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(romiel 2) as the sun, we always rise again.

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Romane Mercier
Romane Mercier
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olivia culpo
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la douce stella (valentina zenere)

trente-trois ans depuis peu (13.03.1991)
she's in the worst part of her life, she's a new mom and widow at the same time. trying to figure out, how to deal with it, and still be the best mom she can.
professeur des écoles, first grade.
depuis quelques mois, elle ne vit plus sur la base militaire, une petite maison cosy avec un jardin, dans le quartier ouest.
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romiel ≈ You showed me something that I couldn't see. You opened my eyes and you made me believe. You lift my feet off the ground, you spin me around, you make me crazier, crazier. Feels like I'm falling and I, I'm lost in your eyes. You make me crazier,

***

emilie - romiel 2 - nevada -


***

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MessageSujet: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyMar 16 Juil 2024, 21:23#


(ootd) Il y a plus d’un mois maintenant, Romane avait vécu une soirée digne des plus grandes comédies romantique. Elle avait même parfois du mal à croire que tout cela c’était réellement passé, que sa soirée entre copines s’était transformé en une soirée beaucoup plus intéressante. La rencontre avec son nouveau voisin l’avait comme qui dirait perturbée. Elle ne sait si c’est son charme fou, la fluidité de la conversation, la légèreté du moment, où le regard qu’il avait sur elle, mais Romane s’était sentie à l’aise, complétement sous le charme de l’homme qu’elle venait de rencontrer. Et pour conclure cette soirée particulière, elle avait retrouvé se sentiment de plénitude après avoir été embrasser par le jeune homme. Elle se souvenait parfaitement de ce moment, ses lèvres sur les siennes, comme un baiser d’au revoir mais un baiser si intense. La douceur de ses lèvres, la passion du moment, l’intensité du baiser, cela avait été un baiser incroyable. Lorsque leurs lèvres s’étaient séparés, Romane s’était sentie comme sur un nuage, elle ne marchait pas elle flottait dans les airs, en refermant la porte après le départ du jeune homme, elle s’était elle-même surprise à sourire grandement. Elle était appuyée contre sa porte d’entrée, ses doigts se posant sur ses lèvres, revivant le moment, essayant de comprendre ce qui s’était réellement produit. Elle n’arrivait pas à mettre de mots dessus, elle était pour autant certaine d’une chose, elle avait apprécié ce moment, peut-être trop. La brune avait été de nouveau surprise, en trouvant ce mot dans l’entrée de sa maison. Elle avait dû le relire plusieurs fois avant de réaliser de qui il s’agissait. A vrai dire, elle avait d’abord cru à une vaste blague. Le mot n’était pas signé, il n’y avait aucune indication sur qui cela pouvait-il être. Rien, sauf une seule phrase. Une phrase qui la faisait revenir quelques semaines en arrière, revivre cette fameuse soirée. Pendant quelques semaines, Romane s’en était voulu. Coupable d’avoir succomber à son envie d’embrasser le jeune homme, coupable de pas l’avoir repoussé, coupable de l’avoir fait alors qu’elle savait pertinemment qu’il était marié, coupable d’avoir espéré que se baiser voulait dire quelque chose de plus. Qui pourrait lui en vouloir ? C’était le premier homme qui l’embrassait depuis Wyatt, et elle avait eu une sensation étrange. Elle avait longuement hésité sur la case qu’elle cocherait, cela définirait la prochaine réponse, et pourtant, elle savait qu’elle en avait pertinemment envie, pire, elle en mourrait d’envie. Romie devait l’avouer, ses échanges de petits mots la faisait sourire, c’était un jeu amusement, ils étaient comme des adolescent, qui avaient trop peur de se parler, de s’approcher. Elle avait accepté, elle avait cocher la case : oui. En déposant ce mot, elle souriait, se demandant où cela la mènerait.

Samedi soir. Romane ne pensait pas que cela la mènerait ici, si rapidement. Rapidement est un euphémisme, tant Daniel avait long à donner des nouvelles.  Heureusement, le jeune homme ne rentrerait pas dans sa chambre ce soir. Et même s’il le ferait, il trouverait des tonnes de vêtements partout, sur le lit, sur le sol, même dans la salle de bain. Elle avait dû essayer des dizaines de tenues avant de trouver la bonne – du moins, elle espérait-. Elle se donnait beaucoup de mal, bien qu’elle ne l’admettrait jamais, elle voulait que le jeune homme la trouve belle, ravissante, à couper le souffle. Elle descendait dans le salon, rejoignant Cloé qui était en compagnie de Naé. Elle les regardait, esquissant un petit sourire, tournant même sur elle-même. Cloé applaudissait sa mère, et un sourire se dessinait sur le visage de Romane. Elle s’approchait doucement, la prenant dans ses bras. Elle se relevait, soupirant pour évacuer le stress qu’elle ressentait. Il était presque l’heure, dans quelques minutes Daniel arriverait – s’il n’avait pas changer d’avis-, et elle était épris aux doutes. Etait-elle assez bien ? Etait-ce une bonne idée ? Naé la rassurait, la couvrant de compliment. Son téléphone émettait un son, il était là, devant chez elle, l’attendant. Elle embrassait une dernière fois Cloé, la prenant dans ses bras, lui demandant d’être sage. Elle serrait Naé dans ses bras, lui rappelant qu’elle pouvait lui téléphoner au moindre problème et s’avançait vers la porte. Elle attrapait son parfum sur le meuble de l’entrée, en profitant pour en mettre. Elle se regardait dans le miroir, remettant ses cheveux en place, replaçant le body rose qu’elle avait choisi avec soin. Elle posait sa main sur la poignée, se tourner vers Naé, prenant une grande respiration, elle ouvrait la porte. Plus de retour en arrière, c’est parti.

Refermant la porte derrière elle, Romane levait son regard vers le bout de l’allée. Elle le voyait, appuyé contre le capot de sa voiture, et son cœur manquait un battement. Il était incroyablement beau, et Romane devait l’avouer, il pouvait clairement lui faire perdre ses moyens. Elle serrait son sac à main et avançait vers lui. Se rapprochant petit à petit, jusqu’à arriver en face de lui. « Bonsoir Daniel. » Avait-elle dit de sa voix la plus douce. Elle passait une main dans ses cheveux, les remettant en place. Elle était nerveuse, et ne savait pas du tout comment agir.. Est-ce qu’il s’agissait d’un rendez-vous ? Que devait-elle faire ? Elle se mordait la lèvre inférieure doucement avant de reprendre. « Vous êtes venu.. » Oh mon dieu Romane, tu es ridicule. Le stress lui faisait vraiment dire n’importe quoi. Pourtant, elle ne mentirait pas en disant qu’elle pensait qu’il ne viendrait pas. « Comment allez-vous ? » Le vouvoiement était de retour – comme les dernières paroles qu’ils avaient échangés la dernière fois, il l’avait vouvoyer.- et en plus, elle essayait de combler le silence. Elle levait le regard vers lui, ses yeux croisant les siens, elle était hypnotisé par son regard, si.. parfait.



