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vintage summer (lior)

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Leo Jacquemus
Leo Jacquemus
918
manon
alex prange
@wildheart
raphael hayes (w. higginson) luis soares (t. sorensen)

31 ans (09/08/1992)
son cœur bat pour un homme, tel un souffle nouveau il a bouleversé son existence par une simple poignée de main, en dépit des épreuves c'est lui à jamais : horace
directeur passionné du resort l'essence du sud un complexe hôtel spa dont l'ouverture est prévu pour la fin d'année 2024
center ville, une suite dans un hôtel cosy et prestigieux qu'il loue depuis plus de six mois maintenant

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diamond member
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MessageSujet: vintage summer (lior) vintage summer (lior) EmptyDim 4 Aoû - 13:40#

@Lior Hauffman - Depuis son arrivé en Californie Léo ne s’est pas accordé un seul vrai moment off en dehors du chantier de l’hôtel en dehors du dimanche chez sa cousine. Au fond ce n’est pas surprenant, c’est un acharné du travail depuis toujours en particulier quand il aime ce qu’il fait et ce projet ça le fait non seulement vibrer mais ça le rend également fier et heureux. Sa matinée se termine après avoir échangé plusieurs rendez-vous avec différents contremaîtres, partenaire et même avec le maire de la ville qui semble tout aussi emballé par ce projet que ne l’est le français. Enfoncé dans la chaise de son bureau avec l’immense vu sur ce que sera dans quelques mois les piscines de son hôtel il se balade un brin nostalgique dans les souvenirs que lui offre son téléphone portable. Les vacances d’été, elles ont toujours eu ce quelque chose de spécial, ce goût de liberté, d’aventure et d’insouciance. Le sourire aux lèvres il se replonge dans les été du sud sous le soleil entre amis, en famille jusqu’à remonter un peu plus loin alors qu’il n’est qu’un adolescent encore paumé concernant l’avenir qui l’attends mais profondément amoureux de son amour de vacances. Bien que les années ont passés, les souvenirs eux sont restés intacts, il se rappelle de chaque moment en compagnie de Lior parce qu’il était plus qu’une petite amourette, il était le premier dans beaucoup de domaine et c’est un être que Léo à tenu à garder dans son cœur en dépit du temps qui file. Tout les deux ne sont pas vu depuis une éternité, il lui a toujours laissé une place dans sa vie d’une certaine manière mais il sait qu’il est ici, à quelques mètres de lui et l’idée de le retrouver lui donne le sourire non pas parce qu’il espère faire renaître un vieux sentiment enfoui mais parce que sa simple présence lui a toujours fait du bien et que c’est ce dont il a besoin actuellement.

Il examine rapidement son profil sur le plus célèbre de réseau social à son sens et effectue une très rapide recherche sur Google avant de répondre à son dernier mail de la journée. Il est presque midi, il est quasiment l’heure de déjeuner et sur un coup de tête il décide de tenter le destin et d’aller le retrouver. N’ayant ni de voiture, ni de permis valable aux États-Unis, il décide de marcher, de profiter des paysages qu’offre la Californie et de se rendre devant le bâtiment qui sert de siège au journal local. Sans être réellement sur de le trouver la bas, il s’arrête en bas de l’immeuble qu’il examine du regard avant d’y entrer. L’air est frais à l’intérieur, c’est agréable en cette saison il inspire et avance jusqu’à l’accueil ou se trouver une jeune femme aux cheveux dorés qui relève son regard vers lui avec un sourire.  « Bonjour, je n’ai pas de rendez-vous mais je souhaiterais voir Lior Hauffman c’est possible ? » elle lui demande qui il est et il se présente en ajoutant qu’il est un ami de longue date. C’est une fille gentille, il le sent tout de suite et quand il lui demande de taire son identité afin de lui faire la surprise elle accepte sans doute rassurer par l’attitude bienveillante dont il fait preuve. Elle passe un coup de téléphone sans doute pour s’assurer qu’il est disponible et lui indique sur bureau au second étage du bâtiment.

