Célibataire, divorcé de sa femme, la mère de ses enfants depuis des années. Malgré ce qu’il tente de se convaincre, son cœur bat pour une amie chère à ses yeux.
Il a été militaire pendant de très longues années avant de se tourner vers autre chose. Il a fondé le bar familiale Hayes'Bar qu'il gère depuis des années.
Il vit dans la maison familiale Hayes, qu'il surnomme la Casa de l'amour. Il y a vu ses enfants grandir. Il l'a toutefois rénové il y a quelques années, pour se créer de nouveaux souvenirs. Un parfait mélange entre charme de l’ancien et contemporain.
ses enfants sont ce qu'il a de plus précieux au monde + ne commence jamais une journée sans son café, il en prends un autre au cours de la matinée et un thé après le déjeuner et après le dîner + il entretien une bonne activité sportive malgré son âge, il fait de la course à pied et parfois du baseball + il a toujours aimé la musique, il joue du violon depuis qu'il est enfant et il chante aussi parfois, seulement avec les personnes qui le mettent à l'aise, il a une très jolie voix et a transmis ce don à sa fille + le poker est bien plus qu'une passion, il a failli être une dépendance, heureusement, il est resté uniquement un passe-temps + il a un chat appelé Berlioz + il écoute de la musique classique pour se détendre + il fait encore quelques cauchemars de ses années à l'armée, malgré le temps qui est passé + c'est un homme qui aime toujours prendre soin de lui, ne sort jamais sans une chemise non repassée ou décoiffé + il a une moto qu'il ne laisse personne toucher, une Delahaye 135, une voiture de collection qu'il chérit et un mini van dans lequel il sortait ses enfants et qu'il garde comme souvenir.
Je n’avais pas passé la meilleure des nuits. A vrai dire, je n’avais pas passé la meilleure des semaines non plus. Elle fut des plus chargées, entre le rythme estival au bar, les vacances à préparer et toujours quelques bricoles à régler. Le temps file à une vitesse folle et je n’eu pas l’impression de réellement en profiter. J’ai besoin de relâcher un peu la pression, de retrouver certaines habitudes et surtout, de me poser. J’ai moins à me préoccuper des enfants en ce moment, chacun menant sa vie comme bon lui semble. Je n’hésite certes pas à m’immiscer lorsque j’en ressens la nécessité, mais la plupart du temps, je les laisse seulement venir à moi pour les conseiller de la façon la plus objective possible. Cependant, si pour la plupart je sais à peu près où ils sont et ce qu’ils font en ce moment, il y en a bien un qui a beaucoup pris ses distances ces derniers temps.
Avec Jamie, nous n’avons pas toujours été d’accord sur tout, surtout, depuis la séparation avec sa mère. Les divorces ne sont pas faciles à vivre pour les enfants et si celui-ci a choisi parfois le côté maternelle, du mien, je ne lui en ai jamais voulu, au contraire, je pense respecter ses choix. Jamie est une boule d’énergie, sportif, il est toujours partant pour une montée d’adrénaline qui m’a valu un trop pleins d’inquiétude pour lui de nombreuses fois. Car c’est aussi ça, être parent, se faire un sang d’encre en silence pour laisser ses enfants s’épanouir dans ce qui leur plaît. La vie est pleine de surprises et elle m’en a donné des preuves bien des fois. J’ai tendance à adorer mon petit cocon, mes habitudes casanières et mon mode de vie, j’étais satisfait… Jusqu’à ce que la tornade Niamh débarque dans ma vie et la chamboule de fond en comble, m’obligeant à sortir de ma zone de confort et brisant les règles que je m’étais fixé jusqu’à présent. D’ailleurs, la jeune femme prône la communication, chose pour laquelle je ne suis pas forcément la plus à l’aise, étant donné que les confidences ne sont pas mon fort. Cependant, pour cette fois, c’est différent.