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Daniel Keller
Daniel Keller
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Oliver Jackson Cohen
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sebastian hayes (Jude law)

36 ans et toutes ses dents. Pourtant, il ne le réalise pas, pour lui, il frôle à peine la trentaine.
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Marié depuis une dizaine d’années, un mariage d’amour qui a connu des hauts et des très bas. Aujourd’hui, ils sont séparé, le divorce n’est plus très loin, un avenir ensemble n’est plus envisageable.
météorologue, il pensait avoir trouvé sa voie, mais il se pose de plus en plus de questions sur son avenir professionnel.


présente

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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyDim 21 Juil 2024, 17:38#

Je l’ai fait. Après plus d’un mois à me torturer l’esprit. Je l’ai fait. J’ai glissé un petit mot sous sa porte et… j’ai attendu sa réponse. Je n’en revenais pas d’être aussi nerveux. Après tout… c’est seulement pour passer un peu de temps avec ma voisine. Voisine adorable et super méga jolie que j’ai embrassé sur un coup de tête. Oh seigneur… je passais nerveusement une main sur mon visage, toujours dans l’incapacité d’expliquer ce qui s’est passé ce soir-là. Voir Siobhan m’a permis de remettre un peu d’ordres dans mes pensées, parce que même si nous le vivions en décalage, nous traversions à peu près les mêmes grandes étapes dans nos vies. En retrouvant un bout de papier sous ma porte et surtout, une réponse positive, j’étais… non pas heureux, c’est un euphémisme. J’étais fou de joie.
Il y a des êtres qui nous touchent plus que d’autres, sans doute parce que, sans que nous le sachions, ils portent en eux une partie de ce qui nous manque. Je touchais la carte du bout des doigts, avant de la remettre à sa place. Qu’est-ce que j’étais venu faire ici, sérieux ? J’ai fini ma journée un peu plus tôt, aujourd’hui. Volontairement. Après m’être douché, taillé ma barbe, tenté une coiffure à peu près convenable, me voilà au centre commercial, histoire de trouver une idée, je ne sais laquelle, mais la bonne, histoire de ne pas débarquer les mains vides. Je me mettais sans doute une pression surdimensionnée pour ce soir, mais j’avais envie de faire les choses biens. Même dans le passé, nous n’avions jamais réellement eu de vrai rencard, était-ce notre premier officiel ? Repas entre amis, me répétais-je pour m’en persuader. Heureusement, ma journée passa à une vitesse remarquable. J’eu pas mal de réunions le matin, dont un point avec mon chef qui me questionna sur ma concentration en ce moment et je n’ai su quelle réponse lui fournir.

J’ai hésité. J’ai longtemps hésité. Je lui avais promis de lui faire voir le plus endroit de la ville, en tout cas, celui que je préférais. Mais… j’ai hésité avec un restaurant assez cosy et sympa. J’ai réservé une table pour deux sur la terrasse qui sur les photos paraissait plutôt mignonne avec des guirlandes lumineuses. Pas de luxe, pas de superficiel, pas de chichis. Un truc sympa. Avant d’annuler finalement. Parce que c’était… Too much. Beaucoup trop. Je préférais me répéter que ma simplicité suffirait pour nous faire passer une bonne soirée. C’est ce dont j’essayais de me convaincre. Contre le capot de ma voiture, le temps me parait interminable jusqu’à ce qu’elle arrive enfin. “Bonsoir Romane.” Je suis arrivé en avance, je l’ai attendu de longues minutes, préférant ni taper ni sonner à sa porte pour ne pas lui montrer à quel point j’étais impatient de la voir et lorsqu’elle apparait… je… j’oublie où je suis, j’oublie ce que je fais, j’oublie pourquoi je l’attends. Alors qu’elle s’approche enfin, je… je sens mon cœur tambouriner dans ma poitrine. J’émets un petit rire en l’entendant, un rire qui me fait du bien, car il me soulage de ma nervosité. “Vous aviez des doutes là-dessus ?” je me demandais si j’avais opté pour la meilleure couleur de chemise. J’étais resté assez sobre, et si la chemise bleue me paraissait il y a une heure être un bon choix, je me demandais à présent si je n’aurais pas dû opter pour quelque chose de plus… simple ? Genre un tee-shirt, ou un polo. De toute façon, il est à présent trop tard. “Je vous comprends, j’aurais douté aussi.” Lui dis-je sur un ton amusant, pour la rassurer, et aussi parce que c’est vrai.

Si je vais bien ? Je suis incapable de mettre le moindre mot sur ce que je ressens. Je ne tilte même pas que le vouvoiement est de retour, créant une espèce de distance entre nous. “Plutôt bien, et vous ?” Mon regard furtif jusqu’à présent se pose enfin sur elle. Elle est… à tomber, elle est belle, fraiche, elle ressemble à … je ne sais même pas à quoi la comparer, tant elle est magnifique. Je suis hypnotisé face à elle, je cherche désespérément les bons mots à lui dire. "Tenez." Je lui donne alors un peu timidement. Je ne voulais pas débarquer les mains vides, les cartes n’étaient pas une bonne idée et puis, toutes les femmes vouent un amour surdimensionné aux fleurs, je me suis dit que cela pourrait être une bonne idée. Mais pas n’importe quelles fleurs ! Des fleurs en bonbons, c’est beaucoup plus drôle, ça nous ressemble plus et ça réveille nos âmes d’enfants. Puis, tout comme elle, j’avais bien insisté sur le côté amical de ce repas, donc je pensais avoir trouvé le bon compromis avec mes fleurs en bonbons.

Sans plus attendre, je contournais la voiture, lui ouvris la portière de la voiture et la laissais s'installer. “Une petite idée d'où nous allons ?” je demandais en prenant place à mon tour.

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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyDim 21 Juil 2024, 18:09#