Après l’avoir remercier il monte dans l’ascenseur, appuie sur l’étage en question et laisse l’appareil grimper de lui même. Quelques secondes défilent, les portes s’ouvrent et il avance dans le couloir jusqu’à ce qu’il observe le nom de Lior gravé sur une porte noir. C’est étrange mais en voyant ça, un sentiment de fierté l’envahi, il a toujours aimé la photographie, il le revoit avec son argentique autour du cou alors qu’ils flânaient tout les deux à la plage durant des heures entières et il est heureux de voir qu’il fait quelque chose qu’il aime et non quelque chose qui l’ennuie profondément dans l’unique but de payer des factures. Léo frappe deux fois contre la porte et pousse cette dernière un sourire sur le visage  « J’ai entendu dire que le plus beau mec de Monterey se trouvait ici et je vois qu’on ne m’a pas menti » il n’a pas changé, ses traits ne sont plus ceux d’un gamin mais il reste le même, il a gardé cette étincelle dans le regard et cette beauté naturelle que bien des hommes lui envier déjà à l’époque. Adossé contre la porte de son bureau, il ne le quitte pas des yeux  « Je crois que la dernière fois qu’on s’est vu je te devais un déjeuner, il paraît qu’il vaut mieux tard que jamais alors ça te tente ? » il hausse les épaules sans cesser de lui sourire ignorant si cette idée sortie de nulle part et peut-être un peu inattendu le tenterait lui aussi.


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Lior Hauffman
Lior Hauffman
34
Spf + Elle
Ronen Rubinstein
U.c
Célian, Eden, Ionas, Yaël & Rio

Trente trois ans depuis le 8 mai
Le fantôme d'un homme qu'il a aimé de longues années continue de le hanter chaque jour. Les courbes féminines n'y font rien, les étreintes masculines n'y changent rien. S'y perdre quotidiennement n'atténue pas la douleur de sa disparition.
photographe-reporter pour le journal local
une immense maison sur les hauteurs de la ville, à l'ouest de Monterey.

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new to the community
MessageSujet: Re: vintage summer (lior) vintage summer (lior) EmptyMar 6 Aoû - 16:56#


Vintage summer
Le téléphone sonne et Lior hésite un instant à le décrocher en voyant qu’il s’agit de l’accueil. Ce n’est peut-être pas si important, pas vrai ? Il a besoin de terminer la retouche de ses photos pour le lendemain et s’il se laisse déconcentrer, il est plutôt sûr de ne pas réussir à achever son travail, sauf s’il projette de se coucher à pas d’heures. Concentré sur son écran, il délaisse la sonnerie avant de froncer le nez en constatant que malgré tout, il a été déconcentré. Il appuie donc sur le bouton qui lui permet de se mettre en relation avec son interlocutrice qui l’informe qu’il a de la visite. Il fronce légèrement les sourcils mais, plus préoccupé par ce qu’il est en train de faire que par ce qu’elle lui dit, il donne son accord pour qu’elle cède le passage à cette personne sans chercher à savoir de qui il s’agit. Il n’a pas beaucoup de connaissances en ville, il se demande qui peut bien venir sur son lieu de travail. Les filles ont son numéro si elles doivent le joindre et si l’une d’elle s’était présentée, elle l’en aurait d’abord informé. Il réfléchit davantage mais rien à faire, l’information ne percute pas son cerveau. Surtout que, concentré comme il l’est, il finit même pas se convaincre que si ça se trouve, elle s’est trompée de bureau. Parce que ce ne serait pas la première fois que ça lui arrive.