Je refusais de laisser une distance, voire un fossé se créer pour une raison que je ne connais même pas. Raison pour laquelle, je débarquais chez mon jeune fils. « Bonsoir Jamie. » je lui souris alors lorsque la porte s’ouvre, tendrement, sincèrement. Ca fait des semaines, peut-être même des mois que je ne l’ai pas vu, sans plus attendre donc, je m’approchais de lui pour une petite accolade. Il semble surpris, de ma visite ou peut-être même de mon geste d’affection. En tout cas, je suis pleinement à ma place, conscient que quelque chose ne va pas. « Je suis passé un peu à l’improviste, j’ai préféré ne pas te prévenir, au cas où tu serais tenté de sortir une excuse pour ne pas me voir. » je dis avec un sourire en coin et sur un air taquin.
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I know a lot. But I didn't see anything.
Jamie Hayes
797
Madi
Charles Leclerc
Absolaim
Daphné & Reed
Vingt-sept ans (16.05.97) de périples et de folies en tout genre.
Célibataire. Il n'a pas encore trouvé la perle rare. Il profite pour butiner de fleur en fleur. Enfin ça, c'était avant de rencontrer Allie et qu'elle chamboule sa vie.
+++
1m80. Avant dernier d'une fratrie de six enfants. Père & mère américains. Enfin c'est ce que tu crois. En vérité, ton père est français... Ne fumes pas, bois sporadiquement. Pratique le parachutisme, l'escalade, le saut ascensionnel, tous les sports extrêmes. Sportif & E.Sportif. Toujours partant pour une montée d’adrénaline. Ambidextre. Végétalien. Bénévole dans un refuge. Fan de Star Wars, des Spielberg.
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Cadreur/steadycamer en freelance. Tu travailles surtout pour la télévision. Tu fais des reportages. C'est toi qui les suis et ça, peu importe le temps: gros cagnard, tempête de neige, pluie incessante, tornade. Tu filmes aussi tes potes quand vous êtes en urbex ou en parkour. T'as d'ailleurs créé une société audiovisuelle via laquelle tu publies les vidéos parkour, urbex et roadtrip de ton groupes de potes. Tu partages les recettes financières avec eux.
Un appartement dans le centre ville, au dessus d'une librairie.
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Tu es le résultat d'une aventure entre ta mère et un de ses collègues médecins, un français installé à Monterey depuis une trentaine d'années. Tu n'en as parlé à pratiquement personne pour l'instant...
En présence réduite, 1 voire 2 rp/semaine.
diamond member
Sujet: Re: mon fils, ma bataille + jamie & sebastian Mer 21 Aoû - 20:15#
˜ ˜ ˜ {mon fils, ma bataille.} crédit/ cornerofbeauties feat. @Sebastian Hayes
Voilà quelques jours à présent que tu avais découvert la vérité sur ta conception. Cela n'avait pas été facile et cela ne l'est toujours pas. Tu as du mal à assimiler cette vérité. Surtout à cause de la façon dont tu l'avais découvert. Cela remettait un peu tout en question. Parce que tu te demandais si on ne te cachait pas autre chose. Allie avait été la seule à découvrir ton secret. Car secret, il le restait. Tu n'avais pas reparlé de tout ça depuis cette soirée avec la belle brune. Si bien que les réunions familiales et autres soirées avec ta fratrie, tu les avais un peu zappé. Tu avais toujours trouvé une excuse pour ne pas être là. Ou tu annulais à la dernière minute. Même si tu savais que cela allait engendrer des questions. Mais ce n'était pas grave. Tu prenais un peu de temps pour toi, tu en avais besoin. Pour une fois, tu voulais penser un peu à toi. Mais seulement tu avais un peu de mal, d'autant plus que tu avais beaucoup de boulot. Cela te permettait de t'occuper l'esprit. Et d'ailleurs ce jour là, tu étais devant ton ordinateur. Tu éditais une vidéo que tu devais envoyer à un site touristique du Montana. Tu avais été y faire un tour, quelques jours plus tôt et tu avais pris un tas de photos et des tonnes de vidéos. C'était un chouette état, un de tes préférés. Si tu ne vivais pas ici, tu irais certainement t'installer là bas. C'était le genre de paysage que tu appréciais voir de ta fenêtre. Et puis il y avait tellement d'activités à faire.
