la crackito Wildflower pour les crackships ! Hell-Frey-Creations
Jonas , Chay', Alan, Joyce, Richa's, Barry & Reyner
Wallace est sur sa 23ème année. Il réussit à reprendre sa vie en main malgré tout. Et fait en sorte que plus rien n'arrive à le faire vaciller du chemin qu'il veut prendre.
N'y fait plus tant attention que cela. Bien que plus son lien se renforce auprès de cette femme, Wallace ne peut s'empêcher d'avoir ses songes remplis de la fille au walkman. Oonagh... , la mère de son futur enfant.
Fait des études en animation depuis déjà trois ans. S'y passionne de plus en plus. Espère pouvoir intégrer une boite d'animation dans l'année. Commencer une carrière ou avoir déjà un début pour son futur.
Wally vient de changer d'appart. Le dernier lui rappelle des souvenirs trop récents. Il habite toujours dans le même quartier, mais simplement plus dans le même endroit. Il lui arrive aussi assez souvent d'aller passer quelques jours chez sa sœur.
Sujet: Got a big news... Ft Sebastian Mar 30 Juil 2024, 22:01#
Got a big news... ☽Deep in the ocean, dead and cast away Where innocences burn in flames A million mile from home, I'm walking ahead I'm frozen to the bones, I am @Sebastian Hayes
Journée plutôt spéciale. Moment que Wallace n’aurait pas cru déjà devoir vivre. En effet, il était là, assis sur le canapé. Son sang ne faisait qu’un seul tour alors qu’il se faisait déjà tout plein de scénarios. Qu’il imaginait déjà ce qui allait se produire, du plus improbable à ce qui allait sans doute arriver. Il était stressé, bien trop même. Paralysé, il n’arrivait même pas à se contenir. Regardait par la fenêtre, suivi de son téléphone. Puis à nouveau à l’extérieur. Il attendait l’arrivée de son paternel. Pour lui faire l’annonce de sa vie. L’annonce qui le rendait tout autant heureux, qu’anxieux pour l’avenir. En effet, depuis quelques jours, le jeune Hayes à reçu une news qui venait lui changer la vie. Oonagh, cette ancienne amie, qu’il a vu grandir, qu’il à vu des premiers sentiments grandir pour elle. Ce qu’il pouvait appeler comme un crush tantôt. Avant d’avoir la déchirure qu’était la disparition de la dernière des Fitz de sa vie. Il a vécu quelques années sans elle… Et pourtant, elle était toujours dans un coin de sa tête, sans jamais en sortir réellement. Elle était toujours là dans un coin aussi de son cœur. Ce dernier ne voulant jamais la lâcher. Cherchant toujours à la retrouver… Jusqu’à ce jour. Où il trouvait sur le bureau de sa sœur, ce fameux dossier. Qui venait faire reprendre contact entre les deux. La revoir, voir son visage dans une pénombre bien trop peu éclairée suffisait à embraser cette flamme qui n’attendait qu’à prendre.La suite n’est qu’entre eux. Des rapprochements, des soirées, une réciprocité qui venait étonner Wallace. Avant de se rendre compte de la chance qu’il avait. Puis… Cette fameuse soirée, celle où ils l’ont fait. Qu’ils se sont dit tout ce qu’ils avaient l’un pour l’autre, sans aucun mot. Simplement avec des actes, des mouvements et beaucoup d’attentions.