Dire qu’elle est anxieuse serait un euphémisme. Romane était nerveuse, d’une nervosité affolante, elle n’arrêtait pourtant pas de dire à qui veut l’entendre que ce n’était rien, que ce n’était pas un rendez-vous et que ça se trouve, il ne viendrait même pas et que ce n’était pas grave, mais intérieurement, c’était une toute autre histoire qu’elle se racontait. Mais en réalité, les derniers jours avaient été un véritable enfer pour ses pensées et son anxiété. Elle n’arrêtait pas de se demander s’il s’agissait réellement d’un rendez-vous. Elle se convainquait que non, il est marié, pourquoi espérait-elle que toute cette rencontre voulait dire quelque chose ? Pourquoi pensait-elle que c’était peut-être un tour du destin ? En réalité, elle se souvenait avoir grandement souris en recevant ce mot, cette invitation mais elle avait été surprise. Quelle femme laisserait son mari sortir avec une inconnue un samedi soir ? Elle n’avait pas la réponse à cette question, et cela la travaillait plus qu’elle ne le voulait. Elle ne voulait pas être la femme qui.. courtise un homme marié, un homme non disponible, un homme qui ne voyait qu’en elle, une voisine. Pourtant, elle se demandait pourquoi il l’avait embrassé ? Un baiser qui avait été des plus agréables, des plus doux, et des plus passionnée. Un baiser à vrai dire plutôt incroyable, qui l’avait coupé du temps le peu de temps qu’il avait duré. Elle se souvient de son cœur qui battait la chamade après que leurs lèvres s’étaient séparés, elle se souvient parfaitement s’être sentie étrangement bien, comme flottante sur un nuage. Elle était pourtant vite retombée de son nuage après avoir été complétement ghosté par son gentil voisin. Arrivant face à lui, elle sentait les battements de son cœur qui s’accélérait, c’était incroyable l’effet qu’il pouvait avoir sur elle, il était comme une adolescente qui passe une après-midi avec son crush. Elle devait dire quelque chose mais son regard s’était posé sur lui et elle devait avouer, avoir du mal à quitter son regard. Elle était hypnotisée, il était charmant, très beau, habillé parfaitement, et désormais, elle se demandait si sa tenue était suffisante pour la soirée, n’était-ce trop chill ? « Je dois avouer que je me suis posé des questions sur votre venu, ou non d’ailleurs. » Elle esquissait un sourire, ceux dont elle avait le secret, ceux qui pouvait illuminait la pièce par leur sincérité et leur grandeur, un sourire qu’elle réservait habituellement aux personnes qui la connaissait le mieux : Emilie, Raphael, Clio, Annie, Horacio, et Wyatt. Elle levait son regard vers lui lorsqu’il avouait que lui aussi aurait douté et elle était satisfaite de voir, qu’elle n’avait pas exagéré sur ce point.

La brune était ravie de savoir qu’il allait bien, elle lui adressait un gentil sourire. Le regardant longuement sans parler, sans dire un seul mot. Elle se rendait compte bien trop tard surement qu’il lui avait retourné la question et là, tout de suite, elle se sentait incroyablement idiote de ne pas avoir répondu de suite. « Je vais bien, je vous remercie. » Et pour une fois, depuis longtemps, cette phrase semblait juste, sans mensonge, à vrai dire, elle se sentait bien, elle se sentait à sa place, elle se sentait plus ou moins à l’aise. Lorsqu’il ouvrait la bouche pour parler de nouveau, les yeux de la demoiselle avaient directement trouvé les lèvres du jeune homme, elle avait toujours l’air aussi incroyable. Elle ne s’attardait pas dessus, remontant son regard vers le sien, elle souriait en le voyant lui tendre un bouquet de fleurs. « Merci beaucoup.. » Elle le prenait alors dans ses mains, souriante, elle se rendait compte que ce n’était pas un simple bouquet de fleurs mais qu’il était composé de bonbons. Elle laissait échapper un petit rire, levant le regard vers lui. « Elles sont magnifiques, et je suis certaine qu’elles sont également délicieuses. Lui avouait-elle, toujours ce sourire sur ses lèvres. Vous n’auriez pas dû.. » Elle regardait de nouveau le bouquet, et intérieurement, elle se disait à elle-même. « Définitivement c’est une sortie entre amis, si ça avait été un rendez-vous, il t’aurait offert des fleurs.. Bien sur Romane, tu as oublié son statut. » La brune sortait de ses pensées, son bouquet dans la main, elle se demandait s’ils resteraient longtemps devant chez elle. « A vrai dire, je n'en ai pas la moindre idée, mais je suis impatiente de connaitre votre endroit favori. » Elle lui souriait en le voyant gentleman, lui ouvrant la portière. Elle s'installait. « Merci Daniel. » Sa voix était si douce, tel une mélodie, un chant de sirène. Le trajet était plutôt silencieux, surement que chacun des deux, cherchait un sujet de conversation. « J’ai croisé votre sœur, et votre nièce, elles sont adorables, et elles ont l’air de beaucoup vous aimer. » Romane essayait de faire la conversation, de briser le silence. Elle tournait son regard vers la fenêtre, regardant le paysage de Monterrey qui défilai à vue d’œil. Elle fronçait les sourcils en voyant le panneau qui délimiter la ville. « Vous m’emmenez hors de la ville ? C’est votre plan, pour me tuer ? » Disait-elle en riant, elle avait l’impression que l’atmosphère se détendait.
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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyDim 21 Juil 2024, 19:30#