Cela faisait bien trois bonnes heures que tu travaillais quand tu entendais la sonnerie de l'entrée. Tu te demandais qui pouvait venir à cette heure-ci. Tu finissais une coupure vidéo avant de reculer ton siège à roulettes. Tu quittais ton bureau avant de te diriger vers la porte d'entrée. Tu jetais un œil au juda et tu y découvrais ton père. Enfin... Tu soupirais doucement. Oui tu te doutais qu'il allais passer. Tu ouvrais ensuite, découvrant son sourire familier. « Bonsoir... » Tu le laissais entrer avant de fermer derrière lui. Il te faisait son accolade à laquelle tu avais un peu de mal à prendre part mais tu évitais de le montrer. Tu posais tes yeux sur lui quand il te parlait d'excuse. « Si je ne voulais pas te voir, j'aurais pu faire l'absent... Et tu serais rester derrière la porte. » Répondais-tu avec un sourire en coin. Tu l'avais déjà fait les jours précédents avec Raphaël... Tu n'en étais pas fier mais tu préférais choisir le moment. Même si là, Sebastian ne te laissait pas le choix. « Tu aurais pu apporter une pizza. » Tu te dirigeais ensuite vers la cuisine ouverte sur le salon et la salle à manger attenante. « Tu veux une bière, un soda ? » Tu imaginais qu'il n'allait pas repartir tout de suite.
Célibataire, divorcé de sa femme, la mère de ses enfants depuis des années. Malgré ce qu’il tente de se convaincre, son cœur bat pour une amie chère à ses yeux.
Il a été militaire pendant de très longues années avant de se tourner vers autre chose. Il a fondé le bar familiale Hayes'Bar qu'il gère depuis des années.
Il vit dans la maison familiale Hayes, qu'il surnomme la Casa de l'amour. Il y a vu ses enfants grandir. Il l'a toutefois rénové il y a quelques années, pour se créer de nouveaux souvenirs. Un parfait mélange entre charme de l’ancien et contemporain.
ses enfants sont ce qu'il a de plus précieux au monde + ne commence jamais une journée sans son café, il en prends un autre au cours de la matinée et un thé après le déjeuner et après le dîner + il entretien une bonne activité sportive malgré son âge, il fait de la course à pied et parfois du baseball + il a toujours aimé la musique, il joue du violon depuis qu'il est enfant et il chante aussi parfois, seulement avec les personnes qui le mettent à l'aise, il a une très jolie voix et a transmis ce don à sa fille + le poker est bien plus qu'une passion, il a failli être une dépendance, heureusement, il est resté uniquement un passe-temps + il a un chat appelé Berlioz + il écoute de la musique classique pour se détendre + il fait encore quelques cauchemars de ses années à l'armée, malgré le temps qui est passé + c'est un homme qui aime toujours prendre soin de lui, ne sort jamais sans une chemise non repassée ou décoiffé + il a une moto qu'il ne laisse personne toucher, une Delahaye 135, une voiture de collection qu'il chérit et un mini van dans lequel il sortait ses enfants et qu'il garde comme souvenir.
Me voilà, devant cette porte, face à un Jamie qui semble surpris de me découvrir. Surpris ou autre chose, car je remarque bien une nouvelle émotion sur son visage, une, que j’ai bien du mal à interpréter et à comprendre. Mon sixième sens ne s’est donc pas trompé une nouvelle fois, il y a bien quelque chose qui cloche. Jamie est distant, comme depuis quelques temps à présent. Ma petite touche d’humour suffit à le faire sourire et me faire entrer chez lui. « Sympa. » lui fis-je remarquer ironiquement. « C’est donc ainsi que tu souhaites traiter ton vieux père. Je devrais être ravi que tu m’ouvre la porte ? » continuais-je avec un sourire en coin à mon tour.