Oonagh, la femme qu’aimait Wallace, était enceinte. C’était la grande nouvelle. Celle qui changeait toute la vie du jeune garçon. Et cette heureuse nouvelle, il allait devoir l’annoncer à son père. Il avait peur de sa réaction. Mais d’un autre côté, il ne se voyait pas d’avancer sans que ce dernier ne soit au courant. C’était impossible. Il avait besoin de son soutien. Il avait besoin de son père. C’était pourquoi il était le premier à l’apprendre. Il lui avait demandé de le rejoindre chez lui, en urgence. Pour lui dire dans l’intimité la plus totale, mais surtout, pour qu’il lui sorte cette nouvelle quelque part qu’il connaissait, dans un lieu qui lui inspirait la confiance, le bien être. Wallace manquait de tourner l’oeil à deux reprises alors qu’il entendait la porte s’ouvrir, la poignée s’enclencher. Son coeur manquait un battement. L’heure était venue, le rendez-vous avec le destin… Il venait prendre une longue inspiration, avant de se lever, faire quelques pas et attendre que Sebastian ne rentre dans la pièce où ce dernier se trouvait. Son anxiété était tellement présente qu’elle pouvait se sentir dans la pièce. Mais dans quelques minutes, tout allait tomber, il serait débarrassé de cette pression. Pour le meilleur et le pire. Il n’avait plus qu’à faire confiance en son paternel pour la suite.
Célibataire, divorcé de sa femme, la mère de ses enfants depuis des années. Malgré ce qu’il tente de se convaincre, son cœur bat pour une amie chère à ses yeux.
Il a été militaire pendant de très longues années avant de se tourner vers autre chose. Il a fondé le bar familiale Hayes'Bar qu'il gère depuis des années.
Il vit dans la maison familiale Hayes, qu'il surnomme la Casa de l'amour. Il y a vu ses enfants grandir. Il l'a toutefois rénové il y a quelques années, pour se créer de nouveaux souvenirs. Un parfait mélange entre charme de l’ancien et contemporain.
ses enfants sont ce qu'il a de plus précieux au monde + ne commence jamais une journée sans son café, il en prends un autre au cours de la matinée et un thé après le déjeuner et après le dîner + il entretien une bonne activité sportive malgré son âge, il fait de la course à pied et parfois du baseball + il a toujours aimé la musique, il joue du violon depuis qu'il est enfant et il chante aussi parfois, seulement avec les personnes qui le mettent à l'aise, il a une très jolie voix et a transmis ce don à sa fille + le poker est bien plus qu'une passion, il a failli être une dépendance, heureusement, il est resté uniquement un passe-temps + il a un chat appelé Berlioz + il écoute de la musique classique pour se détendre + il fait encore quelques cauchemars de ses années à l'armée, malgré le temps qui est passé + c'est un homme qui aime toujours prendre soin de lui, ne sort jamais sans une chemise non repassée ou décoiffé + il a une moto qu'il ne laisse personne toucher, une Delahaye 135, une voiture de collection qu'il chérit et un mini van dans lequel il sortait ses enfants et qu'il garde comme souvenir.
La vie des Hayes a beaucoup été bousculé ces derniers temps. Par des nouvelles parfois bonnes, parfois un peu moins. Mais ainsi va la vie et nous ne savons pas quel soleil brillera demain. La stabilité qu’est devenue ma vie était… plaisante. Sans que je ne fasse quoi que ce soit, un équilibre s’est établi, à mon plus grand bonheur. Un bonheur que je ne pensais pas ressentir de nouvelle fois dans ma vie, devenue à la limite de l’ennui une fois que tous les enfants ont eu leur indépendance et on volé de leurs propres ailes. En évoquant les enfants, j’ai forcément une petite pensé de mon petit dernier. Wallace est revenu à la maison familiale pour quelques mois, avant de petit à petit la quitter pour d’autres horizons. Il a repris son appartement bien sûr, bien que je me doute qu’il passe le plus clair de son temps chez son amie intime, Oonagh. Une Fitzgerald. Jusqu’à il y a quelques mois, j’étais loin de me douter que ma famille pouvait à ce point être liée à celle-ci. Niamh étant pourtant une amie depuis toujours, nous n’avons jamais fait le rapprochement que mon fils et sa petite sœur pouvait se fréquenter. Pourtant, c’est le cas. Alors que le plus jeune de mes enfants peine à mettre des mots sur sa situation, celle-ci saute tout de même aux yeux. Ses intentions envers la jeune femme semblent plus qu’évidente.