Lorsqu’elle passe sa porte, je suis tout de suite scotché par sa beauté. Oh bon sang, pour avoir pensé à elle chaque jour depuis notre dernière rencontre, je n’ai pas oublié le moindre trait de son visage. Cependant, cette fois, je la découvre sous un autre angle. Je salue l’effort – ou pas – qui a été fait. En tout cas, le rose lui va à merveille. Je sens mon souffle se couper lorsqu’elle s’approche encore et lorsqu’elle se mordille les lèvres… Bon dieu, je ne peux m’empêcher de repenser à notre baiser qui m’a transporté hors du temps. Je me racle doucement la gorge, revenant à moi-même. « Parce que je n’ai pas tout de suite donné de signes de vie ? » je demande en faisant une petite moue. Je ne pensais pas qu’elle s’était autant inquiétée de mon absence. J’ai été pas mal occupé et puis pour être honnête, j’avais besoin de remettre un peu d’ordre dans mes pensées après le moment intense que nous avions vécu. Nous avons en parallèle pas mal été sollicité au travail, et avec le déménagement et l’emménagement, je n’ai pas eu une seule seconde pour moi. Je soupirais, me rendant compte que mes excuses n’étaient pas recevables. J’aurais dû faire gaffe et lui montrer un peu plus d’attention. C’est en tout cas ce qu’elle attendait de moi. Quel crétin ! Il y a si longtemps que je n’ai plus flirté avec une femme que je n’ai plus les codes, plus d’automatismes. « J’ai été pas mal pris entre le boulot et le déménagement. J’ai eu quelques travaux à faire rapidement et surtout, des meubles à acheter… Je n’en pouvais plus de dormir sur le sol. » Je me justifiais alors, tentant de la rassurer sur le fait qu’elle n’ait rien fait de mal, que j’avais seulement besoin d’un peu de temps pour moi. Et puis surtout, l’arrivée de Dinah dans nos vies a tout chamboulé. Cette petite princesse est devenue notre priorité et je ne vivais plus que pour elle. Il y a quelques mois, nous avons expliqué à la fratrie Keller nos intentions concernant ce petit ange et il s’est avéré que depuis sa venue au monde, avec Bella, nous sommes deux à nous en occuper. J’essaye d’être présent au maximum, la plupart du temps au domicile de ma sœur ou chez mon père, ma propre maison n’étant pas apte à recevoir pour le moment. Raison pour laquelle, je m’active pour meubler la maison.
Je soupirais. En vrai, je pourrais très bien trouver le temps le soir, avant de m’en dormir, pendant que je pense à elle. J’aurais pu lui écrire pour savoir si elle se porte bien, si sa journée a été bonne. Mais j’ai un peu flippé. Mon expérience maritale a fait beaucoup de dégâts et je n’étais pas sûr de vouloir de nouveau me jeter dans une situation ambigu. En tout cas, ce que j’ai ressenti en sa présence est indéniable et indescriptible. Je me sens tout gêné lorsque je lui tends mon bouquet de fleurs en bonbons et… ABRUTI !!! Elle ne s’y attendait pas, j’ai l’impression que c’est un flop total. Putaaaaaaaaaaaain. J’aurais dû juste venir les mains vides plutôt que de faire une boulette pareille ? Je me fatigue. Décidément, j’étais à côté de la plaque. « Pour ça, faudra les goûter. Vous m’en direz des nouvelles. » je lui dis avec un clin d’œil, ne montrant pas du tout mon malaise. Nous démarrons ensuite et je me dirige rapidement vers la sortie de la ville. Pour voir un magnifique coucher de soleil, nous avons besoin d’un peu d’un beau cadre. Je continue de rouler, cherchant un sujet de discussion qui briserait le silence qui s’installe « Ah oui… Bella. Elle m’en a brièvement parlé, j’espère qu’elle ne vous a pas fait peur ? » je demande curieux, ne pouvant m’empêcher de me questionner sur l’échange qu’elles ont eu. Bella lui a-t-elle révélé quelques trucs ? Romane a cru qu’il s’agissait de ma femme… Mais comment lui dire ?!
Je pouffe de rire à sa remarque, ravi que la glace se brise enfin et que l’atmosphère se détende. « Mince, je suis démasqué. » je lui dis en riant, tournant ma tête vers elle, pour la première fois depuis que nous avons pris la route. « Je vais devoir revoir mes plans. » je lui dis alors avec un clin d’œil. « Je ne vous dis pas la pression, j’espère ne pas vous décevoir. » Soulignais-je avec un petit sourire avant de tourner à un dernier virage qui nous menait à une petite crique, offrant une magnifique vue sur mer. De l’endroit où je me gare, nous pouvons déjà admiré l’immensité du paysage qui s’offre à nous. Un horizon infini et un soleil prêt à se coucher L’après-midi commence à doucement toucher à sa fin, les couleurs du soleil sont splendides, offrant un dégradé de rouge et de rose. Pour l’occasion, j’ai quand même prévu un petit pique-nique pour prendre le temps, sur la plage, face à ce cadre idyllique. «Tu me suis? » je lui demande alors, avec un regard ravi. Oui, parce que j'étais ravi d'être ici avec elle.


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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyDim 21 Juil 2024, 21:18#


C’était une sensation agréable – d’être en sa compagnie bien sûr-, d’être dans une voiture, les cheveux aux vent, admirant la vue des paysages de notre ville, des paysages qu’on ne prend pas forcément le temps d’admirer habituellement. Voguer vers une destination inconnue, se laisser séduire par la surprise, accepter un rendez-vous – si on peut appeler ça comme ça -, se laisser guider par un homme des plus charmants, qui essaie de vous surprendre, tout cela était agréable, tout cela était amusant, elle avait l’impression de se sentir libre, d’être de nouveau elle-même, la Romane d’avant, la Romane qui n’avait pas perdu un mari et qui avait vu sa vie s’écroulait à tout juste trente-deux ans. Et la vue, était incroyable, elle adorait prendre le temps de regarder la ville dans laquelle il grandissait chaque année. Bien que le paysage était particulièrement magnifique, Romane sentait le silence pesant qui régnait dans la voiture, elle essayait tant bien que mal de trouver un sujet de conversation, quelque chose qui briserait cet étrange moment. Comme un éclair de génie, elle repensait à la seule personne qu’ils avaient désormais en commun : Arabella. Le sujet était lancé, elle avait parlé. « Peur ? Ce n’est pas le mot que j’emploierais, elle a été adorable, et sa fille est véritablement un trésor, elle est sublime. » Romie avait toujours été une amoureuse des enfants, peut-être le fait qu’elle a mis plus de dix ans à tomber enceinte et sous aide médicale qui plus est. Mais dès qu’elle en voyait un, son sourire s’agrandissait, elle était le genre de personne qui les trouvait tous magnifiques – alors que soyons réaliste, ce n’est pas toujours le cas. « Ne vous inquiétez pas, elle ne m’a rien raconté de gênant sur vous, aucunes anecdotes, aucune histoires d’enfances gênante. » Elle ne lui dirait cependant pas qu’elle l’avait prise pour sa femme. Bon dieu si ça avait été sa femme, la situation aurait été incroyablement malaisante, mais au vue de la beauté de le jeune femme, Romane aurait été encore plus incertaine des intentions du jeune homme. En voyant les panneaux de sortie de la ville, Romie ne pouvait s’empêcher de plaisanter sur le fait qu’il voulait la tuer. Au final, c’était une possibilité, elle ne le connaissait pas vraiment, pourtant elle avait cette sensation étrange qui lui disait qu’elle pouvait lui faire confiance. Elle croise son regard, son cœur manque presque un battement. « Navré de vous décevoir. Je ferais semblant d’être surprise quand vous m’attaquerez. » Disait-elle en haussant les épaules. Elle se mordait la lèvre inférieure en voyant son clin d’œil et tournait son visage vers la fenêtre. Incroyable, elle n’arrivait pas à tenir son regard plus de cinq secondes.