Je suis ravi de le voir, parce que j’ai l’impression que ça fait une éternité, comme si notre complicité se mourrait petit à petit, comme si une distance se créait assez naturellement. Alors que ça ne devrait pas et je refuse de le voir s’éloigner. Sa remarque me fit de nouveau sourire. En effet, j’aurais pu prendre une pizza sur mon passage mais à vrai dire, mes pensées prises par tout ce qui me préoccupait, je n’y ai même pas pensé… « Hm, je n’en ai pas trouvé qui colle à ton régime alimentaire. » je répondis avec un clin d’œil. Jamie a fait le choix d’être végétalien, ainsi, pour les repas de famille, chacun faisait un effort pour que celui-ci y trouve son compte. « Un soda, ce sera très bien, merci. » lui répondis-je seulement. A force de passer du temps derrière le bar, je supporte de moins en moins l’odeur des bières ou de l’alcool de façon générale. Je n’ai jamais été un grand fan de ce genre de boisson, le whisky étant le seul que je commande lorsque l’envie me prend.
Je continue à le suivre, prenant place sur son canapé alors qu’il ouvrait le frigo. Je réfléchissais encore sur la stratégie à adopter. Je détestais tourner autour du pot et à la fois, je ne voudrais absolument pas le brusquer. « Comment vas-tu en ce moment ? Tout se passe bien pour toi ? » commençais-je en prenant des pincettes, histoire d’estimer l’état d’esprit dans lequel il se trouve. Ne pas brusquer. Le père autoritaire que j’ai parfois été dans le passé est devenu beaucoup plus tendre au fil des années. « Nous te voyons moins depuis quelques temps… » Je laisse ma phrase en suspens, me demandant comment pourrais-je la finir. Je ne veux pas qu’elle sonne comme un reproche car ce n’est pas le cas, je souhaite simplement comprendre. « Tu as peut-être rencontré quelqu’un qui prend toute ton attention ? » je préfère partir sur ce terrain-là. Célibataire, Jamie ne nous a jamais présenté quelqu’un pour le moment, préférant profiter de sa jeunesse et sûrement, d’enchainer les conquêtes. Il est très discret sur sa vie privée, je commençais à me demander si partir sur ce terrain était une si bonne idée…
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Jamie Hayes
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Vingt-sept ans (16.05.97) de périples et de folies en tout genre.
Célibataire. Il n'a pas encore trouvé la perle rare. Il profite pour butiner de fleur en fleur. Enfin ça, c'était avant de rencontrer Allie et qu'elle chamboule sa vie.
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1m80. Avant dernier d'une fratrie de six enfants. Père & mère américains. Enfin c'est ce que tu crois. En vérité, ton père est français... Ne fumes pas, bois sporadiquement. Pratique le parachutisme, l'escalade, le saut ascensionnel, tous les sports extrêmes. Sportif & E.Sportif. Toujours partant pour une montée d’adrénaline. Ambidextre. Végétalien. Bénévole dans un refuge. Fan de Star Wars, des Spielberg.
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Cadreur/steadycamer en freelance. Tu travailles surtout pour la télévision. Tu fais des reportages. C'est toi qui les suis et ça, peu importe le temps: gros cagnard, tempête de neige, pluie incessante, tornade. Tu filmes aussi tes potes quand vous êtes en urbex ou en parkour. T'as d'ailleurs créé une société audiovisuelle via laquelle tu publies les vidéos parkour, urbex et roadtrip de ton groupes de potes. Tu partages les recettes financières avec eux.
Un appartement dans le centre ville, au dessus d'une librairie.
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Tu es le résultat d'une aventure entre ta mère et un de ses collègues médecins, un français installé à Monterey depuis une trentaine d'années. Tu n'en as parlé à pratiquement personne pour l'instant...