« Wallace ? » je demande, les sourcils froncés, à la recherche de mon fils après avoir poussé la porte de chez lui. Celui-ci me demanda de passer et je ne tardais pas à débarquer, mon instinct paternel me submergeant d’une inquiétude sans doute démesurée. En entrant dans son séjour, je le débarque debout, faisant les cents pas. Plus aucun doute possible, il s’est passé quelque chose. Je n’ose demander si tout va bien car tous les signes montrent que non, ce n’est pas le cas. Wallace est pâle, limite tremblant. A cet instant, mon inquiétude grimpa encore d’un pas, je me rapproche de mon fils, posant ma main sur son bras humain et lui chuchote doucement. « Respire, prend une profonde inspiration, voilà… » en même temps que lui, j’inspire profondément et expire ensuite, une première fois, puis une seconde, une troisième et ainsi de suite jusqu’à ce que suffisamment d’air remplissent ses poumons. Je ne lui laisse pas le choix et l’oblige à s’asseoir sur le canapé, ne jamais perdre son sang-froid. En toute circonstance. Bien que ce soit difficile en ce moment même. Bon sang ! Ma patience a rarement été soumise à si rude épreuve. « S’agit-il d’un tort physique ou moral à qui que ce soit ? » je demandais en m’asseyant à ses côtés. Le voir debout et à présent assis me rassure dans un premier temps, mais pas suffisamment. J’attendais impatiemment la réponse de mon fiston, espérant que la sentence tombe rapidement pour que nous puissions en discuter.
HJ, désolé, j'ai bien pris mon temps
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I know a lot. But I didn't see anything.
Wallace Hayes
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Heavy is the Crown
Tom Holland
la crackito Wildflower pour les crackships ! Hell-Frey-Creations
Jonas , Chay', Alan, Joyce, Richa's, Barry & Reyner
Wallace est sur sa 23ème année. Il réussit à reprendre sa vie en main malgré tout. Et fait en sorte que plus rien n'arrive à le faire vaciller du chemin qu'il veut prendre.
N'y fait plus tant attention que cela. Bien que plus son lien se renforce auprès de cette femme, Wallace ne peut s'empêcher d'avoir ses songes remplis de la fille au walkman. Oonagh... , la mère de son futur enfant.
Fait des études en animation depuis déjà trois ans. S'y passionne de plus en plus. Espère pouvoir intégrer une boite d'animation dans l'année. Commencer une carrière ou avoir déjà un début pour son futur.
Wally vient de changer d'appart. Le dernier lui rappelle des souvenirs trop récents. Il habite toujours dans le même quartier, mais simplement plus dans le même endroit. Il lui arrive aussi assez souvent d'aller passer quelques jours chez sa sœur.
Sujet: Re: Got a big news... Ft Sebastian Mar 15 Oct 2024, 14:49#
Got a big news... ☽Deep in the ocean, dead and cast away Where innocences burn in flames A million mile from home, I'm walking ahead I'm frozen to the bones, I am @Sebastian Hayes
C’était un moment clé, c’était quelque chose d’important pour le jeune homme. Et s’il devait être honnête, il ne pensait pas que ce jour arriverait aussi vite. Celui où il annonçait à son paternel qu’il allait à son tour, avoir l’immense joie, privilège d’être papa. Une nouvelle qui était complètement folle. Qui l’aurait crû ? Quelques mois tantôt ? Quand Wallace était au seuil de la mort, qu’il n’avait plus rien pour lui, si ce n’était que du désespoir, s’accrocher durement à la vie… Et voilà qu’Oonie revient dans sa vie, elle qui était son premier amour, celui qu’on oublie pas, celui qui nous poursuit toute notre vie. Ce premier amour, ce premier béguin se transformait en quelque chose qu’il n’aurait jamais cru possible. Celui de quelque chose de réciproque. Un rêve qu’il chérissait depuis si longtemps, qui s'avérait être la pure vérité. Il en était le premier choqué, mais aussi le premier à en profiter, de ce transformation. Du passage des songes à la réalité…