« Doutez-vous de votre endroit favori ? Comment pouvez-vous ? Vous ne pouvez pas le trahir. » Accompagné d’un rire elle terminait sa phrase. Comment pouvait-il douter de son endroit favori, il lui avait vendu comme étant le plus bel endroit de Monterrey, celui où on peut penser librement, se libérer de l’anxiété, juste profiter du moment, elle n’en attendait pas moins pour ce soir. Le soleil descendant dans le ciel libérait de magnifiques couleurs de roses, et d’oranges qui ravissait le cœur de la jeune femme. La brune était une fan inconditionnelle des couchés de soleil, elle pouvait passer des heures le soir dans son jardin à admirer le soleil descendre. Elle se sentait en paix dans ces moment-là. Daniel se garer, et les yeux de la demoiselle s’ouvrait en grand en voyant le cadre idyllique. Elle restait assise dans la voiture, regardant l’océan à perte de vue. C’était un endroit retiré du monde, elle ne l’avait jamais vu mais elle était subjuguée. La vue était à couper le souffle. Cette crique était.. Elle ne trouvait même pas les mots. Elle tournait son visage vers lui, sorti de ses pensées par sa phrase, elle ne faisait même plus attention au tutoiement qui avait repris possession de la conversation. « Avec plaisir. » Sortant de la voiture, elle attendait le jeune homme qui prenait une sorte de panier à l’arrière de la voiture, se demandant ce qu’il avait prévu. Elle avançait doucement, regardant la vue. Intérieurement, elle était émue de ce paysage, de ses couleurs, de cette chaleur, c’était incroyablement romantique. Daniel arrivant à ses côtés, Romane avançait et sans réellement se rendre compte, sa main trouvait celle de Daniel, se liant délicatement pour le reste du chemin. Un peu en retrait derrière lui, leurs mains l’un dans l’autre, la brune se sentait chanceuse, par la vue, mais par la compagnie. Sur la plage, leurs mains se détachaient, Romane avançait un peu plus alors que le jeune homme s’était arrêté pour elle ne sait quelle raison. Elle s’abaissait pour enlever ses talons – pas vraiment pratique dans le sable-, son regard ne quittait pas l’horizon, elle était captivé. « Daniel, cet endroit est incro.. » Elle se tournait en même temps, et ne terminait pas sa phrase. Un sourire se posait sur son visage en voyant l’homme qui avait installé tout un pique-nique. Finalement, c’était peut-être un rendez-vous après tout. Elle s’approchait doucement de lui. « Incroyable, cet endroit est incroyable. » Tout comme vous avait-elle envie de dire, mais elle ne le fit guère. Elle regardait tout ce qu’il avait préparé et elle se doutait qu’il n’avait pas pu le faire en quelques heures et que finalement, cette sortie, il la préparait peut-être depuis plusieurs jours et non, à la va vite comme elle l’aurait pensé. « Je suis désolé d’avoir douté de votre venue et de.. Elle le regardait avant de reprendre d’une voix douce. Et de cette soirée. » Elle trouvait le lieu particulièrement romantique, c’était pour elle, son rendez-vous idéale, elle se demandait même comment il avait pu miser aussi juste. Elle relevait le visage, croisant son regard, son si beau regard. Elle n’était plus captivée et subjuguée que par le paysage, mais aussi par le jeune homme. Ses yeux dérivaient un instant sur ses lèvres, elle revenait très vite vers ses yeux. Elle n’arrivait plus à le quitter, elle le trouvait incroyablement beau, attirant. A ce moment précis, elle oubliait presque la situation du jeune homme. Elle reprenait ses esprits, se raclant la gorge, elle se tournait de nouveau vers le paysage. « Combien de filles avez-vous emmener ici ? » Bon dieu Romane, c’est quoi cette question ? Comment faire en sorte que la situation devienne gênante, étape une.


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36 ans et toutes ses dents. Pourtant, il ne le réalise pas, pour lui, il frôle à peine la trentaine.
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Marié depuis une dizaine d’années, un mariage d’amour qui a connu des hauts et des très bas. Aujourd’hui, ils sont séparé, le divorce n’est plus très loin, un avenir ensemble n’est plus envisageable.
météorologue, il pensait avoir trouvé sa voie, mais il se pose de plus en plus de questions sur son avenir professionnel.


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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyLun 29 Juil 2024, 14:20#

Dans la voiture les paysages défilent, le temps est frais, le soleil commence sa descente pour se coucher et l’ambiance est très décontracté, malgré les tensions qui flottent au-dessus de nous. Le trajet se fait rapidement, mais pas forcément en silence, ce qui empêche une certaine ambiance de s’installer. Romane reprend d’ailleurs la parole, je souris malgré moi lorsqu’elle parle de ma sœur et de ma nièce surtout. La petite Dinah est venue illuminer nos vies fin mai, elle l’a d’ailleurs drastiquement bouleversé. Mon père m’a souvent répété que l’arrivé d’un enfant change une vie et en soit, même si je ne suis pas le père de la petite princesse, je passe beaucoup de temps en sa présence, à la prendre dans mes bras et à être complètement gaga. « Pour ça, je suis assez d’accord avec vous. Je crois que c’est un trait qui nous caractérise bien chez les Keller. » je réponds avec un clin d’œil. Il ne m’en faut pas plus pour me sentir à l’aise. Ma question dévie, je me demande quels étaient les sujets de discussions entre les deux femmes lorsqu’elles se sont croisées et surtout, comment elles se sont reconnues ? Je prends une inspiration et pouffe finalement de rire lorsque j’entends sa réponse. « Ouuuuf ! Je suis rassuré ! Vous n’imaginez pas toutes les conneries qu’elle peut débiter en moins d’une minute, c’est incroyable. Je lui en aurais voulu de donner une mauvaise image de moi et de gâcher mes… plans. » je me mordille l’intérieur de la lèvre pour m’empêcher d’en dire plus. Je dois mettre en arrière-plan mon côté maladroit pour la soirée, histoire de ne pas tout gâcher.

Lorsqu’elle se mord, je reste… à la regarder, incapable de détourner le regard tant je suis charmé, jusqu’à ce que de nouveau, elle me fait rire. Je la trouve vachement amusante avec ses petites remarques. « Je ne doute pas de vos talents d’actrice » je masque un sourire amusé, déconcerté de voir la facilité à laquelle j’échange avec la jolie Romane, et la fluidité de nos échanges. « Je ne doute pas… disons que j’ai peur que les attentes de madame soient vouées à l’échec. » je lui dis en la regardant avec un air taquin. Notre route se termine enfin, je me gare et nous sommes ainsi prêt à sortir de la voiture. Le cadre est magnifique, beau, idyllique même. Spécial. Pour une personne spéciale. J’avais évidemment préparé un pique-nique. Le ventre sur pattes que je suis n’aurait pas pu supporter ne rien engloutir pendant des heures – oui, parce que j’ai l’intention de rester ici avec elle pendant des heures – et puis, j’ai aussi pour ambition de créer une ambiance et une certaine atmosphère avec ce repas en plein air et dans un cadre assez champêtre. Nous allons ainsi profiter du beau temps, du paysage et de la nature tout en discutant et surtout, en admirant la vue qui s’offrira à nous. Sachez que j’adooore les pique-nique, je suis donc déjà pas mal équipé en la matière. Panier en osier, nappes, petites serviettes, couverts… j’ai tout ce qu’il faut. Nous commençons à marcher et… sa main glisse dans la mienne, faisant battre mon cœur beaucoup plus vite que la normal. Le geste est si naturel qu'il fait paniquer mon organe vital et mon corps tout entier.