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Sujet: Re: mon fils, ma bataille + jamie & sebastian Sam 21 Sep - 21:25#
˜ ˜ ˜ {mon fils, ma bataille.} crédit/ cornerofbeauties feat. @Sebastian Hayes
Tu ne t'attendais pas vraiment à la visite de Sebastian. Tu le pensais assez occupé avec le pub pour éviter ce genre de désagrément. Enfin, c'était un papa poule et il avait toujours été proche de la fratrie. Ce que tu comprenais et tu avais toujours apprécié ce trait de caractère chez lui. Tu avais juste besoin d'un peu de temps pour assimiler ce que tu avais appris mais ça, ton visiteur n'en savait rien. Tu ne relevais pas ses premiers propos. Peut-être que tu aurais du faire comme avec Raphael. Mais maintenant il était trop tard. Et tu devais admettre que vos discussions vous manquaient. Qu'il te manquait mais tu avais peur de dire ou de faire une connerie qui pourrait le blesser. Voilà pourquoi tu faisais le fantôme ces derniers temps. C'était la meilleure solution que tu avais trouvé.
Tu le laissais entrer dan l'appartement. A sa réponse, tu posais tes yeux sur lui. Tu étais végétalien depuis une dizaine d'années maintenant. Tout le monde s'y était habitué. Et toi, tu faisais en sorte d'avoir toujours une option vegan quand tu venais aux réunions familiales. C'était plus pratique, les autres n'avaient pas à se prendre la tête pour tes choix. Et tu préférais, au moins tu apportais ce que tu aimais. « Dis plutôt que tu n'as pas cherché. » Trop pressé de venir chez toi ? Tu lui sortais ensuite un soda que tu lui donnais ensuite tout en prenant une bouteille pour toi. Cela faisait un moment que vous ne vous étiez pas parlés. Installé sur le canapé, il commence la série de question. Tu sais qu'elle serait longue. Elle l'est toujours quand Sebastian est curieux sur un sujet. Mais là, le sujet c'était toi. C'était moins agréable que lorsque vous parlez du dernier match de foot qui était passé à la télé. « Ça va. » Répondais-tu dans un premier temps. « J'ai toujours un emploi du temps serré à cette période de l'année. » L'été était le moment propice pour les balades et découvrir de nouvelles destinations, voilà pourquoi tu avait beaucoup de boulot. Alors forcément, tu avais des demandes de reportages venant des offices du tourisme ou des États eux mêmes. Et à vrai dire, tu avais accepté tous les contrats qu'on t'avait proposé, justement pour rester loin de Monterey ou en tout cas, loin des réunions des Hayes. Puis tu avais un mince sourire aux coin des lèvres. « Non c'est juste le boulot qui me prend tout mon temps. Là encore j'étais sur un projet à terminer. » Tu prenais une gorgée de ton soda. « Comment ça va au bar ? » Tu n'y étais pas passé depuis un moment, mais tu savais qu'il prenait une grande part dans la vie de Sebastian. « Tu dois y passer du temps à organiser toutes ces soirées, à moins que tu préfères faire ton numéro de charme à une femme. » Tu savais qu'il avait tourné la page avec ta mère. Et la plupart de la fratrie trouverai ça normal qu'il refasse sa vie. Toi, ça te ferait sûrement bizarre... sans savoir vraiment pourquoi. Pendant un temps, tu pensais qu'ils allaient se remettre ensemble avant de comprendre que ta mère avait vraiment merdé cette fois-ci.
Célibataire, divorcé de sa femme, la mère de ses enfants depuis des années. Malgré ce qu’il tente de se convaincre, son cœur bat pour une amie chère à ses yeux.
Il a été militaire pendant de très longues années avant de se tourner vers autre chose. Il a fondé le bar familiale Hayes'Bar qu'il gère depuis des années.