Son anxiété été à son paroxysme quand son père entrait dans la pièce. Il nourrissait un sentiment de calme, mais le fait de ne pas savoir sa réaction provoquait un malaise en lui, un doute qui venait le ronger. Quelque chose qu’il devait vite lui transmettre, lâcher cette bombe qui changerait à jamais sa vie, qui l’avait déjà fait à vrai dire. Mais s’il y avait bien quelqu’un qui devait le savoir, c’était bien son père. Il venait tout d’abord lui transmettre sa sérénité, pour lui permettre d'aligner quelques mots. De pouvoir lui parler sans que sa voix saute, sans qu’elle ne craque tellement la pression était immense, tant il avait peur de cette réaction… “Papa…” Il n’avait pas le temps de lui expliquer pour le moment, que Sebastien venait le placer sur le canapé, un endroit plus confortable, mais aussi plus simple pour lui de se livrer. Inquiet pour son jeune fils, plus jeune de toute la fratrie, il venait lui demandait si c’était un tort physique ou moral. Wallace ne savait pas quoi répondre. Les deux ? Non, il ne serait que plus confus à la suite de cette réponse. Il ne savait pas comment le sortir. Comment laisser cette merveilleuse chose atteindre son père. Avec des mots ? Probablement, mais ce n’était clairement pas aussi simple qu’il ne le pensait. “C’est… C’est pas ça, enfin, pas directement…” Il venait regarder le sol, se munissant de tout son courage disponible, de tout ce qu’il lui restait en lui pour trouver cette source, ce moyen de trouver ses mots. “Promis… Tu… Tu t’énerves pas hein?” Il venait regarder nerveusement son père, rapidement des yeux avant de regarder le sol à nouveau, comme si ses réponses s’y trouvaient. Sur le parquet qui se trouvait sous eux. Il venait prendre une grande respiration avant de bloquer l’air dans ses poumons une dernière fois. C’était le moment, il le sentait… Mais Wallace étant Wallace, il venait dire tout bas… “Je… Je vais être papa…” Mais si bas qu’il était presque impossible que Sebastian le comprenne. Peut-être simplement. Probablement même qu’il n’’avait entendu que le mot ‘papa’, référant à lui. Avant de se racler la gorge et d’ajouter finalement… “Oonagh va être maman…” Toujours aussi nerveux, il venait jouer avec ses doigts, ses mains pour contenir cette anxiété alors que le père des Hayes avait une partie de l’information. Peut-être n’avait-il pas fait le lien et était perdu au possible, possiblement qu’il avait tout compris, Wallace ne savait dire pour le moment. Seule la prise de parole de ce dernier le fixerait sur le sujet.
Célibataire, divorcé de sa femme, la mère de ses enfants depuis des années. Malgré ce qu’il tente de se convaincre, son cœur bat pour une amie chère à ses yeux.
Il a été militaire pendant de très longues années avant de se tourner vers autre chose. Il a fondé le bar familiale Hayes'Bar qu'il gère depuis des années.
Il vit dans la maison familiale Hayes, qu'il surnomme la Casa de l'amour. Il y a vu ses enfants grandir. Il l'a toutefois rénové il y a quelques années, pour se créer de nouveaux souvenirs. Un parfait mélange entre charme de l’ancien et contemporain.
ses enfants sont ce qu'il a de plus précieux au monde + ne commence jamais une journée sans son café, il en prends un autre au cours de la matinée et un thé après le déjeuner et après le dîner + il entretien une bonne activité sportive malgré son âge, il fait de la course à pied et parfois du baseball + il a toujours aimé la musique, il joue du violon depuis qu'il est enfant et il chante aussi parfois, seulement avec les personnes qui le mettent à l'aise, il a une très jolie voix et a transmis ce don à sa fille + le poker est bien plus qu'une passion, il a failli être une dépendance, heureusement, il est resté uniquement un passe-temps + il a un chat appelé Berlioz + il écoute de la musique classique pour se détendre + il fait encore quelques cauchemars de ses années à l'armée, malgré le temps qui est passé + c'est un homme qui aime toujours prendre soin de lui, ne sort jamais sans une chemise non repassée ou décoiffé + il a une moto qu'il ne laisse personne toucher, une Delahaye 135, une voiture de collection qu'il chérit et un mini van dans lequel il sortait ses enfants et qu'il garde comme souvenir.
