"]


We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars.. ; ― /

Cette garde est vraiment interminable. Tu essaies de te dire que tant bien que mal de te dire qu’au petit matin les choses vont se calmer. Ta sœur te prête son canapé et heureusement, car ton taux de fatigue est vraiment à son maximum. Les gardes qui s’accumulent, les infirmières comme médecins sont en sous-effectif et surtout que tu ne comprends toujours pas pourquoi l’être humain viennent directement aux urgences avec un peu de fièvre, c’est comme ça que vous retrouvez facilement sur les nerfs. En-tout-cas, cette femme qui souffre le martyr et tu comptes bien l’aider à la soulager. Tu donnes les premiers soins avant de demander à une infirmière de lui donner de quoi se reposer un petit peu. D’ailleurs, tu as bien envie de faire la même chose et c’est pourquoi tu décides de te prendre la relève le temps d’alimenter cette chambre. Au moment où tu rentres et tu éclaires cette minuscule pièce, tu tombes nez à nez avec une femme. Premier réflexe, tu le salut pour lui dire que cette pièce n’est pas accessible au public, mais elle cherche. Elle cherche un truc digne d’une vraie toxicomane, mais ce qui va se passer, tu ne t’y attendais pas. Tu restes figé par cette scène, cette arme pointée vers toi, tu avales ta salive avant de regarder la personne qui se trouve de l’autre côté. Cette situation, tu l’as déjà vécue, plusieurs fois et tu ne t’en as toujours bien pas sortie. « Ok.. » Ton cœur bat plus rapidement, car tu n’as pas envie que les choses dérapent et qu’elle appuie sur la détente. Franchement, si ça arrive, cette mort sera vraiment pourrie. Tu es allé sur le front plus d’une fois, tu as déjà couru à travers une pluie de balles et c’est comme ça que ta vie va finir, un simple médecin mort à cause d’une droguée en manque. Tu lèves tes bras pour faire preuve d’innocence. « On ne va pas en arriver là. » Tu observes la jeune femme, mais le bruit de tes collègues qui parle en fond t’alarme. « Je vais juste fermer la porte qui se trouve derrière moi. » Pour le moment tout est au contrôle et tu fais exactement ce que tu viens dire, hors de question que ça parte en catastrophe. Tu te retournes pour fermer la porte derrière toi avant de te retourner pour regarder la jeune femme. Tu tends toujours tes bras en laissant tes mains bien en évidence. Tu l’observes doucement, et tu finis par remarquer, c'est plusieurs ecchymoses sur le visage et son bras. « Je suis médecin… je peux peut-être t’aider. » Avec l’adrénaline, tu ne reconnais même pas cette jeune femme que tu as connue il y a quelques années avant ton arrivé à Monterey. Tu pointes ton doigt vers la plaie. « Je peux vous aider à soigner votre plaie qui saigne. »


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MessageSujet: Re: We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. EmptyDim 21 Avr 2024 - 16:10#


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club - @Giovanni Pastore

Tu fouines dans tous les coins des étagères, prêt à mettre la main sur ce que tu recherches précieusement. Tu te répètes en boucles : quel est ce putain d’idiot qui a tout changé de place dans cette réserve ? Pas pratique ! Tu es une habituée. Le code secret pour entrer que tu connais, les nombreux antibiotiques qui t’ont aidé plus d’une fois à cause des blessures… Ta douleur n’arrange pas ta recherche. Ce qui ne va pas aider c’est l’intrusion d’un soignant… Médecin ? La lumière t’a averti de sa présence. Tu es bien plus au ralenti que d’habitude, bien moins énergique pour affronter le moindre danger. Sauf que tu dégaines ton arme, te tournant et la pointant dans sa direction. Tu tentes d’avoir le visage le plus neutre possible pour ne pas faire paraître ta douleur. Tu maintiens l'arme pointée dans sa direction, le prévenant de ne pas bouger.
Tu le laisses fermer la porte, ne bougeant pas de l’endroit où tu te tiens. Il te propose son aide. Tes sourcils se froncent. T’aider ? Pour mieux te maîtriser et vendre aux flics du coin ? Tu restes silencieuse. Tu commences à avoir les jambes qui flageolent, la douleur a raison de toi, la fatigue s’empare de toutes les parties de ton corps. Même tenir l’arme correctement semble être usant et doit te faire lutter pour ne pas la poser.
- Ok… Si vous tentez d’appeler vos collègues ou même les flics, je vais t’exploser le crâne, OK ? Tu insistes sur la fin de ta phrase, optant pour un ton sec, afin que le message soit clair.
Tes yeux se braquent sur son visage, jusqu’à maintenant, tu as surtout analysé ses mouvements. Tu le connais, tu l’as déjà vu, mais où ?
- Pastore ?
Ce nom te revient brutalement. Si brutalement, que de vieilles reviviscences enfouies au plus profond de ton esprit viennent te chambouler le cerveau. Tu l’as rencontré lors d’une guerre. Tu étais blessée, à croire que c’est habituel chez toi de l’être. Tu te souviens de ce moment, revivant même les sensations, ce froid qui t’atteignait brusquement sur ce lit de fortune au milieu de plusieurs autres soldats blessés, les cris de douleur des autres qui viennent alourdir la tienne. Et tout ce sang que tu perdais. Tu ne te souviens même plus du nombre de balles que tu avais prises. Ton corps en a encore les marques.