Il vit dans la maison familiale Hayes, qu'il surnomme la Casa de l'amour. Il y a vu ses enfants grandir. Il l'a toutefois rénové il y a quelques années, pour se créer de nouveaux souvenirs. Un parfait mélange entre charme de l’ancien et contemporain.
ses enfants sont ce qu'il a de plus précieux au monde + ne commence jamais une journée sans son café, il en prends un autre au cours de la matinée et un thé après le déjeuner et après le dîner + il entretien une bonne activité sportive malgré son âge, il fait de la course à pied et parfois du baseball + il a toujours aimé la musique, il joue du violon depuis qu'il est enfant et il chante aussi parfois, seulement avec les personnes qui le mettent à l'aise, il a une très jolie voix et a transmis ce don à sa fille + le poker est bien plus qu'une passion, il a failli être une dépendance, heureusement, il est resté uniquement un passe-temps + il a un chat appelé Berlioz + il écoute de la musique classique pour se détendre + il fait encore quelques cauchemars de ses années à l'armée, malgré le temps qui est passé + c'est un homme qui aime toujours prendre soin de lui, ne sort jamais sans une chemise non repassée ou décoiffé + il a une moto qu'il ne laisse personne toucher, une Delahaye 135, une voiture de collection qu'il chérit et un mini van dans lequel il sortait ses enfants et qu'il garde comme souvenir.
En débarquant chez Jamie, je débordais de questions, d’incompréhensions, ne sachant pourtant pas dans quel état d’esprit je le trouverais. Parce qu’il y a bien quelque chose qui cloche, ce sera pour lui difficile à nier. Néanmoins, je n’étais pas sûr qu’il serait coopératif. Personne n’est à l’aise pour parler de lui ou de ses sentiments, un trait de caractère que la plupart des Hayes ont hérité de leur père. Jamie m’accueille avec un sourire, malgré sa surprise de me voir débarquer. Je comprends tout à fait le besoin de chacun de rester dans son coin, dans sa bulle, lorsque c’est nécessaire, mais il est difficile pour moi de rester de marbre. « Mon effort a été moindre, effectivement. » Confirmais-je concernant cette fameuse pizza, avec un sourire en coin que je ne cherche même plus à masquer.
J’ouvris le soda pour en prendre une première gorgée et m’installais sur son canapé, prenant mes marques. A l’entendre, tout va bien. Mais ses réponses ne suffisent pas à me convaincre, me donnant l’impression qu’il se cachait derrière son boulot. « Tu bosses sur quoi en ce moment ? Des reportages intéressants ? » je lui demandais, curieux d’en savoir plus. Jamie voue une passion pour son métier, il fait des reportages très intéressants et parfois avec des paysages à couper le souffle. Rien ne lui fait peur, pas même la météo parfois menaçante. Lorsqu’il évoque un projet à terminer, je saute sur l’occasion pour lui demander quelques explications. « Il consiste en quoi ? » je creuse un peu, je tente de retrouver cette complicité que nous avons eu un jour et que nous avions autrefois. Mais entre-temps, une faille a commencé à naître entre nous et je refuse de la laisser d’avantage grandir.
Jamie est au courant de mes grands moments de folies, mais m’occupe du bar est une activité que j’affectionne. Loin derrière moi les années à l’armée, je m’épanouie dans toutes ces soirées que j’organise et dans les idées loufoque que certains peuvent avoir. Je pouffais de rire avant de lui répondre. « Plutôt bien. Je fais en sorte de ne pas m’ennuyer. » lui dis-je en me râclant la gorge avant de compléter. « Ca me prend beaucoup de temps, en effet… Mais ça m’amuse aussi, ça m’occupe. » continuais-je dans la foulée. De nouveau, je pris quelques boissons de mon soda avant de poser la canette sur la table basse. J’arquais un sourcil face à sa question, sourire en coin. Jamie n’était pas du genre curieux et il parlait si peu de sa vie privée, qu’il comprenait que je fasse du même. Toutefois, j’étais prêt à ouvrir une porte pour cette fois. « Puisque tu pointes du doigt le sujet, il y a bien une femme. » Confirmais-je avec un sourire en coin. Je n’avais pas forcément envie d’en parler, mais des changements récents ont eu lieu dans ma vie privée, celle que je gardais précieusement pour moi. Mes enfants n’étaient pas aveugles et les choses ont commencé à se voir. Les accepter est assez difficile de mon point de vue, mais il n’en convient plus de les nier. Jamie ayant été absent ces derniers temps a sûrement raté la présence de Niamh à certains évènements, autant le mettre au même niveau d’information que les autres. « Tu as sûrement dû la croiser, une amie, nous nous connaissons depuis longtemps et je dirais que les choses sont en train d’évoluer. » Difficile d’en dire plus pour le moment, bien que ma phrase semble décrire la situation de façon assez réaliste et objective. « Quoi de neuf de ton côté ? » Nous nous apprêtions peut-être à enfin entrer dans le vif du sujet.