Une fois sur la plage, j’installe ma nappe aux couleurs bleues, assorties à la mer et au ciel. Je dépose le panier en osier et commence à sortir les petites choses que j’avais préparé. « Vous n’avez pas à vous excuser. » je la rassure alors avec un sourire, bien qu’elle soit beaucoup trop mignonne lorsqu’elle le fait. Je la regarde les étoiles dans les yeux alors qu’elle est pleine d’admiration face à la vue qui s’offre à nous. Exactement le genre de sensation que je voulais lui faire vivre : être ébloui par la beauté du paysage au point d’oublier comment respirer. Nous nous installons ensuite sur la petite nappe pendant que je déballe ce que j’avais préparé. Des petits sandwichs, des petits fours, des tomates cerises, du fromage et du bon vin pour lui faire rappeler sa tendre France. Très peu de temps s’écoule avant que la question fatidique s’échappe de ses lèvres. « Vous avez un don pour mettre les pieds dans le plat. » je soupirais sur un air amusé. A quoi bon tourner autour du pot finalement ? Je pris une inspiration, tournant ma tête vers l’océan pour l’admirer avant de lui répondre. « En toute honnêteté... ? » je connaissais déjà la réponse, j’hésitais à me la jouer Don Juan, mais je me doutais que ma maladresse me rattraperait. « Une seule. Vous êtes la deuxième. » je dis en continuant à fixer l’océan. Je ne bronche pas, profitant du ciel rosâtre qui s’installait. « Je vous laisse deviner de qui il s’agit ? » Parce que c’est plus drôle de la mettre dans une situation embarrassante à son tour. Je finis par tourner ma tête vers elle, sourire en coin. « Bella, bien sûr. » Ici, c’est mon coin secret c’est ici que je me réfugiais lorsque j’en ressentais le besoin, dans cette bulle, dans ce paysage que la nature m’offrait. Dans les moments difficiles avec Elena, mon ex-femme, dans nos disputes, dans nos prises de têtes, c’est dans cet endroit précis que je ressentais le besoin de me ressourcer. Donc même elle, je ne l’ai jamais amené. « Bon, je ne savais pas trop ce que vous aimiez, donc… j’ai pris un peu de tout. » lui dis-je en lui montrant ce que j’avais posé sur la nappe et histoire de changer un peu de sujets. « Je vous sers à boire ? » je demande avec un faible sourire, sans la quitter des yeux.

pique-nique:

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Romane Mercier
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trente-trois ans depuis peu (13.03.1991)
she's in the worst part of her life, she's a new mom and widow at the same time. trying to figure out, how to deal with it, and still be the best mom she can.
professeur des écoles, first grade.
depuis quelques mois, elle ne vit plus sur la base militaire, une petite maison cosy avec un jardin, dans le quartier ouest.
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romiel ≈ You showed me something that I couldn't see. You opened my eyes and you made me believe. You lift my feet off the ground, you spin me around, you make me crazier, crazier. Feels like I'm falling and I, I'm lost in your eyes. You make me crazier,

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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyJeu 01 Aoû 2024, 19:41#


Cette soirée, elle s’annonçait différente de la première. Romane était pourtant d’autant plus stressée, ce n’était plus une rencontre incongrue avec un voisin, c’était un véritable rendez-vous, en tant qu’amis naturellement mais c’était une rencontre qui était prévu, ils avaient décidé de se retrouver ce soir, et Romane était à la fois impatiente, curieuse, et stressée. Le trajet en voiture se passait plutôt bien, l’atmosphère était bonne, Romane essaie de détendre le plus possible la chose, et à voir le sourire, le magnifique sourire présent sur le visage du jeune homme, elle devait y arriver plutôt facilement. Elle lui sourit également à sa remarque, et elle ne lui avouerait jamais qu’il avait raison, mais la beauté des Keller, c’était quelque chose. La petite était d’une beauté incroyable, sa sœur était splendide, et Daniel… il était.. il est .. EPOUSTOUFLANT, à couper le souffle. « Vous devriez rencontrer ma sœur, elle est de taille à faire concurrence aux Keller, vous ne trouverez pas plus belle en ville. » Et elle le pensait, Emilie était d’une beauté incroyable, et d’une douceur, c’était une beauté naturelle, et elle représentait si bien l’élégance à la française. Romane reporte son attention sur la route, regardant la ville qui s’éloignait derrière eux, et elle était impatiente d’arriver à l’endroit. Elle avait hâte de le découvrir et de ce fait, d’en connaitre plus sur Daniel. « Gâcher vos plans.. ? » Demandait-elle avec un sourire. Intérieurement, elle souriait encore plus, elle se demandait réellement ce qu’il avait prévu de si spéciale pour cette soirée. Quel était ses plans ? La route arrive à la fin, il met son clignotant et au vu du côté étroit de la route, la brune se doute qu’ils arrivent à l’endroit. « Je doute fort que cela soit possible. » Avouait-elle sur le fait que ses attentes seraient vouées à l’échec. Romane avait un très bon sentiment concernant cette soirée, et elle avait hâte d’y être.

De nouveau, la brune à le souffle coupé, et cette fois-ci, ce n’est pas par la beauté du jeune homme – bien qu’il soit toujours autant incroyable -, le paysage qui s’offre à elle, lui coupe la respiration. Elle est éblouie, par cette plage, déserte, c’est comme s’il n’y avait qu’eux deux au monde, le bruit des vagues, les quelques oiseaux qui volent, le soleil qui commence sa descente. Elle ne sait plus où donner de la tête, tant elle trouve cet endroit parfait, romantique, adéquate pour un premier rendez-vous. Elle ne trouve plus ses mots, elle est subjuguée. Et elle le devient encore plus, en voyant tout ce que Daniel avait préparé. Tout à coup, elle doutait. Finalement, ce n’était peut-être pas une simple sorti entre amis, entre voisin, mais peut-être un peu plus. Elle passait une main dans ses cheveux et machinalement, elle ne pouvait s’empêcher de sortir une bourde. Pourquoi mettre ce sujet sur le tapis ? Avait-elle de plus réellement envie de connaitre la réponse ? NON. Pourtant, lorsqu’il commençait à répondre, elle haussait les épaules, faisant comme si elle se fichait de mettre les pieds dans le plat, comme si elle était très confiante, alors que ce n’était pas du tout le cas. La réponse qu’il donnerait sera très importante. Elle n’était pas la première, elle était la deuxième. Et le reste de sa phrase ne la rassurait pas. Intérieurement, elle était anxieuse de la réponse, elle était certaine de connaitre la réponse : sa femme naturellement, qui d’autre ? Sur son visage, on pouvait y lire le questionnement, on pouvait lire un peu de stupeur et de peur entre autre. La demoiselle avait du mal à contenir ses émotions, elle était comme un livre ouvert en réalité, tout ce qu’elle ressentait pouvait se lire sur son visage. Elle respirait de nouveau en entendant le prénom de Bella sortir de la bouche du jeune homme, c’était comme un soulagement, comme si elle pouvait de nouveau se sentir à l’aise, et ne plus se préoccuper de sa femme – pour l’instant -. « Bella, naturellement. Qui d’autre ? » Bon dieu Romane, arrête, change de sujet, tu deviens stupide. La demoiselle s’installait sur la nappe, regardant tout ce que Daniel avait amener et c’était parfait, tout simplement parfait. Il s’était vraiment mis en quatre pour prévoir ce repas. « C’est parfait. » Elle le pensait.