Pourtant, c’est bien à sa porte que les coups sont frappés et il relève la tête.  « J’ai entendu dire que le plus beau mec de Monterey se trouvait ici et je vois qu’on ne m’a pas menti » Il est incapable de camoufler l’air ébahi qui lui traverse le visage tandis qu’il croise un regard qu’il connaît bien. Plus mature, plus vieux mais assurément toujours aussi beau. Il n’en revient pas, de le voir ici. Et bien sûr, il le reconnaît immédiatement, comment pourrait-il en être autrement. « Et si on m’avait dit que le mec le plus sexy de France était en ville, je ne l’aurais pas cru avant de le voir de mes propres yeux. » Il enchérit sur son compliment avec habileté, sans la moindre gêne et pire encore ? De la manière la plus sincère qui soit. Parce que finalement, il est absolument certain d’approcher de la vérité. Il prend un instant pour se remettre de ses émotions quand Léo lui fait une proposition qu’il est en tous points incapable de refuser. « Je suis épaté par ta mémoire, c’était dans quelle vie, déjà ? » Il se redresse finalement et se lève de son siège. Sans pouvoir s’en empêcher, il s’approche et cherche un instant le moindre signe que Léo ne serait pas à l’aise avec l’idée qu’il a en tête. Pourtant, ne voyant aucun geste réfractaire de sa part, il se plante juste devant lui, dévorant du regard les traits délicats de son visage. « Léo, quelle incroyable surprise. » Son ton est doux, ses yeux remplis de mélancolie et d’affection. Il approche doucement sa main de son cou, parcourt sa nuque de ses doigts pour la serrer délicatement tandis qu’il le tire vers lui pour le prendre dans ses bras. Une étreinte douce, amicale, dont le temps n’a pas altéré la chaleur et l’ivresse. Il se permet même de respirer son odeur, le flot de ses souvenirs remontent dans sa mémoire. « Tu es toujours aussi doué pour soigner tes entrées à ce que je vois. » Il s’écarte doucement pour embrasser sa joue tendrement et il recule définitivement. « Si je comprends bien, tu m’invites à déjeuner ? » Son sourire espiègle reprend ses droits sur ses lèvres, laissant place à une taquinerie familière. « Tu es en ville depuis longtemps ? Tu restes combien de temps ? Bon sang, tu as des trucs à me raconter Léo ! » Il exige gentiment, la chaleur toujours aussi présente dans le ton de sa voix.

Il se retourne vers son bureau pour fermer son ordinateur et l’attraper avec une idée derrière la tête. « Je connais un coin sympa et tranquille, ça te dit ? » Il est particulièrement enthousiaste et content de ses retrouvailles. Il n’est même pas sûr de réaliser encore bien qu’il s’agit de Léo et qu’il est de retour dans une partie de sa vie et il espère pouvoir l’y garder encore un peu. Il représente tellement, à ses yeux, il y a un lien qu’il n’explique pas qui les lie étroitement. Le premier amour qu’on n’oublie jamais, surtout quand il ne se termine pas dans les pleurs et dans les cris. Instinctivement, sans y réfléchir, Lior attrape sa main pour l’inciter à la suivre. Il le fait naturellement, parce qu’il n’a jamais eu besoin de réfléchir avec ce type, il n’a jamais eu à faire semblant ou à se cacher de quoi que ce soit.

MADE BY @ICE AND FIRE.

_________________
the sound of the rain
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MessageSujet: Re: vintage summer (lior) vintage summer (lior) EmptyDim 25 Aoû - 10:38#