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MessageSujet: Re: We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. We forget light wounds, but deep ones leave indelible scars. EmptyVen 26 Avr 2024 - 0:28#



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En premier lieu, ton regard est fixé vers l’arme qu’elle tient entre ses mains. Cette scène, tu as l’impression de la rejouer encore une fois. Cette fois-ci, le décor est différent, pas de bruit de bombardement au loin, pas de corps qui gémirent autour de vous. Cette fois-ci, ce n’est pas une zone de guerre et il est hors de question de crier panique pour le moment. Tes deux bras levés, tu écartes bien tes doigts pour qu’elle puisse constater qu’elle n’a pas à s’inquiéter et que tu as pour armes un simple stéthoscope. Tu prends le temps de l’observer et tu comprends vite pourquoi elle se trouve dans ce rangement. Son bras en sang et son air, affaibli te font comprendre que c’est la cause. Tu décides de lui proposer ton aide. Tu entends ses conditions, tu n’appelleras personne, tu n’as pas vraiment envie de mourir comme ça. Tu as survécu presque dix ans sur le front et cette mort serait tellement bête… Tu fais un signe positif de haut en bas pour lui faire comprendre que tu as bien compris ce qu’elle t’a dit. « Rangez votre arme pour que je puisse vous examiner de plus près. » oui, tu as pris le même ton qu’elle deux seconds avants. Hors de question de faire ça avec un flingue coller contre la tempe. Bon, ça ne sera pas la première fois que tu dois soigner quelqu’un avec un flingue braquer sur toi. Tu finis par baisser les mains. Tu fronces les sourcils au moment où elle cite ton prénom. Ta carte de médecin est au niveau de ton pantalon et ta blouse blanche la cache. *Réfléchis Giovanni* Tu observes les traits de son visage un long moment. Une ex-conquête dont tu as oublié le prénom ? Une ex petite amie ? Une connaissance ? Tu ne sais pas pourquoi, après écarter toutes ses hypothèses, tu finis par atterrir des années en arrière. « Clarke ? » Ça y est ! Enfin, tu espères ne pas te tromper de personne. Tu te souviens de cette femme que tu as soignée des années en arrière. Tu l’as opéré d’urgence après que ses impacts de balles se soient logés dans son corps. Tu as été impressionné par cette force qu’elle avait et aussi le fait qu’elle aie eu envie de retourner sur le terrain après la première nuit passé. Tu finis par lâcher un petit sourire pour détendre l’atmosphère. « A croire que c’est une habitude de se rencontrer dans ce genre de circonstance… » Tu te rapproches d’elle doucement, sait-on jamais. « Je vais t’emmener dans un box, et je vais m’occuper de ton bras, d’accord. » Si vous restez ici, vous avez plus de chance de vous faire remarquer par une infirmière. « Fait-moi confiance, on sera isolé de tout le monde. » Tu préfères la mettre en confiance pour qu’elle te suive et que vous soyez dans un endroit moins risquer. Après, elle tenait peut-être le flingue, mais vu comme elle était blanche et lutter pour tenir debout, tu as l’avantage de la situation, non ?


PAR ALCARA.

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ஃ Days, gone by, Come back as the morning light. A colourless demise rises and the only shelter I used to know, is gone lost out of sight.
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