La demoiselle esquissait un sourire en voyant la bouteille de vin français et elle levait son regard vers Daniel. Elle reprenait dans sa langue d’origine, tout en désignant la bouteille. « Très bon choix, vous avez du goût. » Elle était assez touché par cette intention, parce que oui, elle pensait qu’il l’avait fait consciemment, afin de lui rappeler sa douce et très chère France. Elle hochait la tête positivement, croisant son regard, qu’elle ne pouvait plus quitter de nouveau. Il était captivant. « Avec grand plaisir. » Les verres servit, sa main frôlait celle de Daniel alors qu’elle récupérait le verre, elle ne l’avait toujours pas quitter des yeux.. Elle trinquait avec lui. « A cette soirée.. » Elle portait ensuite le verre à ses lèvres, prenant une gorgée. Son regard quittait le regard de Daniel un instant, le temps de regarder le soleil qui était descendu un peu plus. Elle pourrait rester ici pendant des heures entières, elle espérait en réalité, y rester des heures, mais ce choix était dans les mains du jeune homme. « Comment avez-vous découvert cet endroit si incroyable ? Il est pourtant bien caché des regards. » Bon dieu, qu’elle aurait aimé connaitre cet endroit depuis plus de temps. Elle se penchait pour attraper un petit four, de nouveau sa main frôlait celle du jeune homme, son regard croiser le sien et pendant un instant, c’était vraiment comme si le temps était suspendu, comme si c’était juste eux. Son regard déviait un instant vers ses lèvres mais elle le remontait très vite, elle se mordait la lèvre inférieure, ne pouvant pas se défaire du jeune homme présent devant lui. Les rayons du soleil, qui illuminait son si beau visage, le rendait encore plus attirant. Soit forte Romane, reste concentrée. « Désolé.. » Disait-elle en décalant sa main de celle du jeune homme. Elle ne savait pas réellement comment agir, elle avait envie d’être proche de lui, elle y avait souvent pensé depuis leur première rencontre, elle ne pouvait pas oublié le gout exquis de ses lèvres, l’odeur de son parfum, ses mains posés délicatement sur elle.. Tout ça, elle y pensait, constamment depuis un mois, mais à chaque fois, elle se rappelait de sa situation, et bien que cela soit particulièrement difficile à faire, elle essayait de retrouver la raison.


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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyMar 06 Aoû 2024, 18:51#

Elle… elle veut me faire rencontrer sa sœur ? Je ne suis pas sûr de tout suivre. Soit. Je fronce les sourcils, ne comprenant pas tout. Bon… Après tout. Elle a rencontré Bella donc peut-être qu’elle veut faire de même ? Je hausse les épaules, avant de finalement lui répondre avec un sourire timide. « Je n’ai pas besoin de rencontrer votre sœur, parce que la plus belle femme de la ville est déjà sous mes yeux. » Je le pensais sincèrement. Elle est la plus belle femme que j’ai rencontrée jusqu’à présent, tout est parfaitement bien dessiné en elle, son nez, la forme de ses yeux et ses lèvres, bon dieu ses lèvres que j’ai pourtant déjà goutées et donc l’envie de recommencer ne cesse de me tourmenter. Je détourne les yeux, gêné d’avoir dit une telle phrase débordant de sens. Alors que nous nous approchons de l’endroit secret, ma maladresse me fait encore défaut, je m’en rends seulement compte lorsqu’elle relève le mot plan. Je ferme les yeux quelques secondes, ne sachant même pas comment me justifier. Nous continuons donc notre route, main dans la main, jusqu’à la crique.

Je m’y suis impliqué dans ce pique-nique, préparant avec soin et attention ce que je déposais sur la nappe. J’y ai même ajouté une petite touche perso, un clin d’œil avec le vin. « Merci. J’ai mis un temps à fou à a choisir. Je ne me suis jamais vraiment intéressé au vin jusqu’à présent, ni aux alcools forts d’ailleurs. Je suis plutôt amateur de soft. Je fais pas mal de sport et donc, j’ai besoin d’avoir une hygiène de vie irréprochable. » je lui explique alors, me rendant compte qu’elle ne savait que très peu de choses sur ma vie et moi sur la sienne. Je nous sers deux verres dans les coupes et nous voilà prêts à porter un toast prometteur de l’avenir qui nous attend. « A cette soirée et à la plus belle vue de la ville. » je continue en n’osant pas la regarder. Comprendra-t-elle seulement le sous-entendu explicite ? Je ne sais pas trop, mais préfère tout de même ne pas revenir là-dessus.  J’émets un petit rire à sa question, avant de lui répondre. « Vous voulez déjà connaître tous mes secrets ? » Je demande un brin taquin, avant de lâcher prise, pour lui donner les explications qu’elle attend. « J’aime beaucoup faire de la randonnée et j’ai cherché quelques spots sur internet. Ils ne m’ont pas directement donné cet endroit, mais plutôt les montagnes qu’il y a autour. Un jour, je me suis perdu, je suis sorti du sentier et je me suis retrouvé à emprunter un chemin qui m’a mené jusqu’ici. J’ai découvert ensuite qu’il y avait un petit accès caché en voiture et… voilà. » Je lui expliquais alors. Le sport, j’aime, j’adore, ça fait partie de moi, tout comme la compét’ à haut niveau, je ne peux plus vivre sans.

Le spectacle qui s’offre à nous est infiniment beau, que dis-je, majestueux, extraordinaire. Je bois une gorgée du vin, qui a effectivement très bon goût et tend la main pour un mini sandwich. Synchronisation d’esprit, nos mains se touchent, nos doigts s’effleurent. Je lève les yeux vers elle, et voilà que je me retrouve plongé dans son regard. Je suis émerveillé. Je me rends compte que ce n’est pas la mer, l’horizon, le ciel rose ou la beauté du paysage qui est majestueux, mais plutôt ce regard duquel je n’arrive plus à me détacher. Je pourrais l’embrasser encore. Bon sang. Je pourrais passer ma soirée avec mes lèvres collés aux siennes. Mais… « C’est… » bafouillais-je lors qu’elle s’excuse ensuite. J’aimerais lui dire d’arrêter de s’excuser, mais le ton qu’elle utilise et la façon dont elle les prononce sont si doux que j’aimerais faire un tas de conneries juste pour l’entendre s’excuser encore et encore. « Pas grave. » je me râcle la gorge, reprenant doucement mes esprits, troublé par ce qui vient de se passer. Je fourre le mini sandwich dans ma bouche pour éviter de capturer la sienne, essaye de le macher en faisant le moins de bruit possible, ravale une gorgée de vin et me voilà prêt à reprendre une discussion normale. « Parle-moi un peu de toi, de la France, de ce que tu aimes ou au contraire, de ce que tu détestes. » je suis tout ouïe.