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Célibataire. Il n'a pas encore trouvé la perle rare. Il profite pour butiner de fleur en fleur. Enfin ça, c'était avant de rencontrer Allie et qu'elle chamboule sa vie.
+++
1m80. Avant dernier d'une fratrie de six enfants. Père & mère américains. Enfin c'est ce que tu crois. En vérité, ton père est français... Ne fumes pas, bois sporadiquement. Pratique le parachutisme, l'escalade, le saut ascensionnel, tous les sports extrêmes. Sportif & E.Sportif. Toujours partant pour une montée d’adrénaline. Ambidextre. Végétalien. Bénévole dans un refuge. Fan de Star Wars, des Spielberg.
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Cadreur/steadycamer en freelance. Tu travailles surtout pour la télévision. Tu fais des reportages. C'est toi qui les suis et ça, peu importe le temps: gros cagnard, tempête de neige, pluie incessante, tornade. Tu filmes aussi tes potes quand vous êtes en urbex ou en parkour. T'as d'ailleurs créé une société audiovisuelle via laquelle tu publies les vidéos parkour, urbex et roadtrip de ton groupes de potes. Tu partages les recettes financières avec eux.
Un appartement dans le centre ville, au dessus d'une librairie.
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Tu es le résultat d'une aventure entre ta mère et un de ses collègues médecins, un français installé à Monterey depuis une trentaine d'années. Tu n'en as parlé à pratiquement personne pour l'instant...
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Sujet: Re: mon fils, ma bataille + jamie & sebastian Jeu 31 Oct - 19:57#
˜ ˜ ˜ {mon fils, ma bataille.} crédit/ cornerofbeauties feat. @Sebastian Hayes
Finalement la visite de Sebastian te faisait du bien. Au moins, tu faisais une pause. Te connaissant, tu savais que tu pourrais passer ta journée sur ton boulot, voire même ta nuit si tu n'y faisais pas attention. Là, tu étais obligé de poser ton casque et de lâcher ta souris pour avoir un moment de sociabilité. Là, tu devais prendre un moment pour toi et oublier tout ça. Tu prenais une gorgée de ton soda quand ton visiteur reprenait la parole. Tu gardais un fin sourire sur tes lèvres. Il n'avait jamais cherché à mentir pendant vos conversations. Au contraire. Il disait toujours ce qu'il pensait même si cela ne plaisait pas. Et tu étais toi-même comme ça. Là, tu lui ressemblais. A défaut de lui ressembler physiquement. Parce que mine de rien, depuis qu'il était entré dans ton appartement, tu essayais de te raccrocher à ces petits détails. Que tu ne retrouvais pas malheureusement chez toi.