@Lior Hauffman - En frappant à la porte de ce bureau, il n’imagine pas se prendre un vent ou même vivre une situation gênante au contraire il sait avant même de laisser son poing frapper contre cette dernière qu’ils se retrouveront en oubliant les années passées. Pris dans un subtile mélange d’impatience et d’euphorie il ne peut que lui sourire lorsque son regard retrouve enfin le sien. Le temps a filé mais lorsqu’il pose ses yeux sur lui rien ne semble avoir changé entre eux en dehors de leur apparence bonifié. Il est beau, il l’a toujours été et il le sera probablement pour le reste de sa vie. Il est de ces hommes qui illumine les pièces les plus sombres par sa simple présence, il est solaire sans forcément le vouloir et il dégage cette aura presque hypnotique qui l’a fasciné durant des étés entiers.  « J’espère que tu n’es pas déçu de ce que tu as devant toi ? » il n’a pas une grande confiance en lui ou en ces charmes mais être devant Lior c’est comme être devant la personne que l’on connaît le mieux sur terre. Avec lui il est à l’aise, naturel, loin de toute la nervosité que peu engendrer des retrouvailles avec une ancienne histoire d’amour. Naturellement, sans bouger d’un cil il propose immédiatement de partager un moment en sa compagnie refusant que ce moment qu’il a espéré vivre dernièrement ne dure que quelques minutes à peine. A sa question il ne peu s’empêcher d’hausser les épaules, il n’a pas tord, leur histoire est si lointaine qu’il a parfois l’impression qu’elle était dans une autre vie et pourtant en se trouvant face à lui il a l’étrange sensation de ne jamais l’avoir quitté.  « Il m’était impossible d’être à Monterey sans venir te voir » il a certes pris son temps pour ne pas bâcler ce moment et pour être pleinement disponible pour cet être qui a durant des années et en dépit de la distance que la vie à mis entre eux a gardé une place précieuse et presque unique au fond de son coeur.

 « En effet et j’me suis dit que tu connaîtrais sûrement l’endroit parfait » il ne connaît pas assez la ville pour trouver le restaurant parfait mais il a suffisamment confiance en Lior pour que lui le connaisse bien qu’au fond il se fiche totalement de ce qu’il mangera la seule chose qui semble lui importer est de passer le plus de temps possible avec lui. Le sourire aux lèvres, le regard planté dans la sien et l’odeur de son parfum qui lui rappelle des instants d’une beauté presque irréel. Ce qu’il ressent est divin, presque enivrant, il a toujours aimé ce qu’il provoqué en lui et même si aujourd’hui les sentiments sont loin de l’amour passionnel qu’il a pu ressentir autrefois, Léo doit avouer que d’une certaine façon il le trouble toujours autant.  « On a pas mal de choses à rattraper mais on a la journée si c’est faisable pour toi ? » il se retient de lui dire qu’il sera à lui tout la soirée s’il désire refaire le monde en sa compagnie plus longtemps mais il ne veut pas brusquer les choses parce qu’il y a tant de chose qu’il ne sait plus le concernant et peut-être que quelqu’un l’attends à la maison après tout ?.  « Je te suis » assez impatient à l’idée de quitter les locaux du journal et de s’installer en terrasse avec lui, il le laisse ranger ses affaires avant de quitter la pièce puis le bâtiment.

Pour son plus grand plaisir et assez rapidement, il se retrouve assis face à lui, un sourire radieux sur le visage dans cet endroit qui est exactement comme il l’a décrit d’une simplicité, d’une tranquillité et d’une douceur qu’il apprécie immédiatement. Une serveuse débarque quelques minutes plus tard dépose deux cartes devant lui et s’éclipse leur laissant le temps de faire le choix bien que le français n’y accorde aucune importance, il reste pour le moment totalement concentré sur l’amour sincère d’une jeunesse si lointaine.  « Je te préviens je veux tout savoir de toi, tout ce que j’ai raté ces...dix dernières années ? » c’est en réalité un peu plus mais ce n’est qu’un détail dans le fond. Pendant cette éclipse ils se sont donnés quelques nouvelles, ils ont échangés sur les réseaux sociaux pour les grandes occasions mais il ne l’a à son grand regret jamais revu physiquement après le dernier été ou il lui a dit à bientôt sur le tarmac de l’aéroport, se promettant que ceci n’était pas un adieu mais un simple au revoir  « … mais on a le temps pour tout ça parce que je suis en ville pour un moment, au moins jusqu’à la fin de l’année » avoue-t’il bien décidé à lui aussi lui faire le récapitulatif de tout ce qu’il a pu manqué depuis la dernière fois.


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