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MessageSujet: Re: (romiel 2) as the sun, we always rise again. (romiel 2) as the sun, we always rise again. EmptyMar 06 Aoû 2024, 22:28#


En arrivant dans ce lieu somptueux, Romane ne pensait pas pouvoir être encore plus subjuguée. Pourtant, elle était là, à écouter les paroles du jeune homme qui la qualifiait comme plus belle fille de la ville et son cœur manquait un battement. Un sourire se dessinait sur son visage, et aucun mot n’arrivait à sortir de sa bouche. Ses joues viraient au rouge, tant ce compliment lui faisait redevenir une adolescente pendant quelques instants. Elle le regardait et ce moment, lui semblait parfait. Tout ce qu’il avait préparé, elle ne savait pas où donner de la tête, elle était si surprise que cet homme, avait fait toutes ses choses pour elle. C’était son premier rendez-vous depuis la mort de Wyatt, son premier rendez-vous depuis quinze ans, et même si elle ne savait pas s’il s’agissait vraiment d’un rencard, elle appréciait particulièrement ce que le jeune homme avait fait. Tout était dans le détail, que ce soit la jolie nappe, le panier, le clin d’œil qu’il avait voulu faire aux origines de la demoiselle, elle était stupéfaite. Regardant la bouteille, un autre sourire se détachait de son visage, il était adorable. Elle l’écoutait attentivement, le regardant et elle, ne pouvait s’empêcher d’admirer sa musculature. A vrai dire, cela ne l’étonnait pas vraiment qu’il soit sportif, bien au contraire, il avait un corps qui semblait parfaitement entretenu, enfin, de ce qu’elle pouvait en voir. « En tant que française, je suis une experte en vin mais pour le reste des alcools, je n’y connais rien. La demoiselle ne buvait pas réellement, en réalité, elle ne buvait pas, hormis un verre de vin, lors des occasions spéciales. Elle préférait les sodas et le café, bon dieu qu’elle aimait le café. Elle esquissait un sourire, l’entendre lui parler de lui, l’entendre se dévoiler un peu plus lui faisait plaisir. Elle appréciait étrangement pouvoir en apprendre plus, pouvoir connaitre ses passions, ses habitudes de vies, ses hobbies, et visiblement, le sport en était un. « Quel genre de sport pratiquez-vous ? » Demandait-elle. Romane était plus ou moins sportive. Avant la naissance de Cloé, elle courrait tous les matins, il lui arrive également de faire des parties de tennis avec les frères de Wyatt, mais cela se limite à cela. Elle prenait son verre, trinquant avec le jeune homme, tout en portant le verre à ses lèvres, elle rougissait de nouveau. « A la plus belle vue de la ville. » Lançait-elle à son tour, sans le quitter des yeux. Et elle le pensait, à ce moment précis, elle était devant la plus belle vue de la ville. Le regard de Daniel était captivant, son visage était très beau habituellement mais ce soir dans sa tenue, avec les rayons du coucher de soleil qui illuminait son visage, Romane était totalement sous le charme, hypnotisé par le jeune homme.

Naturellement qu’elle voulait connaitre tous ses secrets et encore plus celui de cet endroit merveilleux. Elle l’écoutait, attentivement. Elle tournait son regard vers les montagnes aux alentours, regardant le paysage qui s’offrait à eux, et il était vrai que cet endroit reculait du monde était splendide, et que la marche dans les montagnes devait également offrir une vue spectaculaire. « Et nous voici ici… » Disait-elle en retrouvant le regard du jeune homme. Découvrir cet endroit, l’avait mené ici, aujourd’hui en sa compagnie. Romane croyait au destin, aux rencontres qui étaient prédestiné. Sa main voulait attraper un mini sandwich présent sur la nappe mais le destin avait définitivement décidé d’essayer de les rapprocher. Et maintenant, tout était hors du temps. Romane n’entendait même plus le bruit des vagues, elle ne faisait même plus attention au soleil qui descendait, au magnifique ciel rose qui s’imposait devant eux, elle ne voyait que lui, son regard, ses lèvres, la douceur qu’elles avait. Bon dieu, qu’elle aimerait les sentir de nouveau. Poser sa main sur sa joue délicatement, approcher son visage du sien, et enfin, déposer ses lèvres sur les siennes, les sentir de nouveau encore et encore. Elle pourrait l’embrasser toute la soirée, elle savait qu’elle ne s’en lasserait pas. Si elle s’écoutait, elle s’approcherait assez près pour qu’il puisse prendre la suite des événements.

Cependant, elle n’en fit rien, elle prenait une nouvelle gorgée de sa boisson et esquissait un sourire lorsqu’il lui demandait de lui parler de la France. Le pays qui l’avait vu naitre, celui où elle avait grandi, celui où elle s’était réfugié après le décès de son mari. Il voulait savoir beaucoup de chose sur elle, et elle ne savait même pas par où commencer. « Que veux-tu savoir exactement ? Le tutoiement était de retour, sans qu’elle s’en rende vraiment compte, surement la proximité, la simplicité du moment, la confiance qu’elle partageait avec le jeune homme. La France, c’est incroyable. J’ai vécu dans le sud ouest, dans une ville qui s’appelle La Rochelle, jusqu’à la fin de mes dix-huit ans. Il fait très beau dans cette partie de la France, la plupart du temps. C’est à mi-chemin entre la ville et la campagne. Elle avait l’impression de faire un roman de sa vie, c’était presque étonnant de pouvoir parler à quelqu’un si facilement. Je suis arrivée ici à dix-huit ans, presque dix-neuf en tant que fille au pair et je ne suis jamais partie. Elle passait sous silence, la partie Wyatt, c’était un peu gênant pour un rendez-vous non ? Que veux-tu savoir d’autres ? » Elle n’était pas du genre à parler d’elle, à être le centre de l’attention. Elle prenait une nouvelle gorgée, attrapant au passage un morceau de fruit présent sur la nappe. « Et toi ? Parles-moi un peu de toi.. De ta vie, de ce que tu aimes, de ce que tu aspires. » DE TA FEMME, mais ça, elle ne le dirait pas, bien qu’elle en mourait d’envie. La conversation était beaucoup plus fluide, tout le monde semblait à l’aise, c’était agréable, pas de moment de gênant, rien que deux amis qui profitaient d’un moment ensemble. Romane tournait son visage vers Daniel, qui buvait dans son verre et à ce moment précis, elle aimerait être ce verre pour être si proche de ses lèvres. « Est-ce que toi aussi, tu as envie de m’embrasser ? » Et tout à coup, elle sortait de ses pensées et se rendait compte qu’elle venait de dire ça à voix haute. OMG, ALERTE ROUGE. Elle posait son verre sur la nappe, et ses joues devenaient de plus en plus rouge, elle en était certaine. Un silence plus que génant s’installer. Bravo Romane, tu as tout gâchés. « Oh mon dieu, désolé, je.. je n’arrive pas à croire que j’ai dit ça tout haut.. je.. je.. Trouve quelque chose à dire Romane, bordel. S’il te plait, oublie ce que je viens de dire.. Parle moi de la météo de demain. » La METEO ? Romane, merde. Elle posait sa tête dans ses mains, espérant qu’il oublie.



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(romiel 2) as the sun, we always rise again.

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