A la question de Sebastian, tu reposais tes yeux sur lui. « Sur une série de reportages pour l'office du tourisme ainsi qu'un autre sur une société de locations de voitures hybrides. Elle voudrait mettre l'accent sur l'aspect écologique de leur nouvelle gamme de véhicules. » Et ça, ça te plaisait. Tu aimais vraiment ce que tu faisais. Tu ne faisais pas un métier alimentaire mais vraiment un métier passion. Et tu pouvais en profiter à chaque fois également, pour voyager et faire de très belles rencontres à chaque fois. Plus jeune, tu n'aurais pas rêvé de meilleur boulot. Et tu espérais que cela allait durer dans le temps. En tout cas, tu n'avais pas envie d’arrêter. Quand Sebastian te demandait des précisions sur ton projet actuel, tu buvais une nouvelle gorgée de ta boisson avant de répondre. « C'est sur l'exposition de vieilles voitures qui a eu lieu il y a quelques jours. J'en suis à la fin du montage. » Tu cherchais encore les bons extraits de musique. Ce que tu aimerais, c'est trouver un musicien qui pourrait te faire des musiques, au lieu de perdre du temps dans des banques de données musicales. Alors que souvent, tu avais des idées en tête déjà bien précises et tu étais très tatillonné après quand il s'agissait de trouver la bonne référence musicale. « Il y avait une Shelby de 1966, magnifique. » Disais-tu avec un sourire conquis. « Mais elle coûtait un rein. »
Puis la conversation déviée sur le bar Hayes. Un bar que tu connaissais bien mais où tu allais rarement ces derniers temps. Tu n'avais pas assister aux dernières soirées. Mais tu savais qu'il gérait pour ce genre de chose. Sebastian pourrait faire un malheur dans l’événementiel. « C'est le principal. » S'il aimait ce qu'il faisait, c'était tant mieux. Tu imaginais quand même que sa reconversion n'avait pas été facile. « En plus, les gens ne m'ont dit que du bien des dernières soirées. » Que ce soit des amis ou même de la famille, le verdict était toujours identique. Puis il t’étonnait un peu plus en avouant sans trop grande difficulté, qu'il avait une femme dans sa vie. Tu t'étais posé la question surtout parce qu'il y avait des demi-mots, des allusions, etc. Tu n'étais pas sourd, ni aveugle alors forcément, tu t'étais posé la question. Tu étais à présent, légèrement mal à l'aise face à cette confession. Mais après tout, à quoi t'attendais-tu en posant la question ? Tu ne le savais pas vraiment. Aux autres mots de ton interlocuteur, tu haussais un peu les épaules. « Possible. » Tu avais une vague idée de qui était cette femme. Ta sœur devait sûrement en savoir plus que toi. Toi, tu n'étais pas du genre à mettre le nez dans ce genre d'histoires, surtout quand il s'agissait de celles de Sebastian. « Évoluer... parce que tu l'as présenté à la famille ou parce que c'est devenu plus sérieux ? » Ouais c'était plus fort que toi. Il fallait facilement que tu saches. « Quoi de neuf de quel côté ? Les femmes ? » Tu étais étonné qu'il te pose cette question. Parce qu'il ne l'avait jamais fait. En même temps, tu avais posé en premier, la question. Mais après un silence, tu finissais par reprendre la parole. « J'ai rencontré quelqu'un aussi... mais c'est un peu compliqué. » Tu avais toi même mis quelques temps à assimiler l'information. « Elle est enceinte sans savoir qui est le père. » Mais comme tu ne voulais pas qu'Allie passe pour une fille qu'elle n'était pas, tu précisais alors. « Elle a été en couple avec un connard qui voulait surtout sa virginité avant de la larguer comme une merde. » Si tu tombais sur ce gars, il était certain que tu n'allais pas pouvoir contenir tes mots, ni tes poings. « Et on a eu une aventure pas prévue, c'est arrivé. Mais résultat, malgré l'utilisation de capotes, elle m'a dit qu'elle était enceinte. » Tu passais une main dans tes cheveux. Tu avais toujours été sérieux dans les protections. Tu en avais toujours utilisé mais apparemment, cela n'avait pas suffi... que ce soit pour toi ou pour Pete. Mais contrairement à lui, tu assumais. Même s'il était possible que cet enfant ne soit pas de toi. « Je lui ai dit que je serais là et que je l'aiderai. »
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Sujet: Re: mon fils, ma bataille + jamie & sebastian #
mon fils, ma bataille + jamie & sebastian
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