Papa… Souffle-t-il et il ne m’en faut pas plus pour poser ma main sur la sienne, le réconfortant avec des gestes, les mots m’ayant toujours fait défaut. Je continue à le fixer, lui envoyer tout le réconfort et le courage dont il a besoin pour se lancer. Pas directement me répondit-il, et je soufflais, rassuré. Donc pas un tort qu’il aurait pu causer à autrui. Me voilà rassuré en quelque sorte, bien que l’état émotionnel de mon fils ne s’améliore pas pour autant. Je me demande ce qu’il cache et ce qu’il peut bien vouloir me dire. Que peut-il le rendre anxieux à ce point ?! Et surtout dans cet état ? Il levait ses yeux vers moi avant de détourner le regard assez rapidement, voulant me faire promettre de garder mon calme et ne pas m’énerver. J’étais tenté de lui donner cette promesse, mais au vu de son état, je m’attendais au pire et préférais donc ne pas m’avancer. « Je t’écoute. » lui dis-je tout doucement, lui insufflant ainsi un peu plus de courage pour qu’il puisse sauter le pas.
Je me redressais subitement lorsque l’information sort enfin de sa bouche. J’eu du mal à comprendre à sa première phrase, mais la seconde ne laissa pas d’ambiguïté à la situation. J’aurais préféré mal comprendre, lui demander de reformuler pour espérer avoir une autre réponse, mais… Le verdict tombe et je ne laisse pas place au doute. Comment ça papa ?! Je sentis mon cœur se contracter si violemment dans ma poitrine qu’il me fallu fort serrer mon poing pour me retenir d’hurler. « Tu te fous de moi ? » Mon ton est froid, glacial. Wallace aurait sans doute préféré que je hurle plutôt que d’utiliser ce ton-là. L’armée m’a entrainé à garder mon sang froid, à rester impassible en toute circonstance… Mais tout ce que j’appris pendant des années se retrouva balayé en quelques secondes. « Bordel Wallace ! » Hurlais-je alors, haussant le ton, le faisant sursauter au passage.
Je braque mon regard sur lui, ne le lâche pas des yeux, je suis furieux, incapable de me retenir. Comment ça, papa ?! Alors qu’il a 23 ans, qu’il vit entre chez moi et chez elle et qu’il n’a même pas de travail à proprement parlé ?! Lui-même est un enfant bon sang ! Je suis à deux doigts d’exploser. Je perds complètement patience. Je sors mon portefeuille de ma poche arrière, l’ouvrant assez rapidement pour en sortir un préservatif que je jette violemment sur sa table basse. « Tu n’es pas foutu d’utiliser ce putain de préservatif pour te protéger ? » C’est trop lui demander peut être ?! Je me rappelle très bien avoir eu une discussion avec lui sur ce sujet et aujourd’hui il me balance une bombe pareille ?!
Je prends une profonde inspiration, je dois retrouver mon calme. Faire les cent pas m’aide à redescendre en pression, je passe ma main sur mon visage, puis lève la tête, regardant le vide. Je comprends mieux son état, mais mon empathie à son égard n’est pas suffisante pour me faire retrouver mon calme. Je me plante devant lui une nouvelle fois, debout, les yeux braqués sur lui. Je n’arrive pas à croire que nous ayons cette discussion ! « Wallace, bon sang ! Comment as-tu pu te montrer aussi irresponsable ? » Mon ton redescend d’un cran, mais n’est pas plus doux pour autant, adieu la sagesse, la compréhension et tout le reste, qu’il ne m’en demande pas autant, j’en suis incapable.